Guide de Tourisme de loisirs urbains dans les Hauts-de-Seine, Visite historique et culturelle de l’Île-de-France

Les Hauts-de-Seine sont l’un des départements les plus riches de France. Ils s’étendent sur toute la périphérie ouest de Paris, constituant une partie de la petite couronne. Fortement identifié par son activité économique, le département des Hauts-de-Seine dispose également d’un potentiel touristique et de loisirs important dans le Grand Paris, voire en Ile-de-France. Les Hauts-de-Seine sont surtout connus pour abriter le complexe moderne de bureaux, de cinéma et de commerce de La Défense, l’un des principaux centres économiques du Grand Paris et l’un des principaux quartiers d’affaires d’Europe.

A quelques pas de Paris, le département des Hauts de Seine fait partie, avec la Seine-Saint-Denis et le Val-de-Marne, de la « petite couronne » qui entoure Paris. Riche d’une histoire, les Hauts-de-Seine disposent d’une offre culturelle, patrimoniale et artistique variée. Découvrez les grandes thématiques des nombreuses visites de sites et monuments qui vous attendent du nord au sud du département.

La région Île-de-France reste la première destination touristique mondiale, les Hauts-de-Seine émergent comme « une destination de loisirs » d’Ile-de-France. Les Hauts-de-Seine bénéficient d’un patrimoine historique, artistique, industriel et architectural très riche, retraçant les évolutions majeures de l’histoire du territoire, de nombreux espaces naturels, propices à la pratique de loisirs de plein air, de nombreux sites et équipements labellisés et donc bénéficiant d’une certaine image qualitative, de nombreux équipements de diffusion religieuse.

Hauts-de-Seine, a unique combination of tradition and modernity department. Hauts-de-Seine is very largely urbanized: Antony, Boulogne-Billancourt, Nanterre and La Défense, Colombes, Asnières, Issy les Moulineaux… Major new facilities have recently emerged in the region: the Seine Musicale, Paris La Défense Arena, the renovation of the Albert-Kahn Departmental Museum, the Jardin des Métiers d’Art et du Design, the Musée du Grand Siècle, etc. ambitious development of the banks of the Seine continues and expands.

Châteaux, demeures de charme et même hôtels particuliers parsèment l’ouest parisien. De Sceaux à Asnières-sur-Seine en passant par le château de Malmaison, découvrez des joyaux du patrimoine bâti et notamment les châteaux des Hauts-de-Seine. A deux pas de Paris, profitez de nombreux musées, ouverts toute l’année, qui proposent des collections surprenantes comme le Musée de la Carte à Jouer à Issy-les-Moulineaux ou le Musée Renault situé à Boulogne-Billancourt. Découvrez d’autres lieux emblématiques comme Sèvres, la Cité de la Céramique, le musée Roybet Fould à Courbevoie ou encore le musée des années 30.

Elle dispose de 7 000 ha d’espaces verts ou boisés sur son territoire, soit 45% de sa superficie, elle est très urbanisée et composée de nombreux pôles industriels et tertiaires : Levallois, Boulogne-Billancourt, Colombes, Clichy – berceau de « La Goulue « , danseuse étoile du Moulin Rouge, au début du siècle – Gennevilliers, deuxième port fluvial d’Europe, après Duisburg en Allemagne, et quartier d’affaires de la Défense, situé sur les communes de Puteaux, Courbevoie et Nanterre, Préfecture du département où se situe l’une des plus grandes universités de la région parisienne : l’Université Paris Ouest – Nanterre.

Meilleures destinations
Les Hauts-de-Seine sont un département de la région Île-de-France. Elle porte le numéro de série 92 et appartient à la région parisienne. Elle est limitrophe au nord avec le département du Val-d’Oise, à l’est avec les autres départements limitrophes de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne ainsi qu’avec Paris lui-même, et enfin avec le département de l’Essonne au sud et les Yvelines. dans l’ouest. Le département comprend les arrondissements d’Antony, Boulogne-Billancourt et Nanterre.

Situé aux deux tiers sur la commune de Poteaix, La Défense est le premier ensemble de bureaux en Europe et le premier centre commercial de France. C’est une véritable ville dans la ville qui propose en permanence des expositions et des concerts. Encadrée par la Grande Arche, le CNIT et le centre commercial Quatre-Temps, la place est le théâtre de nombreuses manifestations tout au long de l’année : feu d’artifice, marché de Noël, etc.

Poteaix, c’est aussi des quartiers anciens et des espaces verts où il fait bon flâner, comme sur l’île qui s’étend entre le pont de Puteaux et le pont de Neuilly, pour découvrir la roseraie du parc Lebaudy ou les péniches des demeures joliment fleuries le long de la Seine. C’est à NANTERRE que se trouve la forteresse du Mont Valérien, où, de 1941 à 1944, plus d’un millier d’otages et résistants furent exécutés.

Au nord du département se trouvent Colombes, ville dotée d’équipements sportifs de qualité dont une piscine, une patinoire et un stade olympique, et Asnières sur seine qui a inspiré plusieurs tableaux du peintre Georges Seurat. C’est également ici que se trouve le cimetière des chiens, également lieu de repos final de nombreux autres animaux….

A l’Ouest et au Sud, des banlieues majoritairement résidentielles entrecoupées de grands espaces verts, comme le parc St Cloud, l’un des plus beaux jardins à la française d’Europe, dessiné par Le Nôtre et classé monument historique, et le parc de Sceaux. , également conçu par Le Notre. La ville dispose également d’une coulée verte très agréable, réservée aux piétons et aux cyclistes…

Les Hauts-de-Seine, c’est aussi 300 km de sentiers balisés pour la randonnée et les superbes forêts de Malmaison, Meudon, Fausse Reposes, près de Chaville et Ville D’Avray, réputée également pour ses étangs poissonneux, peints par Corot. Plusieurs kilomètres de pistes cyclables permettent de flâner en deux roues à travers le département, tandis que la forêt de Meudon ou le bois de Boulogne restent à portée de main pour une petite balade en pleine nature…

Arrondissement de Nanterre

La Défense
La Défense est le quartier d’affaires emblématique des Hauts-de-Seine, situé à trois kilomètres à l’ouest de la ville de Paris. Le quartier de La Défense est situé sur l’axe historique, dans le prolongement des Champs Elysées. A cheval sur les communes de Puteaux, Courbevoie et Nanterre dans les Hauts-de-Seine, le premier quartier d’affaires européen est aussi un laboratoire d’art et d’architecture unique au monde. Elle est célèbre pour sa skyline parsemée de gratte-ciel, dont la Grande Arche. Flânez le long de l’Esplanade, visitez le CNIT (Centre des Nouvelles Industries et Technologies) et découvrez les nombreuses œuvres d’art contemporain en plein air.

Faisant partie de l’agglomération parisienne en région Île-de-France, La Défense n’est pas un centre d’affaires isolé, mais est située dans une vaste zone de l’ouest parisien où l’activité tertiaire est particulièrement forte. La Défense est le plus grand quartier d’affaires spécialement construit d’Europe, s’étendant sur 560 hectares, pour 180 000 travailleurs quotidiens, avec 72 bâtiments en verre et en acier (dont 19 sont des gratte-ciel achevés) et 3 500 000 mètres carrés de bureaux.

Avec la construction du CNIT en 1958, plusieurs générations de tours et d’immeubles se sont succédées et offrent, depuis l’esplanade de La Défense, un panorama incroyable sur l’architecture des dernières décennies. Chaque construction repousse un peu plus loin les limites de la précédente. Et comme le quartier est en perpétuel mouvement, de nouveaux projets architecturaux sont à l’étude pour préparer l’avenir. L’audace des nouvelles tours et leur concept de diversité mêlant commerces, restaurants et hôtels, ainsi que l’Arena, le stade couvert de 40 000 places, donnent peu à peu un nouveau visage à La Défense.

Que ce soit pour un tourisme d’affaires ou de loisirs, les visiteurs pourront profiter de nombreuses activités dans ce lieu piéton qui prolonge l’axe historique parisien. Autour de sa Grande Arche et de son esplanade (« le Parvis »), La Défense abrite plusieurs des plus hauts gratte-ciel de l’agglomération parisienne. Les Quatre Temps, grand centre commercial de La Défense, compte 220 magasins, 48 ​​restaurants et une salle de cinéma de 24 salles. Avec ses nombreux hôtels, restaurants et 250 boutiques vous ne manquerez absolument de rien pendant votre séjour.

La Défense est aussi un véritable lieu de vie où se retrouvent chaque jour des centaines de milliers d’hommes et de femmes. Construite depuis les années 1960, La Défense est constituée majoritairement d’immeubles de grande hauteur, composés principalement de bureaux (environ trois millions de mètres carrés). La Défense est pourtant un quartier mixte : il accueille 600 000 m 2 de logements et l’ouverture du centre commercial Les Quatre Temps en 1981 en a fait un pôle commercial majeur d’Île-de-France. En 2009, le quartier comptait 2 500 entreprises, environ 180 000 salariés et 20 000 habitants répartis sur 71 tours. Il abrite notamment les sièges de grandes multinationales françaises et étrangères.

Levallois-Perret
Levallois-Perret est l’une des villes les plus densément peuplées d’Europe et, avec sa voisine Neuilly-sur-Seine, l’une des banlieues les plus chères de Paris. La commune comprend de nombreux monuments inscrits à l’inventaire général du patrimoine culturel de France. Les monuments historiques de la commune sont : le temple de la Petite Étoile inauguré en 1912 ; l’ancien Hertford British Hospital, classé en 1987 ; la Villa mauresque de la Villa Chaptal, classée en 1993. Parmi les autres monuments de la commune : le cimetière de Levallois-Perret, et l’hôtel de ville.

La salle Ravel est située dans les locaux du conservatoire Maurice-Ravel. L’usine Citroën de Levallois-Perret : berceau de la très populaire 2CV. La quinine, substance antipaludique, a été découverte au Château de la Planchette par le chimiste Pierre Joseph Pelletier ; la structure métallique de la Statue de la Liberté ; la Tour Eiffel, dont les éléments ont été fabriqués à Levallois-Perret avant d’être assemblés ;

Radiola, première radio privée de France (ancêtre de Radio-Paris) dont l’émetteur était situé à Levallois ; la Citroën 2 CV, créée dans les usines Citroën de Levallois-Perret ; les half-tracks de la croisière noire et de la croisière jaune ; le Blériot XI, avion à bord duquel Louis Blériot effectua la première traversée de la Manche en 1909 ; l’Arc en Ciel, avion à bord duquel Jean Mermoz effectua la première traversée de l’Atlantique Sud en 1933 : la moto, inventée par les frères Werner ; les premières compagnies de taxis : G3, G4, G7, société Degioanni.

Neuilly-sur-Seine
Neuilly-sur-Seine est l’une des régions les plus riches de France, c’est la banlieue la plus riche et la plus chère de Paris. Immédiatement adjacent à la ville, au nord du Bois de Boulogne, le quartier est composé pour la plupart de quartiers résidentiels sélects, ainsi que de nombreux sièges sociaux d’entreprises et une poignée d’ambassades étrangères. C’était le site du Château de Neuilly, importante résidence royale sous la Monarchie de Juillet. La commune comprend de nombreux monuments inscrits à l’inventaire général du patrimoine culturel de France.

L’église paroissiale Saint-Jacques, située au 167, boulevard Bineau, a été construite en 1936. Elle comprend un grand orgue Bernard-Aubertin de 2006, l’organiste titulaire est Boris Lefeivre. L’église paroissiale Saint-Jean-Baptiste, située au 158, avenue Charles-de-Gaulle, a été reconstruite entre 1831 et 1870. Elle comprend un orgue de chœur Mutin-Cavaillé-Coll de 1865 et un grand orgue d’abbaye construit en 1913 par le Maison Mutin-Cavaillé-Coll, l’organiste titulaire de la Paroisse est le compositeur Olivier d’Ormesson, également directeur du Conservatoire de Neuilly.

L’église paroissiale Saint-Pierre, située 90, avenue du Roule (avenue Achille-Peretti), a été construite entre 1883 et 1914. Elle est inscrite à l’inventaire général du patrimoine culturel. Il comprend un grand orgue Mutin – Cavaillé-Coll de 1898, l’organiste titulaire est Philippe Sauvage. L’ancienne église anglicane, actuelle église adventiste du septième jour, située au 33, boulevard Victor-Hugo, a été construite en 1876. La synagogue, située au 12, rue Ancelle, a été construite en 1878.

La Folie Saint-James : ce bien situé au 34, avenue de Madrid. L’ancien Hôtel Lambiotte (1934), situé 6-8, boulevard du Château, et 4, rue Sylvie : œuvre de l’architecte Pierre Barbe. Usine-jardin (temple-jardin) dite Temple de l’Amour, située à la pointe amont de l’île de La Jatte, construite en 1773. L’ancien Hôtel Thouret, situé 68, boulevard Bourdon. Le Château de Neuilly, actuellement couvent des Sœurs de Saint-Thomas-de-Villeneuve, situé au 52, boulevard d’Argenson. Du château détruit en 1848, seule subsiste aujourd’hui l’aile nord, dite pavillon de Madame-Adélaïde. Cette aile fut acquise en 1907 par les sœurs de Saint Thomas de Villeneuve. Ce dernier fit appel à l’architecte Maurice Humbert, qui surélève l’aile et construit une chapelle ainsi qu’un bâtiment rattaché à l’hôpital municipal à partir des ruines du château.

L’hôtel de ville, situé au 96, avenue du Roule (avenue Achille-Peretti), a été construit entre 1882 et 1886 par l’architecte Jean Bréasson. Statue équestre du duc d’Orléans installée initialement à Alger, démontée à l’indépendance de l’Algérie et réinstallée en 1981 sur le rond-point Chauveau rebaptisé place du Duc-d’Orléans. La plus ancienne maison de Neuilly, construite en 1754, est située au 21 rue Beffroy.

Parc de la Folie-Saint-James; Parc du couvent Saint-Thomas de Villeneuve, (couvent construit par Maurice Humbert sur les ruines du château de Neuilly). Ce parc, situé au 52 boulevard d’Argenson. Square Martial-Massiani, du nom d’un conseiller municipal de la ville de 1945 à 1965, président du conseil général de la Seine (75). Situé au 8, boulevard du Château-129, rue Perronet.

L’Île de la Jatte, située à Neuilly-sur-Seine, est un véritable joyau. Il est idéal pour une promenade sur les quais de Seine. Cette île a inspiré de nombreux artistes impressionnistes et son charme pittoresque en fait un lieu idéal pour se détendre.

Rueil-Malmaison
Rueil est célèbre pour le château de Malmaison où vécurent Napoléon et sa première épouse Joséphine de Beauharnais. À sa mort en 1814, elle fut enterrée à l’église Saint-Pierre-Saint-Paul toute proche, qui se dresse au centre de la ville. Lors de la guerre franco-prussienne de 1870, Rueil se situe en première ligne. A la fin du XIXème siècle, des peintres impressionnistes comme Pierre-Auguste Renoir, Édouard Manet et Claude Monet viennent peindre la Seine qui traverse la ville.

La commune comprend de nombreux monuments inscrits à l’inventaire général du patrimoine culturel de France. L’office de tourisme propose des visites guidées à la journée pour découvrir le patrimoine historique de Rueil-Malmaison, dont la visite de l’église Saint-Pierre-Saint-Paul, du château de Malmaison et de son parc, de la Petite Malmaison et du musée d’Histoire locale. L’été, un petit train touristique était mis gratuitement à la disposition des visiteurs de la ville. Il a parcouru environ 1h15 le long des quais de Seine, du Parc des Impressionnistes, du Parc de Bois Préau, en passant par le Château de Malmaison, l’église Saint-Pierre-Saint-Paul pour rejoindre le point de départ au Musée. . histoire locale dans l’ancien hôtel de ville au centre de la ville ; le circuit a été commenté. Aujourd’hui, le petit train circule uniquement lors d’événements particuliers dans la ville ou dans le cadre de visites organisées pour les groupes par l’office de tourisme.

Le Château de Malmaison, résidence de Joséphine de Beauharnais, première épouse de Napoléon, est situé à Rueil-Malmaison. Elle abrite un musée napoléonien. Le domaine de l’Impératrice Joséphine, qui habitait Rueil dès 1799, atteignait une superficie de 726 hectares à sa mort en 1814. Il fut loti au cours du XIXème siècle. Parmi ses principales divisions : Château de Malmaison ; Château de la Petite Malmaison, ancienne serre du domaine de la Malmaison, construite entre 1803 et 1805 ; Château de Bois-Préau ; Domaine de Vert-Mont; Temple d’amour; Mausolée du Prince Impérial.

La caserne de la Garde Suisse de Rueil a été construite en 1756 sous Louis XV par l’architecte Axel Guillaumot, et est classée Monument historique depuis 1973. La Garde a été créée par Louis XIII en 1616 et massacrée aux Tuileries le 10 août 1792 lors de la guerre française. Révolution.

Maison du Père Joseph, éminence grise du cardinal de Richelieu, église Saint-Pierre-Saint-Paul (tombes de Joséphine de Beauharnais et de sa fille la reine Hortense, crypte), musée d’histoire locale de Rueil-Malmaison, dans l’ancien hôtel de ville, Ancien cimetière, Cimetière Bulvis, Maison Giquel, Chemin Joséphine et Napoléon Bonaparte 108, parcours symbolisé par des clous dorés marqués de l’abeille impériale.

Rueil-Malmaison compte 350 hectares d’espaces verts, soit un quart de sa superficie. Plusieurs d’entre eux font partie intégrante du parc naturel urbain qui illustre l’approche écologique du principe de développement durable. Son périmètre concerne la partie basse de Saint-Cucufa, la vallée des Gallicourts, la plaine des Closeaux, les bords de Seine et le quartier de La Malmaison jusqu’au parc du Bois-Préau. La ville a également remporté de nombreux prix au Concours national des villes fleuries.

Friendship Park, 160 avenue Paul-Doumer, avenue Albert- 1er, Impasse du Donjon. The Impressionists Park, a tribute to Monet, Allée Jacques-Prévert or along the banks of the Seine. The banks of the Seine, a bucolic stroll along the water, rue Berthe-Morisot, rue des Closeaux, bd Franklin-Roosevelt, avenue des Acacias, avenue de Seine, bd Bellerive. The woods of Saint-Cucufa an encounter with the fauna and flora, route de Longboyau, avenue de Versailles, Chemin de Versailles. Bois-Préau Park, although it belongs to the State, and is under the management of the Ministry of Culture and the City, 1 avenue de l’Impératrice-Joséphine, rue Charles-Floquet. The tropical greenhouse, Maison de la Nature, 6 avenue de Versailles. The Gallicourts natural park, chemin des Cormaillons, route des Hauts-Benards. The Buzenval vines, rue Cuvier, rue des Talus.

Suresnes
Suresnes borde le Bois de Boulogne dans le 16ème arrondissement de Paris. Ses coteaux couverts de vignes produisent pourtant un vin réputé, prisé des rois, tandis que les riches Parisiens construisaient de vastes propriétés autour du quartier historique aux XVIIe et XVIIIe siècles. Les tavernes se sont développées sur les bords de Seine, constituant une part importante de ses activités économiques du XIXème au début du XXème siècle. La révolution industrielle a radicalement transformé l’apparence de la ville. Les anciennes demeures aristocratiques et bourgeoises cèdent la place aux usines aéronautiques et automobiles. Les vignes disparaissent et des villas ou logements ouvriers sont créés sur leur site. Suresnes offre une vue élégante sur Paris et la Tour Eiffel.

La commune comprend de nombreux monuments inscrits à l’inventaire général du patrimoine culturel de France. Les monuments de Suresnes comprennent le Mémorial de la France combattante, où une cérémonie annuelle a lieu le 18 juin, ainsi que le cimetière et mémorial américain de Suresnes à proximité, sous le fort Mont-Valérien, en plus de l’hôpital Foch au centre-ville. Le fort Mont-Valérien (avec son Mémorial de la France combattante) est situé sur la commune, tout comme le Cimetière et Mémorial américain de Suresnes.

L’église du Cœur Immaculé de Marie ; Le lycée Paul-Langevin, à la demande d’Henri Sellier, a été créé par Maurice Payret-Dortail en 1927. Le lycée, autrefois école maternelle et primaire, dispose d’une piscine et d’un gymnase ; Le cimetière Carnot (ancien cimetière, créé en 1810, où sont enterrées de nombreuses personnalités, dont le maire Henri Sellier) et le cimetière Voltaire (nouveau cimetière, ouvert en 1892). Le cimetière Bulvis, à Rueil-Malmaison, est également l’un des trois cimetières communaux de Suresnes. Il existe un cimetière actif dans la première partie du XIXe siècle, situé dans l’enceinte de la forteresse, le cimetière du Mont-Valérien ; Théâtre Jean-Vilar ; Cité-jardin de Suresnes ; L’école extérieure de Suresnes, construite de 1932 à 1936 par les architectes Eugène Beaudouin et Marcel Lods ; Barrage-écluse de Suresnes.

Arrondissement de Boulogne-Billancourt

Boulogne-Billancourt
Boulogne-Billancourt est connue pour être le berceau de trois grandes industries françaises. Ancien site industriel important, il s’est reconverti avec succès dans les services aux entreprises et abrite aujourd’hui de grandes entreprises de communication dont le siège est dans le quartier d’affaires du Val de Seine. C’est ici qu’eut lieu, en 1906, la toute première usine aéronautique, celle des Appareils d’Aviation Les Frères Voisin, qui fut ensuite suivie par celles de nombreux autres pionniers de l’aviation, et la tradition se perpétue avec plusieurs sociétés liées à l’aviation toujours actives dans la région. . L’industrie automobile est très présente avec Renault sur l’Île Seguin, ainsi que Salmson qui construit des voitures et des moteurs d’avion. L’industrie cinématographique française a vu le jour ici et, de 1922 à 1992, elle a accueilli les studios Billancourt et est devenue depuis un lieu majeur de la production cinématographique française. Il a servi de décor à l’émission télévisée Code Lyoko.

L’église Notre-Dame-des-Menus de Boulogne, construite au XIVe siècle, est un ancien lieu de pèlerinage important. Le Château Buchillot est une folie du XVIIIème siècle, autrefois annexée au Château Rothschild. Les trois bâtiments ont été transformés en musée Paul-Belmondo. Le Château Rothschild a été construit de 1855 à 1861 dans le style Louis XIV à la demande du banquier James de Rothschild. Il était entouré de splendides jardins à la française et à l’anglaise sur trente hectares. Le château a longtemps été un lieu de rencontre pour la haute société. Il a ensuite été pillé par les nazis et endommagé par les Américains pendant la Seconde Guerre mondiale. Il est aujourd’hui complètement abandonné.

La synagogue de Boulogne-Billancourt, située rue des Abondances et de l’Abreuvoir, a été construite par l’architecte Emmanuel Pontremoli, avec des peintures de Gustave Jaulmes (1911). L’église Saint-Nicolas-le-Thaumaturge est l’une des dix petites églises orthodoxes construites entre les deux guerres dans le sud-ouest de Paris par les Russes blancs fuyant la Révolution de 1917. Construit en 1927 grâce aux fonds récoltés auprès des ouvriers russes des usines Renault, il fut le centre culturel actif de quelque quatre mille Russes de « Billancoursk » désireux de perpétuer en exil la sainte Russie détruite sur son territoire.

Œuvre de Tony Garnier finalisée en collaboration avec Jacques Debat-Ponsan, Paul Landowski, Paul Moreau-Vauthier et André Morizet, l’hôtel de ville de Boulogne-Billancourt a été inauguré en 1934 et inscrit depuis 1975 à l’inventaire des Monuments Historiques, on admire le mobilier et décoration typique des années trente de Jean Prouvé, Joseph Bernard, Alphonse Gentil, François Bourdet et surtout la « usine », un immense hall intérieur qui apporte de la lumière à trois galeries minimalistes en béton superposées en anneaux allongés sur lesquelles sont répartis des bureaux cloisonnés en verre. Depuis 1988, le visiteur est accueilli côté « palais » par le tableau monumental d’Olivier Debré qui domine l’escalier intérieur construit en 1931 sous la direction de son oncle maternel.

Bibliothèque Marmottan, construite à l’actuelle place Denfert-Rochereau entre 1890 et 1920 dans un style Premier Empire par Paul Marmottan, le musée, accessible au public, ouvre ponctuellement aux chercheurs et historiens les archives de l’Europe napoléonienne pour laquelle il a été conçu. Le musée Paul-Belmondo présente dans les bâtiments du Château Buchillot les deux cent cinquante-neuf sculptures et huit cent soixante-dix-huit dessins légués par ses enfants à la commune. Il avait son atelier à Paris. Un cabinet de médailles présente quatre cent quarante-quatre œuvres fondues par le sculpteur.

Le musée Albert-Kahn, dixième site le plus visité de la banlieue parisienne 185, comprend : les jardins Albert-Kahn, un ensemble de sept jardins paysagers évoquant les quatre coins du monde ; les Archives de la Planète, la plus grande collection au monde de 180 000 m de films et 72 000 documents photographiques autochromes, rassemblés avant la guerre par des chasseurs d’images rémunérés grâce aux bourses offertes par Albert Kahn. Films et autochromes peuvent être visionnés sur place. Des expositions temporaires sont organisées dans ses locaux.

Situés au 62 rue de Sèvres, les studios Pathé-Marconi ont vu passer les plus grands noms de la scène pop-rock des années 1960 aux années 1990. Lors de leur série de concerts à l’Olympia en janvier-février 1964, les Beatles se rendent dans les studios Pathé-Marconi pour enregistrer plusieurs titres, dont le fameux Can’t Buy Me Love qui devient rapidement numéro 1 en Angleterre et aux Etats-Unis. Les Pretenders, Sting, Keith Emerson, Elton John et les Rolling Stones ont également enregistré aux studios Pathé-Marconi de Boulogne-Billancourt. Le groupe Maison « Les Chats Sauvages » sous contrat « Pathé » a enregistré tous ses disques de 1961 à 1964 dans ces studios…

Meudon
Meudon est connue pour de nombreux monuments historiques et des arbres extraordinaires. La ville, essentiellement connue pour sa forêt et son observatoire (spécialisé en astrophysique et observation du soleil), a également accueilli de nombreuses personnalités, comme Auguste Rodin, Richard Wagner, Louis Ferdinand Céline, Ambroise Paré ou Armande Béjart.

L’ancien château de Meudon a été reconstruit dans le style Renaissance au milieu du XVIe siècle. Elle fut achetée par Louis XIV comme résidence de son fils Louis, le dauphin sous lequel Meudon devint un centre de la vie aristocratique. Une branche de l’Observatoire de Paris a été fondée sur les ruines en 1877. L’hôtel de ville de Meudon se trouve à environ 43 m d’altitude au-dessus de celui de Paris et la montée de là jusqu’à l’observatoire offre des vues enrichissantes sur Paris. Les belles Institutions Galliera, sur la colline de Fleury, ont été fondées par la duchesse de Galliera pour le soin des personnes âgées et des orphelins. Les bâtiments ont été achevés en 1885.

Chalais-Meudon a joué un rôle important dans le développement de l’aviation, d’abord des ballons et des dirigeables, mais aussi des premiers engins plus lourds que l’air. Un Corps d’Aérostatiers sous le commandement de Jean-Marie-Joseph Coutelle fut créé en 1794, ses ballons étant utilisés à la bataille de Fleurus. Le « Hangar Y » a été construit en 1880 à la demande de l’ingénieur militaire, le capitaine Charles Renard (1847-1905), pour la construction de ballons et de dirigeables. Nicolas-Joseph Cugnot, l’inventeur de la « première automobile du monde », aurait réalisé quelques premiers essais à Meudon au début des années 1770.

Saint Cloud
Saint-Cloud est connue par le Château de Saint-Cloud, construit en 1572 et détruit par un incendie en 1870 lors de la guerre franco-prussienne. Le château fut la résidence de plusieurs souverains français et servit de résidence de campagne principale de la ligne des cadets d’Orléans jusqu’à la Révolution française. Le palais a également été le théâtre du coup d’État mené par Napoléon Bonaparte qui a renversé le Directoire français en 1799. Saint-Cloud abrite le Bureau international des poids et mesures (IBWM), situé dans le Pavillon du Parc de Saint-Cloud. de Breteuil. La commune est également célèbre pour la porcelaine de Saint-Cloud qui y fut produite de 1693 à 1766.

Les principaux monuments sont le parc du château démoli de Saint-Cloud et le Pavillon de Breteuil. L’hippodrome de Saint-Cloud, hippodrome de courses de plat pur-sang, a été construit par Edmond Blanc en 1901 et accueille de nombreuses courses importantes, dont le Grand Prix annuel de Saint-Cloud. Sur l’avenue de Longchamp se trouve une statue en bronze commandée par l’Aéroclub de France représentant la figure mythologique grecque Icare, en l’honneur d’Alberto Santos-Dumont.

Hôtel de ville de Saint-Cloud, agrandi en 1924 par l’architecte municipal Henri Renard, le bâtiment fut rehaussé et agrandi en 1966 selon les plans de l’architecte Maurice Benezech. Saint-Clodoald est une église néo-médiévale qui domine le centre de la vieille ville. Cette église, construite dans le style gothique, fut décorée par les soins de l’impératrice Eugénie qui offrit l’autel en marbre blanc.

C’est au domaine national de Saint-Cloud, également appelé Parc de Saint-Cloud, que se trouvait le château, résidence de vacances de plusieurs souverains français. La superficie du domaine est de 460 hectares dont la majeure partie est située sur la commune de Saint-Cloud. Les jardins à la française, dessinés par Le Nôtre, ont été préservés. Le parc accueille régulièrement des événements comme des visites du jardin ou « Park in progress », nuit européenne de la jeune création. C’est au Pré Saint-Jean que chaque dernier week-end de septembre est organisé le Famillathlon dans le cadre de la célébration du « Week-end sportif en famille ».

Le Jardin des Tourneroches offre l’un des panoramas les plus saisissants du département, centré sur la Tour Eiffel, embrassant le Bois de Boulogne et Paris depuis le balcon naturel des coteaux. La Villa des Tourneroches, a été construite dans les années 1930. Le docteur Débat achète la propriété située de part et d’autre de la rue du Mont-Valérien ; ce domaine possède déjà une maison, des dépendances et un jardin aménagé au début du siècle ; elle conserve le parc, les dépendances et le pigeonnier préexistant.

Arrondissement d’Antony

Antoine
Avec ses origines anciennes, la ville d’Antony présente un patrimoine architectural et historique des plus intéressants qui rappelle l’importance de la ville au fil des siècles. L’ancienne usine royale de cires servait autrefois de lieux de fabrication des bougies et bougies de la cour de Versailles et des autres châteaux royaux. Depuis la fin du XIXème siècle, le site était occupé par les Sœurs de Saint-Joseph de Cluny. L’église Saint-Saturnin est un véritable trésor avec de beaux vitraux. La Maison Saint-Jean, anciennement connue propriété Chénier, abrite aujourd’hui l’Institution Sainte-Marie. Il s’agit d’un bel exemple de l’architecture francilienne du XVIIIe siècle.

Loisirs, équipements culturels, sportifs et sites touristiques, Antony est riche d’animation et de dynamisme. Antony est l’une des communes les plus vertes de toute l’Île-de-France et bénéficie du label ville fleurie. Sur son territoire, on peut profiter du parc de Sceaux et du parc Heller et sa ferme qui héberge des cochons, des chèvres ou des moutons, du parc Bourdeau, du parc Raymond Sibille ou encore du bois de l’Aube, notamment. La coulée verte sud prend également place à Paris Antony. Ce dernier comprend une partie du parcours de la Via Turonensis, l’un des chemins du pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle.

Le patrimoine architectural religieux est riche à Antony avec l’église Saint-Saturnin possédant les parties les plus anciennes d’Île-de-France datant de l’époque carolingienne jusqu’aux églises à l’architecture moderne. L’église Saint-Saturnin est « Située sur une jolie place plantée de tilleuls à l’emplacement de l’ancien cimetière, l’église Saint-Saturnin présente un triple intérêt : historique, archéologique et artistique ». A l’intérieur, outre le lavoir d’époque carolingienne, se trouvent des vitraux de la fin du XIXème – début du XXème siècle. Le chœur est de la fin du XIIe siècle, le clocher du XIVe, la nef du XVe siècle, et la chapelle sud est moderne. Le beffroi supporte quatre cloches : la plus ancienne, Charlotte Geneviève, de 1730.

L’église Sainte-Jeanne-de-Chantal possède un corps de logis issu de l’Exposition coloniale de 1931. L’église Saint-Jean-Porte-Latine a été construite entre 1964 et 1967 sur les plans des architectes Pierre Pinsard et Hugo Vollmar. Elle est dédiée à Saint Jean-Porte-latine, saint patron de l’industrie de l’édition. Le « Signal urbain », surmonté d’une croix géante, a été inauguré le 6 janvier 2002. L’église Saint-François d’Assise a été construite en 1972 sur les plans de l’architecte Paul Henry par les travaux du Cardinal.

L’église Sainte-Maxime a été construite de 1978 à 1980 par l’Œuvre des Chantiers du Cardinal. Il contient une grande statue de Sainte Maxime (1939) inscrite au titre des objets historiques. L’église Sainte-Odile (1933) a été construite sous la direction de l’architecte Charles Venner par l’Œuvre des Chantiers du Cardinal. L’église évangélique baptiste, d’architecture moderne avec de grandes fenêtres, a été entièrement reconstruite dans le cadre du projet d’aménagement de la Croix de Berny et inaugurée en mars 2001.

La politique de protection et de valorisation de l’environnement fait d’Antony l’une des communes les plus vertes d’Île-de-France : outre le parc de Sceaux, on y compte 750 000 m2 de parcs, bois et allées arborées. Les terres de la région sont particulièrement adaptées aux Glycines qui recouvrent les maisons au printemps, ainsi qu’aux rosiers. Les plus grands parcs d’Antony sont : le Parc de Sceaux ; Parc Heller ; Parc Raymond Sibille; Parc Bourdeau; les pistes vertes de Godets et Paradis ; les pistes vertes du TGV ; Bois d’Aurora. Ces parcs sont plantés d’arbres remarquables par leur taille, leur âge, leur histoire, leur rareté botanique, ou particulièrement élégants ou pittoresques. La ville est plantée de plus de 50 espèces différentes. À l’intérieur du parc Heller se trouve la ferme Antony qui permet aux enfants de jouer avec des cochons, des vaches, des chèvres et des moutons ainsi qu’avec des poules, des oies et des lapins. Il est géré par le poney club.

Sèvres
Aux portes de Paris, Sèvres – Cité de la Céramique est un lieu de liesse pour tous les curieux, amoureux d’art et de culture, à travers la diversité des événements qui y sont organisés. Ce lieu rassemble des collections exceptionnelles de céramiques du monde entier et de toutes les époques. La Cité de la Céramique abrite également des poteries, de nombreuses faïences, grès et porcelaines… Mais Sèvres ne se contente pas d’être un lieu d’exposition, c’est aussi un espace de production de porcelaine unique au monde, une Manufacture toujours en activité depuis le XVIIIème siècle. .

Faïences et porcelaines européennes du XVIe siècle à nos jours, vases de Sèvres des XIXe et XXe siècles ou production contemporaine de porcelaine, les espaces du Musée de la Céramique offrent de riches collections. Artistes plasticiens et designers – de Boucher, Duplessis, Falconet au XVIIIe siècle, Carrier-Belleuse, Rodin au XIXe siècle, en passant par Ruhlmann dans les années 1930, Decoeur, Mayodon, Calder, Poliakoff dans les années 1950 et 1960, et plus récemment Pierre Alechinsky , Zao Wou-ki, Jean-Luc Vilmouth, Borek Sipek, Louise Bourgeois, Ettore Sottsass, Bertrand Lavier, Pierre Soulages, Pierre Charpin, Christian Biecher possèdent les collections de Sèvres.

La modernité

De nombreux pionniers se sont installés dans le département. Des avant-gardes du mouvement Dada à l’édifice tout en courbes et disruptif de Frank Gehry, les Hauts-de-Seine préservent la mémoire de plus d’un siècle d’art et d’architecture. Il est possible de faire, dans le département, un véritable parcours d’art contemporain à ciel ouvert : entre la Tour aux Figures et Paris La Défense Art Collection qui rassemble dans le quartier des affaires les chefs-d’œuvre de Miro, Calder ou César, c’est l’ensemble seconde moitié du XXe siècle qui exprime à la fois ses rêves et sa foi en l’avenir.

L’ouest parisien a souvent fait l’objet d’expérimentations architecturales. Moins figé que la capitale dans son décor haussmannien, les Hauts-de-Seine comptent un grand nombre d’édifices remarquables. Une fois de plus, c’est La Défense qui concentre à elle seule certains de ces trésors avec l’emblématique Grande Arche de La Défense ou l’incroyable voûte en béton du CNIT. A quelques pas du quartier des affaires, prenez le temps de découvrir le petit joyau de Courbevoie qu’est le Pavillon des Indes pour découvrir l’extraordinaire saga familiale des Foulds.

Seine Musicale
Conçue comme la « porte d’entrée de la Vallée de la Culture », la Seine Musicale de l’Île Seguin est un ensemble unique en France et en Europe qui promeut la culture. La Seine musicale est située à la pointe aval de l’Île Seguin sur 2,35 hectares. L’ensemble architectural s’étend sur près de 280 mètres le long de la Seine. Cet ensemble offre aux Hauts-de-Seine un équipement culturel à vocation musicale de très haut niveau et à fort rayonnement, tant dans le domaine de la diffusion du spectacle que dans celui de la création et de la pratique. Le long du fleuve qui structure le département, l’objectif est de créer une scène permanente de loisirs et de culture pour tous les publics.

Afin de placer durablement la Seine Musicale dans le cercle restreint des références internationales, sa programmation a été conçue selon les règles artistiques les plus strictes. La programmation de l’Auditorium se distingue par la programmation d’artistes de renom et de l’orchestre Insula ainsi que par ses propres productions. Il s’inscrit dans une dimension internationale de partenariats avec des lieux européens similaires pour favoriser les échanges artistiques.

CNIT La Défense
Situé sur le Parvis, au milieu des tours du quartier d’affaires de Paris La Défense, le Centre National des Industries et Techniques créé en 1958 est le premier bâtiment du quartier. C’est encore aujourd’hui une véritable prouesse architecturale à découvrir avec sa grande voûte en béton de 22 250 m². Construit pour accueillir de grands salons populaires, le CNIT est aujourd’hui une annexe du centre commercial Les 4 Temps et propose plus de 40 boutiques et restaurants. Après sa superbe rénovation qui a duré 3 ans, il vous accueille dans un cadre spacieux et élégant pour une pause détente au cœur de La Défense. Désormais, ses sous-sols aménagés accueillent de nouvelles activités : live escape game, escalade ou encore golf indoor.

Pont du Japon
Ce vaisseau de verre et d’acier situé à La Défense assure la liaison entre deux immeubles de bureaux : la Tour Pacifique et le bâtiment Kupka. Il surplombe, à environ 15 mètres de hauteur, un réseau routier. Le Japan Bridge conçu par l’architecte japonais Kisho Kurokawa a une portée unique de 100 mètres. Pour concevoir ce pont piétonnier, Kurokawa s’est inspiré du design des ponts traditionnels japonais. Le tablier en acier est doté d’une voûte transparente qui protège entièrement les usagers de la passerelle. Il est suspendu à deux arcs en acier, peints en rouge, qui se rejoignent en leur milieu et qui prennent appui sur chacun des bâtiments.

Yves-du-Manoir stadium
Dédié au sport depuis 1883, le site était à l’origine un hippodrome de la banlieue parisienne. Depuis le début du XXe siècle, le stade accueille des matchs de football et de rugby ainsi que des compétitions d’athlétisme. Il prend alors le nom de Stade du Matin et le Racing Club de France devient locataire des installations. C’est à partir des années 1920 que le Stade acquiert une dimension légendaire en accueillant les Jeux Olympiques d’été de 1924. Dotés d’une identité forte qui porte haut les couleurs du département, les joueurs ciel et blanc véhiculent des valeurs de courage, de solidarité et de ténacité.

Cent ans après les premiers jeux, le stade revient sur le devant de la scène pour les Jeux Olympiques de 2024. D’importants travaux de modernisation débuteront en 2022 pour accueillir les entraînements et événements de hockey sur gazon. L’objectif est de transformer l’ancien fief du rugby d’Altosequan en capitale française du hockey. Après les jeux, le site accueillera les locaux et le centre national d’entraînement de la Fédération française avec deux terrains et une tribune permanente de 1 000 places. Parallèlement, quatre terrains de football et trois terrains de rugby, tous éclairés et synthétiques, ainsi qu’un nouveau ring d’athlétisme prendront place au niveau de l’aire de jeux existant actuellement derrière le stade.

Pavillon Vendôme
Le Pavillon Vendôme est un témoignage de l’architecture française classique. Cet édifice propose aux visiteurs un voyage dans le temps, oscillant entre le XVIIe et le XXIe siècle. La demeure fut probablement construite par le jeune Jules Hardouin Mansart, premier architecte du roi, puis aménagée par lui pour Philippe de Vendôme, cousin de Louis XIV. Les plus grands artistes de l’époque y travaillèrent en même temps qu’à Versailles. Parmi eux, le peintre Claude III Audran dont le plafond qu’il a peint dans la salle principale du pavillon est le seul qui subsiste en France. Depuis 2016, il accueille également l’Office de Tourisme de Clichy. L’établissement propose désormais un service de restauration sur place ainsi qu’un jardin paysager ouvert à tous.

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Pavillon de l’Inde britannique
Construit pour l’Exposition universelle de 1878 à Paris, le Pavillon des Indes britanniques fut commandé par le prince de Galles, futur Édouard VII, pour exposer les cadeaux reçus lors de son voyage en Inde. Appréciée pour son exotisme, elle fut rachetée par les propriétaires du Château de Bécon et transformée en villa-atelier. Les espaces intérieurs ont été peu modifiés et recréent parfaitement l’ambiance qui régnait dans ces lieux. La réhabilitation architecturale du Pavillon des Indes a permis au bâtiment de renouer avec son passé artistique : l’ancien atelier accueille un artiste en résidence tous les 2 ans. Une exposition permanente présente l’histoire du lieu depuis l’Exposition universelle de 1878 jusqu’à nos jours.

École en plein air
L’École de Plein Air de Suresnes est située sur le flanc sud du Mont-Valérien dans un parc de 2 hectares. En 1935, Henri Sellier, alors maire de Suresnes, initie la construction de cet établissement et confie sa construction aux architectes Eugène Beaudoin et Marcel Lods. Né en Europe au début du XXe siècle, le mouvement des écoles en plein air répondait à des volontés hygiénistes. Leur construction allie air et lumière, offrant à l’enfant un développement à la fois physique et intellectuel. Poursuivant sa vocation originelle, l’École de Plein Air abrite aujourd’hui l’Institut National Supérieur de Formation et de Recherche pour l’Éducation des Jeunes Handicapés et l’Éducation Adaptée.

Villa Hennebique
La Villa Hennebique était à la fois une maison familiale et un outil de promotion du béton armé, une toute nouvelle technique dont François Hennebique est l’inventeur. Emblème de l’entreprise Hennebique, cette Villa est un véritable manifeste des possibilités techniques et esthétiques du béton armé, regroupant la plupart des systèmes constructifs développés par l’entreprise. Les volumes sont disposés de manière complexe et originale – retraits d’ailes, dénivelés, saillies en encorbellement, murs en porte-à-faux, hautes verrières et ouvertures irrégulières – intégrant toujours le jardin à tous les niveaux de la maison. Témoignant de l’élasticité et de l’étanchéité du béton armé, la tour comprend un réservoir d’eau servant à l’arrosage du jardin suspendu, situé sur le toit de la maison.

Héritage historique

Châteaux, demeures de charme ou encore hôtels particuliers parsèment le département des Hauts-de-Seine. Du château de Sceaux au château d’Asnières-sur-Seine en passant par la résidence impériale de Malmaison, prenez le temps de découvrir le patrimoine bâti et poursuivez votre visite par l’une des dix-huit balades architecturales proposées dans les villes du département. L’ouest parisien regorge de lieux méconnus comme le Mastaba 1, situé à La Garenne-Colombes ou le Pavillon des Indes situé à Courbevoie et construit pour l’Exposition universelle de 1878. Insolite, la Tour aux Figures de Jean Dubuffet est visible au coeur du Parc de l’Île Saint-Germain. Visitez également des lieux prestigieux comme la Fondation Louis Vuitton au Bois de Boulogne ou le CNIT sur la place de La Défense.

The Domaine National de Saint-Cloud
Le parc historique de Saint-Cloud offre une évasion paisible au milieu de jardins à la française, de bosquets, de statues et de fontaines. Situées au cœur du domaine départemental de Sceaux, à quelques pas de Paris, les collections du musée de Sceaux proviennent d’un fonds provenant, en partie, du musée Carnavalet à Paris et se sont ensuite enrichies d’acquisitions prestigieuses ainsi que de dons. . Ces œuvres mettent désormais en lumière les différents propriétaires du Domaine et invitent le visiteur à mieux comprendre l’art de vivre à la française. Le Musée départemental consacre désormais l’art du goût à la française. Peintures, arts graphiques, mobilier ou encore objets d’art sont abrités au cœur de ce Château Second Empire.

L’Orangerie du Château de Sceaux, construite à la fin du XVIIIe siècle par Jules Hardouin Mansart et conçue à l’origine comme une galerie d’art, conserve les sculptures des jardins de l’époque de Colbert. Le Pavillon de l’Aurore, exceptionnel pavillon de jardin datant du XVIIe siècle, est orné d’une coupole peinte par Charles Le Brun sur le thème de l’Aube. Les écuries Colbert, aujourd’hui réhabilitées, proposent plusieurs services : boutique, espace multimédia, espace d’exposition temporaire et restaurant : Le Trevise. Le Petit Château, construit en 1661 et acheté par Colbert en 1682 pour recevoir ses invités, est aujourd’hui l’espace consacré aux expositions d’arts graphiques du musée.

National Museum of the Châteaux of Malmaison and Bois-Préau
Le Château de Malmaison a été construit entre 1800 et 1802 par les architectes Percier et Fontaine à partir d’une ancienne maison du XVIIème siècle. Ancienne résidence de Napoléon Bonaparte et Joséphine de Beauharnais, le Château de Malmaison vous plongera dans l’époque impériale française. Explorez les jardins pittoresques entourant la propriété. De 1801 à 1802, le gouvernement de la France était installé ici, autant qu’à Paris, dans ce château où se tenaient jour après jour réunions de travail, réceptions officielles et privées, bals et jeux champêtres… Visite du Château et le parc permet d’apprécier tout le charme de cette demeure de campagne située à seulement huit kilomètres de Paris. Ce lieu a su conserver son atmosphère intimiste et son caractère authentique.

Avec le château voisin de Bois-Préau qui fut également acquis par le couple impérial, le château de Malmaison forme aujourd’hui le Musée national des châteaux de Malmaison et de Bois-Préau. C’est dans ces salles, au bureau ou en salle du conseil, que furent prises la plupart des grandes orientations et décisions du Consulat : le Code civil, la Légion d’honneur… De nombreuses œuvres d’art d’époque sont présentées, dont plusieurs des tableaux ainsi que de nombreux meubles ou arts de la table… Au premier étage, se trouve la salle ovale, en forme de tente rouge et or, où séjourna l’Impératrice. L’exceptionnelle collection de souvenirs de l’exil de Napoléon à l’île Saint-Hélène, de 1815 jusqu’à sa mort en 1821, également présentée au public.

Albert-Kahn, Musée et Jardin Départemental
L’ancienne propriété du banquier Albert Kahn appartient désormais au Conseil départemental des Hauts-de-Seine. De 1909 à 1931, il envoie des opérateurs photographier et filmer plus de 60 pays. Les images sont rassemblées dans les Archives de la Planète, une collection de 180 000 mètres de films noir et blanc et de plus de 72 000 plaques autochromes, premier procédé industriel de photographie en vraies couleurs, dont le musée possède aujourd’hui la collection la plus importante au monde. .

L’idéal de diversité culturelle du banquier se retrouve aussi dans ses magnifiques jardins de Boulogne, qu’il aménagea entre 1895 et 1910 et dont les 4 hectares, partie intégrante des collections, permettent un voyage végétal à travers le monde. Le banquier philanthrope a ainsi réuni et combiné harmonieusement les jardins les plus divers, à l’image du monde dont il rêvait : jardin anglais, jardin japonais, jardin à la française, roseraie, verger…

Sainte-Geneviève Cathedral
L’église a été construite principalement en 1924 et 1937 mais ses origines sont bien plus anciennes puisqu’une paroisse existait en ces lieux dès le IIIe siècle. Ce n’est qu’en 1966 qu’elle devint cathédrale. L’histoire de sainte Geneviève y a laissé une trace très forte et ce site majestueux fait encore aujourd’hui l’objet de pèlerinages en raison de son puits miraculeux réputé et de sa très ancienne chapelle souterraine, qui marque l’emplacement supposé de la maison natale de la sainte.

Maison de Chateaubriand
Le domaine départemental de la Vallée-aux-Loups est composé de la Maison de Chateaubriand, de l’Arboretum, du parc arboré et de l’Île Verte. C’est l’un des trois musées du Conseil Départemental des Hauts-de-Seine. Située à quelques kilomètres de Paris, la Vallée-aux-Loups offrit en 1807 à Chateaubriand un chez-soi à l’écart de la scène politique. Aménageant lui-même une maison et un parc, il fit de la Vallée-aux-Loups la demeure d’un voyageur immobile vivant parmi les souvenirs des pays parcourus, parlant des patries spirituelles de l’homme comme des correspondances intimes entre la nature et le lieu de vie et création. La Maison de Chateaubriand vous invite à faire ce voyage immobile au cœur du romantisme, sur les traces de l’Enchanteur…

Maison des Jardies – Maison de Gambetta et propriété de Balzac
Cherchant du repos loin de Paris, Gambetta devient propriétaire, 40 ans après Balzac, du petit pavillon des Jardies, à Sèvres. La maison Jardies a conservé son décor d’origine et rassemble divers objets ayant appartenu à Balzac et Gambetta. Après d’importants travaux de rénovation, la maison est devenue un musée géré par le Centre des Monuments Nationaux.

Mont Valérien, Memorial to Combatant France
Ancien ermitage avant de devenir un élément phare des fortifications de Paris au XIXème siècle, le Mont-Valérien a une histoire aussi tragique que poignante lors de la Seconde Guerre mondiale. Dans les anciennes écuries du fort, vous pourrez découvrir l’exposition permanente « Résistance et répression, 1940-1944 » qui retrace l’histoire de la Seconde Guerre mondiale en général et du Mont Valérien en particulier. La clairière des exécutés est le lieu où ont eu lieu les exécutions. Non loin de là se trouve la chapelle des exécutés dans laquelle étaient détenus certains condamnés en attendant leur exécution. Des graffitis, témoignages poignants encore visibles aujourd’hui, recouvrent les murs de l’ancienne chapelle. Vous pourrez emprunter le sentier de mémoire qui suit les traces des condamnés, observer le monument aux fusillés érigé en 2003 et enfin le mémorial de la France Combattante au cœur duquel reposent 16 morts pour la France.

Castle of Asnières-sur-Seine
Cette jolie demeure construite au milieu du XVIIIème siècle a été décorée et meublée dans le style rocaille parisien et avec un goût pour la perfection. Le Château d’Asnières est une œuvre significative et typique du XVIIIe siècle ; la chambre du marquis conserve ses caractéristiques et les deux escaliers principaux possèdent de très belles rampes en ferronnerie de cette époque. Lorsque le Marquis de Voyer est nommé directeur général du Haras de France, il se doit d’abriter les meilleurs éléments de la race chevaline. Son domaine s’étendait alors de l’actuel pont de Clichy jusqu’à celui d’Asnières et comprenait divers jardins, de grandes écuries et un manège à ciel ouvert. Aujourd’hui, un bronze monumental représentant un cheval cabré trône dans la cour du château et rappelle le passé équestre de ce lieu.

Château de la Petite Malmaison
Construit en 1805 pour l’Impératrice Joséphine, par l’architecte Berthault, le Château de la Petite Malmaison était la grande serre du domaine de la Malmaison où Joséphine acclimatait les plantes les plus rares. La serre aujourd’hui disparue, le parc et les salons de la Petite Malmaison conservent l’attrait et le charme d’une maison particulière. L’Impératrice se consacra sans réserve à l’embellissement et à la décoration de ce lieu en faisant appel à des artistes de renom comme le marbrier Gilet et l’ébéniste Jacob Desmalter. Son aquarelliste, PJRedouté dit « le Raphaël des fleurs », y créa ses plus belles roses.

Espace culturel
L’ouest parisien est riche d’une histoire passionnante étroitement liée à la capitale. Territoire apprécié des artistes en raison de ses quais de Seine verdoyants, les Hauts-de-Seine ont aussi été profondément marqués par la révolution industrielle et le passage de personnages illustres. Une visite dans les Hauts-de-Seine peut être totalement culturelle, ce département est riche en musées et en maisons d’art. Plusieurs des plus grands artistes, peintres, poètes et écrivains ont vécu dans cette partie de l’Ile de France. Que vous soyez passionné d’art, d’urbanisme, d’automobile, d’histoire ou de nature, vous trouverez dans les Hauts-de-Seine un large éventail de découvertes à faire.

Des femmes et des hommes célèbres ont marqué les villes des Hauts-de-Seine et de l’ouest parisien. C’est le cas de Meudon où se situe la Villa des Brillants, demeure intime du sculpteur Rodin. Côté Rueil-Malmaison, c’est l’histoire du couple impérial Joséphine et Napoléon Bonaparte que vous pourrez découvrir en vous baladant dans le château de Malmaison. De grandes collections d’intérêt international comme celles de Sèvres – Cité de la Céramique ou Albert Kahn, Musée et jardins départementaux côtoient des adresses plus intimistes et insolites comme la Fondation Arp.

Musée Albert-Kahn
Le musée Albert-Kahn abrite une collection exceptionnelle de photographies et de films datant du début du XXe siècle. La rénovation du musée départemental Albert-Kahn à Boulogne-Billancourt est l’un des projets emblématiques de la Vallée culturelle des Hauts-de-Seine. Il offre un aperçu précieux de la vie en France et dans le monde à cette époque. Ce site de quatre hectares, classé « musée de France » par l’État, et désormais inscrit aux Monuments historiques, rassemble des collections uniques au monde qui constituent un ensemble cohérent autour de l’œuvre du banquier humaniste.

La Générale en Manufacture
Les quelque 100 artistes du collectif d’artistes alternatifs et autodéterminés « La Générale », qui occupaient en 2005 un immeuble du ministère de l’Éducation nationale dans le quartier de Belleville (19e arr.) vacant depuis des années, mais qui a dû le quitter en raison d’un sur décision de justice, s’installent dans l’ancienne école de céramique de Sèvres et y poursuivent leurs diverses activités artistiques et sociales (beaux-arts, théâtre, cinéma, multimédia, design, etc.). En plus des ateliers collectifs, ils animent un « laboratoire » social, une cantine et mettent à disposition des salles d’expositions. L’un des principes de base du collectif est l’échange avec des personnes partageant les mêmes idées nationales et étrangères et leur accueil. Ce lieu de rencontre actif et indépendant est une perle rare dans le paysage culturel français dominé par les pouvoirs officiels.

Maison des Arts de Malakoff
Petit mais sympathique centre culturel périurbain géré par la ville de Malakoff et une association privée avec des expositions temporaires d’art contemporain. Pendant les mois d’été, le gazebo Cabanon ouvre dans le parc voisin avec un menu bio à deux ou trois plats à un prix imbattable.

Musée d’Histoire Urbaine et Sociale de Suresnes
Le Musée d’Histoire Urbaine et Sociale de Suresnes présente l’évolution de la ville, il est particulièrement axé sur l’urbanisme social des années 1920 et 1930. A travers sept séquences, les visiteurs découvrent le passé religieux et militaire du Mont Valérien, l’histoire agricole et viticole de la ville puis le passé industriel avec ses entreprises de blanchisserie, biscuiterie, parfumerie, aéronautique, automobile et électroménager (Olibet, Coty, Worth , Darracq, Blériot, ou encore La Radiotechnique, devenue Philips).

Au premier étage, la personnalité d’Henri Sellier (maire de Suresnes de 1919 à 1941) est évoquée grâce aux dons de sa famille, ainsi que ses projets urbains (la cité-jardin notamment) et ses projets sociaux (École de plein air , groupes scolaires, etc.) des années 1920-1930.

La muséographie est moderne et interactive, avec de nombreux multimédias pour tous les publics. Le projet architectural a été confié aux architectes « Encore Heureux ». Elle s’appuie sur l’ancienne gare Suresnes – Longchamp, réhabilitée et dotée d’une extension moderne, permettant d’accueillir des espaces d’expositions temporaires, l’atelier, le centre de documentation. C’est le point de départ d’un parcours à travers la ville ponctué de 21 mâts, qui présentent les édifices majeurs de son histoire contemporaine. A l’occasion de son exposition « Suresnes à travers le Mont-Valérien », le Musée d’Histoire urbaine et sociale de Suresnes propose l’atelier Signalisation routière.

Rueil-Malmaison Local History Museum
Musée d’Histoire Locale de Rueil-Malmaison installé dans l’ancien Hôtel de Ville construit sous le Second Empire, de style Napoléon III, il retrace l’histoire de Rueil-Malmaison à l’aide de nombreux documents et maquettes originaux. Au cours de la visite, vous découvrirez que Richelieu, Joséphine, Napoléon Ier, Napoléon III, Jacques Faizaut ont résidé dans la ville. Vous découvrirez également d’anciennes activités industrielles : blanchisserie, cartes postales et le bélinographe (appareil transmettant des dessins ou des photographies par fil). Enfin, une salle dédiée à l’Empire présente la Grande Armée illustrée par 1 600 figurines remarquables. Inaugurée en mai 2016, la nouvelle salle momie du musée vous permettra de découvrir l’histoire de ce vestige découvert en l’an 2000 par des agents municipaux lors d’une collecte d’encombrants.

Musée Historique du Domaine National de Saint-Cloud
Le Musée historique du Domaine national de Saint-Cloud à l’ouest de Paris donne un aperçu de l’architecture et du décor qui régnaient alors dans ce château aujourd’hui disparu. Le Domaine de Saint-Cloud sera successivement la propriété du frère de Louis XIV, de la reine Marie-Antoinette, puis la résidence d’été de tous les souverains français jusqu’à la chute de Napoléon III. Après le coup d’État du 18 Brumaire, c’est au cœur du Château de Saint-Cloud que Napoléon Bonaparte créa le Consulat. Incendié pendant la guerre de 1870, le Château de Saint-Cloud fut malheureusement rasé en 1892. De glorieux souvenirs subsistent et sont présentés au Musée Historique du Domaine de Saint-Cloud. De nombreux tableaux, sculptures et porcelaines font revivre les belles heures de ce lieu qui a marqué l’histoire de France.

Musée Municipal d’Art et d’Histoire de Colombes
Le Musée municipal d’art et d’histoire de Colombes présente des collections diversifiées retraçant des épisodes de l’histoire de la ville riches en événements et personnalités. Le musée évoque l’origine et l’évolution de cette banlieue parisienne. Les collections permanentes présentent un panorama de l’histoire de Colombes sous l’Ancien Régime, avec les grands domaines d’Henriette d’Angleterre et le Moulin Joly de Claude-Henri Wattelet, l’un des premiers jardins « pittoresques » du XVIIIe siècle.

L’arrivée de la modernité et le développement d’industries innovantes sont marqués à Colombes par les parfumeurs avec Guerlain, Sauzé, Kerkoff, l’aéronautique avec Gnôme et Rhône, Amiot, l’automobile avec Facel-Véga et Hispano-Suiza, la téléphonie Ericsson. Joyau de l’histoire de la ville, le stade Yves du Manoir, lieu mythique de la 8e Olympiade (1924), et des plus grands événements sportifs jusque dans les années 1970, est agréablement évoqué. La section Beaux-Arts présente des peintures du XVIIIe siècle de Van Balen, Van Thulden, Boulogne le Jeune ; le XIXe siècle est avantageusement présenté avec Ribot, Bienvêtu, Caillebotte et Victorine Meurent (Olympia de Manet). Expositions temporaires sur des thèmes historiques ou artistiques, conférences, ateliers, activités pédagogiques.

Musée des Gardes Suisses
Situé dans l’ancienne caserne de la Garde Suisse à Rueil-Malmaison, le régiment des Gardes-Suisses est un corps d’élite de l’Ancien Régime. Il était principalement chargé d’assurer la garde et la protection du roi. Ce musée recrée l’histoire de ce régiment et de ses hommes. La caserne de Rueil, construite en 1756 sous Louis XV par l’architecte Axel Guillaumot, est classée Monument Historique depuis 1973.

Musée Paul Belmondo
Installée dans le prestigieux Château Buchillot à Boulogne-Billancourt, une exceptionnelle collection de sculptures, dessins et médailles réalisés par l’artiste révèle le formidable esprit créatif de celui qui est l’un des derniers grands sculpteurs classiques du XXe siècle. Des boiseries chaleureuses et de nombreux coins et recoins incitent à la découverte, rappelant les passages secrets et les cabinets de curiosités du XVIIIe siècle. Le musée Paul-Belmondo attache une importance particulière au handicap visuel. Une galerie tactile, réalisée avec le soutien de la Fondation Aéroports de Paris, permet aux personnes malvoyantes de découvrir les œuvres de l’artiste avec leurs mains et pas seulement avec leurs yeux. Une évocation de l’atelier qu’il occupait dans les anciennes écuries du jardin de l’Observatoire ainsi que deux cabinets de dessins et de médailles montrent un autre aspect du talent de Paul Belmondo.

Musée des années 30
Le Musée des années 1930 est situé à Boulogne-Billancourt. Consacré à la riche période de l’art classique et aux différents courants du réalisme de l’entre-deux-guerres. Les représentations de l’art sacré, de l’Art Déco, de l’art animalier ou encore du portrait offrent un regard transversal sur la production artistique de cette période. Sur 3 000 m², de grands noms sont représentés. Architectes, industriels et artistes qui ont fait le XXe siècle. A travers la présentation de documents et de maquettes architecturales qui complètent cette collection et qui symbolisent l’atmosphère d’une époque.

Découvrez le Musée des années 1930 et admirez les tableaux de Boutet de Monvel, Alfred Courmes, Maurice Denis, Amédée de La Patelière, Eugène Poughéon, Jean Souverbie, Henry de Waroquier. Les sculpteurs de Joseph Bernard à Charles Despiau et Alfred Janniot ou encore Paul Landowski et les frères Martel… Une collection de meubles de grands architectes d’intérieur comme Ruhlmann ou Leleu sont également présents.

Musée Paul Landowski
Le musée Paul Landowski de Boulogne-Billancourt, offre à ce grand sculpteur une place à la mesure de son œuvre et de son talent. Le musée comprend, après l’entrée, une grande salle principale et un espace latéral dédié à son intimité et à son enseignement. Encadré par son David et son Michel-Ange, respectivement Grand Prix de Rome et Portrait de l’artiste vieillissant, le parcours est construit sur un thème thématique en trois sections, structurées par les œuvres emblématiques de l’artiste, et culminant avec sa grande œuvre, Le Temple. de l’Homme.

Une diversité de production qui s’illustre par 60 sculptures, 5 peintures et 10 dessins. Attaché à un style classique, Paul Landowski célèbre son époque dans une série de créations monumentales présentes à Paris : Les Fils de Caïn au Jardin des Tuileries ou Le Monument aux Morts au Trocadéro mais aussi aux Invalides, au Père Lachaise et de cours sur la Place de la Porte de Saint-Cloud où les Fontaines art-déco marquent l’arrivée en ville.

Rodin Museum Meudon
La Villa des Brillants et son écrin de verdure deviennent en 1895 le jardin secret du sculpteur Auguste Rodin et de son épouse Rose Beuret. Lieu de vie et de création, le musée Rodin de Meudon est aussi un lieu de transmission où se déroulent de nombreux projets d’éducation artistique et culturelle, organisés pour les jeunes de tous âges et de tous horizons. La visite commence par la Villa des Brillants où Rodin a vécu les 20 dernières années de sa vie. A proximité, le visiteur découvre l’espace tactile où des reproductions d’œuvres en résine peuvent être découvertes au toucher. En contrebas, la galerie des plâtres est une véritable plongée au cœur de la création de l’artiste, la présentation des sculptures dans leurs états successifs permet au visiteur d’appréhender les différentes étapes du parcours créatif de Rodin. Dans le vaste parc, le tombeau de Rodin, surmonté du Penseur, accueille les visiteurs pour un moment méditatif face à la vallée de la Seine.

Châtillon Heritage House
La Maison du Patrimoine est un écrin de la mémoire de Châtillon, ce fut le banquier suisse, Antoine Hogguer de Saint-Gall, qui acquit la propriété en 1708, pour y installer sa maîtresse Charlotte Desmares, comédienne de la Comédie-Française. Antoine Hogguer, baron de Presles, fit appel à l’architecte français Debias-Aubry pour agrandir et embellir l’élégant édifice. La Maison du Patrimoine de la Ville de Châtillon est animée par l’association « Les Amis du Vieux Châtillon » qui présente ses collections permanentes au public. La Maison du Patrimoine permet aux Châtillonnais de s’approprier leur histoire collective, à travers les traces que la Ville a su préserver en patrimoine. Les collections patiemment constituées depuis trente-trois ans avec l’aide de la Ville, grâce aux dons des Châtillonnais et aux acquisitions financées par l’association, sont constituées d’œuvres d’art, d’archives et d’objets issus des traditions populaires et de prototypes industriels.

Musée Roybet Fould
Situé dans le parc Bécon, le musée de Courbevoie occupe la villa-atelier de la peintre Consuelo Fould (1862-1927). Le bâtiment principal construit au milieu du XIXe siècle a été agrandi par l’ajout du pavillon Suède-Norvège. Présentée à Paris lors de l’Exposition universelle de 1878, la façade en pin rouge de Norvège de l’architecte Henrik Thrapp-Meyer est l’un des rares exemples français d’architecture préfabriquée du XIXe siècle. Le musée Roybet Fould présente des œuvres du XIXe siècle dont celles des peintres Consuelo Fould et Ferdinand Roybet (1840-1920) ainsi que des sculptures de Jean-Baptiste Carpeaux (1827-1875).

Musée d’Art et d’Histoire de Meudon
Le Musée d’Art et d’Histoire de Meudon présente des peintures, des gravures et des maquettes. Niché dans la plus ancienne demeure de Meudon, le Musée fut la demeure du chirurgien pionnier Ambroise Paré ainsi que d’Armande Béjart, comédienne et épouse de Molière. Le musée conserve des sculptures et des peintures abstraites de la seconde moitié du XXe siècle, Rodin, Bourdelle ou encore Jean Arp y sont évoqués. Retrouvez les œuvres de César, Stahly, Dietrich Mohr, Lardeur, Le Moal ou encore Kijno… Un centre de documentation sur l’histoire de la ville est à votre disposition. Flânez dans un parc orné de sculptures monumentales.

Maison Dalpayrat
Festival de couleurs et de formes, l’art de Pierre-Adrien Dalpayrat se dévoile dans ce tout nouveau musée situé à Bourg-la-Reine. L’artiste a mis au point le fameux « Dalpayrat rouge », une technique qui donne à ses grès flammés une teinte sang de bœuf. Cette collection de 115 pièces d’art décoratif permet de découvrir ses célèbres grès colorés. Il rappelle ainsi le passé de la ville qui accueillit en 1773 la Manufacture Royale de Faïence et de Porcelaine. Plus d’une vingtaine de créateurs y résidèrent jusqu’en 1912, date à laquelle la dernière faïencerie ferma. Cette tradition est due à la qualité de l’argile du sol de la ville, traversé par de nombreux cours d’eau souterrains.

Atelier Gaston Garino
Fondée en 1882, l’entreprise De Dion-Bouton s’est rapidement implantée à Puteaux au Quai National, devenu depuis « Quai De Dion-Bouton ». En 1900, il était considéré comme le plus grand constructeur automobile au monde, produisant cette année-là près de 400 voitures et 3 200 moteurs. Désiré par un fan de la marque, l’Atelier Gaston Garino présente l’histoire de cette entreprise mythique et les souvenirs d’un glorieux passé industriel. Vous pourrez découvrir 5 voitures, 6 vélos, 2 moteurs, 1 motopompe et 1 cyclomoteur, tous issus des ateliers De Dion-Bouton.

Musée français des cartes à jouer
Le Musée Français de la Carte à Jouer propose une scénographie originale qui permet de suivre un voyage au rythme du temps. Du XVe siècle à nos jours, découvrez l’histoire de cet objet aussi commun que mystérieux. Voyagez avec des pièces rares ramenées des quatre coins de la planète. La visite du musée évoque tour à tour les arts décoratifs, les techniques de fabrication, le monde des joueurs ainsi que les arts du spectacle. Une deuxième galerie évoque l’histoire de la ville d’Issy-les-Moulineaux et son patrimoine : le Château des Princes de Conti, les débuts de l’Aviation, les liens de Rodin, Matisse et Dubuffet avec la Ville.

Maison de la Pêche et de la Nature
Retrouvez, dans les dix-huit aquariums d’eau douce du musée, les espèces de poissons de Seine : du gardon au poisson-chat, en passant par le black bass et le brochet. Découvrez également une collection inestimable de cannes, moulinets et autres équipements dédiés à la pêche, retraçant toute l’histoire de cette tradition millénaire. Le musée organise également de nombreux ateliers thématiques autour de la rivière et autour du rucher de Levallois-Perret (accessible en visite libre) qui compte pas moins de 1 200 000 petites abeilles. La structure propose également des activités de découverte de la nature (biodiversité, faune, forêts, milieux aquatiques…) le samedi et pendant les vacances scolaires.

Art contemporain et art public

Open-air museum at Paris-La Défense
Au cœur du quartier Paris-La Défense, facilement accessible tous les jours depuis le centre de Paris, découvrez la visite pédestre de Paris La Défense Art Collection. Elle est le résultat d’une ambitieuse politique d’acquisition d’œuvres artistiques initiée depuis la construction des premières tours du quartier. Découvrez des fresques, des sculptures, des peintures ou encore des vitraux dans un cadre architectural unique au monde. Miró, Calder, César… Les grands noms de l’art des XXe et XXIe siècles sont exposés. Découvrez des œuvres emblématiques comme L’Araignée Rouge de Calder qui impose son élégance. C’est également sur ce parcours que vous pourrez admirer Les Personnages de Joan Miró. Située à proximité du centre commercial Les 4 Temps, cette sculpture monumentale exprime tout le non-conformisme de l’artiste espagnol. Le Pouce de César, un regard en fonte de 18 tonnes, une prouesse technique autant qu’artistique.

Fondation Louis Vuitton
La Fondation Louis Vuitton, véritable écrin des collections, ce bâtiment offrant à la fois une vision complexe et une sensation de fluidité totale, il s’intègre dans son environnement naturel et joue avec la lumière. Découvrez une collection permanente avec plusieurs séries de chefs-d’œuvre d’artistes tels qu’Andy Warhol, Jean-Michel Basquiat, Philippe Parreno et Annette Messager ou encore Gerhard Richter. Des expositions temporaires enrichissent régulièrement ce musée et de nombreuses performances sonores ou visuelles rythmeront ce lieu unique.

Pavillon sur l’Île Seguin
Le Pavillon de l’Île Seguin utilise les grands formats pour raconter des histoires, du Moyen Âge à 2018, à travers une grande fresque chronologique, agrémentée de films, de photos et de maquettes. Aidez-nous à découvrir ce que deviendront l’Île Seguin et le quartier du Trapèze dans les années à venir. Remontez le temps pour flâner au XIe siècle et faites un détour par l’époque des usines Renault, période majeure de l’histoire industrielle et sociale de la France. Renault expose ses voitures de collection au pavillon avec un nouveau véhicule chaque trimestre. Des expositions temporaires et des conférences sont régulièrement organisées.

Arp de Clamart Foundation
La Fondation Arp de Clamart constitue un lieu de création unique en région parisienne abritant une partie importante du patrimoine artistique des deux artistes. Jean Arp, d’origine allemande, participe au célèbre groupe pionnier Der Blaue Reiter avant de devenir l’un des fondateurs du mouvement Dada avec Sophie Tauber qu’il rencontre à Zurich et qu’il épouse en 1922. En 1929, le couple s’installe à Clamart. dans une villa conçue selon les plans de Sophie Taueber elle-même et qui servira de cadre à la création de ces deux pionniers universellement reconnus de l’art du XXe siècle. Ce lieu est un témoignage essentiel de la perception et de la connaissance de leur travail artistique : voir les œuvres dans l’intimité et la lumière de l’atelier où elles sont nées, repérer les traces de toutes sortes qui y sont conservées.

JAD
Le Jardin des Métiers d’Art et du Design – JAD est un nouveau lieu dédié aux métiers de l’art et du design à Sèvres. Un lieu unique de création et d’innovation où artisans et designers, exigences et passions. Il favorise le dialogue entre artisans et designers installés en résidence au sein de cet établissement des Hauts-de-Seine. Chargé d’histoire et classé Monument Historique, cet ensemble architectural est situé à proximité directe de Sèvres, Manufacture et Musée National. JAD regroupe : 20 ateliers ; une galerie d’exposition ; un espace de conférence ; un espace de coworking ; salles de réunions.

Atelier appartement Le Corbusier
Le studio de Le Corbusier occupe les deux derniers étages de l’immeuble Molitor, situé au numéro 24 de la rue Nungesser-et-Coli à la frontière de Paris et Boulogne Billancourt. Baigné de lumière, l’appartement de Le Corbusier abrite également l’atelier de peinture de l’architecte. L’orientation est-ouest et l’environnement exceptionnel de cet édifice le placent « dans les conditions d’une ville rayonnante » pour Le Corbusier. Ce projet d’immeuble locatif représente l’occasion pour l’architecte de tester la validité de ses propositions en termes d’urbanisme. L’absence de vis-à-vis permet à Le Corbusier, aidé de son cousin Pierre Jeanneret, de construire des façades entièrement vitrées, créant ainsi le premier immeuble d’habitation en verre de l’histoire de l’architecture.

Galerie Édouard-Manet
C’est au cœur du quartier Village de Gennevilliers que se situe l’EMBA – Galerie Edouard-Manet. Active depuis 1968, la galerie d’art contemporain jouit d’une renommée nationale et expose des artistes émergents ou reconnus de la jeune scène française. Au cœur des processus de création et de transmission culturelle, la Galerie Edouard-Manet s’engage également dans une démarche de soutien à la recherche curatoriale.

J’ai une fontaine monumentale
Œuvre spectaculaire et musicale, la fontaine monumentale Agam est un superbe exemple d’art cinétique, son système propulse les 66 jets d’eau à une hauteur de 15 mètres. Un système de propulsion unique avec variateur de fréquence crée l’effet de « boules » d’eau dans le ciel. L’eau se déverse ensuite dans une cascade d’environ 7 m de haut, se déversant sur la place de La Défense. Lorsque la fontaine est inactive, les formes et les couleurs du bassin donnent une illusion de mouvement le long de la cascade. Située au centre de l’Esplanade de La Défense, la monumentale Fontaine Agam a été conçue comme une œuvre d’art spectaculaire, à l’image du quartier dans lequel elle se situe.

Avec ses 86 tons différents d’émaux vénitiens, cet ensemble très coloré est l’œuvre de l’artiste israélien Yaacov Agam qui fut élève du Bauhaus. En trente ans, le système a évolué et s’est miniaturisé : les grandes armoires de commande ont aujourd’hui été remplacées par un seul petit coffret de quelques centimètres. Avec le beau temps, la fontaine Agam redevient un spectacle. Comme chaque année, les ballets aquatiques font leur retour avec des jets d’eau silencieux, à midi, et des ballets musicaux, aux heures de bureau, pour un pur moment de détente contemplative…

L’araignée rouge de Calder
L’araignée rouge trône sur l’esplanade de La Défense, devant le bâtiment de la Place Défense. L’Araignée Rouge est une œuvre d’art du sculpteur américain Alexander Calder. Érigée en 1976, cette sculpture monumentale, aussi appelée « stable » selon les propres mots de l’artiste, porte son nom en opposition aux célèbres mobiles de l’artiste. Mesurant 15 mètres de haut et pesant 75 tonnes, le Spider est en acier peint en rouge. Cette œuvre fait écho à une autre sculpture de l’artiste : le Flamingo (de l’anglais « pink flamingo ») située à Chicago aux Etats-Unis et installée deux ans auparavant.

Tour des Chiffres
La Tour des Figures est située dans le Parc Départemental de l’Île Saint-Germain à Issy-les-Moulineaux. Haute de 24 mètres, cette sculpture monumentale a été réalisée d’après le modèle conçu en 1967 par Jean Dubuffet. Sa charpente en béton armé est recouverte d’une coque composée de 90 panneaux moulés en résine époxy. Il se caractérise par un graphisme noir sur fond blanc rehaussé de rouge et de bleu, typique de la période dite de l’Hourloupe, ce monde imaginaire imaginé par l’artiste. La Tour a été initialement conçue pour être visitée de l’intérieur où un parcours ascendant en noir et blanc attend le visiteur aventureux. La Tour des Figures est une œuvre atypique : la visite étonnante de l’intérieur de la tour s’apparente à une promenade en montagne, le sol est glissant, les marches sont peintes en trompe l’oeil et irrégulières, la tour n’est pas équipée de rampe.

Mastaba1
Ce bâtiment à l’architecture unique est recouvert de carrelage blanc avec coulis noir, marque de fabrique de l’artiste. Conceptualisé en 1986 par le plasticien Jean-Pierre Raynaud puis construit peu après à La Garenne-Colombes avec le concours de l’architecte des Monuments de France Jean Dedieu, Mastaba 1 est une œuvre originale unique. Décrit comme un « abri semi-enterré » par l’artiste, le Mastaba s’inspire des monuments funéraires de l’Egypte ancienne. Découvrez cette demeure d’exception éclairée par un immense puits de lumière. A l’extérieur, un pot rouge monumental, version du célèbre pot doré du centre Georges Pompidou, contraste avec la blancheur de la terrasse. Cette visite sera l’occasion pour vous de découvrir les œuvres de l’un des plus grands artistes plasticiens français, à l’intérieur de la maison qu’il a conçue et habitée.

Les personnages de Miró
Cet étrange duo de personnages mi-fantastiques mi-familiers, aux couleurs vives (bleu, jaune et rouge) marque, de ses douze mètres de hauteur, l’entrée des Quatre-Temps mais a été implanté avant l’ouverture du centre commercial. Dans cette œuvre, la prédilection de Mirò pour les univers colorés, aux formes fantaisistes et mal définies, snobe le conformisme du quotidien. Ces deux Personnages Fantastiques, inaugurés en 1978, sont réalisés en résine polyester.

Espace naturel

Dans l’ouest parisien, plusieurs lieux préservent et font revivre les traces du passé. Ainsi, vous pourrez découvrir de grands lieux de mémoire comme le Mont Valérien qui abrite le Mémorial de la France Combattante et le cimetière militaire américain de Suresnes ou encore le Mémorial de l’Escadrille Lafayette.

Situé à la sortie du métro Boulogne-Billancourt, le musée Albert Kahn est entouré d’un magnifique parc de 4 hectares. Ce musée contient une importante collection de photographies du XXe siècle. Il contient également de très beaux jardins typiques dont deux japonais, un jardin anglais et un français. Une très grande collection de chefs-d’œuvre artistiques sous forme de jardins laissés par le banquier pacifiste Albert Kahn.

La Vallée du Loup est un magnifique parc s’étendant sur plus de 50 hectares, entièrement aménagé de manière artistique. Dans ce parc vous pouvez voir la maison de Chateaubriand. Dans ce parc vous pourrez visiter trois parties : l’arboretum, le parc arboré et l’île verte. L’arboretum est destiné exclusivement à une collection d’arbres d’environ 500 espèces. Découvrez de magnifiques plantes spécialement conçues pour le plaisir des visiteurs. Le parc arboré est un excellent endroit pour une promenade paisible sur les petits sentiers escarpés. Et enfin l’île verte est un véritable coin de paradis où flore et étang se mélangent pour donner naissance à un chef-d’œuvre.

Le Parc de Saint Cloud, d’une superficie de 450 hectares, est accessible depuis Paris en métro. Si les grandes lignes du parc ont été dessinées par André Le Nötre, maître horticulteur du parc du château de Versailles, il est moins dessiné et plus naturel que le bois de Boulogne, bref plus idyllique. Aujourd’hui, un jardin occupe l’emplacement de l’ancien château détruit pendant la guerre franco-allemande et qui abrita entre autres Liselotte du Palatinat, Marie-Antoinette, Napoléon Bonaparte, le roi Charles X et Napoléon III. servait de résidence. La terrasse de l’Oranger offre une vue incomparable sur Paris. Dans l’allée des Marnes, qui mène tout droit à l’ouest derrière la grande cascade, la jolie terrasse du minuscule Châlet de Chamillard peint en vert invite sous les grands arbres et promet repos et bien-être physique au randonneur fatigué.

Pour les fans de football, le stade du Parc des Princes est un incontournable. Il sert de domicile au Paris Saint-Germain. Assistez à un match ou faites une visite guidée pour découvrir les coulisses du stade.

La Seine impressionniste
L’impressionnisme est l’une des époques artistiques les plus fascinantes de l’art moderne. Il témoigne des changements radicaux intervenus simultanément dans l’art et dans la société dans la seconde moitié du XIXe siècle. De nombreuses œuvres impressionnistes mettent en valeur la Seine, notamment dans l’ouest parisien. La seconde moitié du XIXe siècle voit naître, en France, un nouveau mouvement artistique qui marque une véritable rupture avec la peinture académique : l’impressionnisme. Boudés du public, les peintres adeptes de ce mouvement furent aussi la risée des critiques, tous plus virulents les uns que les autres.

Au cœur des Hauts-de-Seine, ce sont les paysages des villes du bord de Seine qui ont largement inspiré Caillebotte, Seurat, Manet, Monet et bien d’autres. Ainsi, Argenteuil et Gennevilliers, Rueil-Malmaison, Chatou, Levallois ou encore Asnières et Sèvres furent les sujets de nombreux tableaux. En choisissant de représenter « l’impression » ressentie lors de scènes de la vie quotidienne ou lors de la contemplation de la nature et des paysages, l’impressionnisme a conquis le monde entier. Nombreux sont les tableaux qui évoquent les villages d’Ile-de-France et les bords de Seine où s’épanouissent plaisanciers et nageurs.

Flânez sur les quais de Seine et plongez dans la Belle Epoque grâce à ce sentier impressionniste inauguré en septembre 2013. Du pont d’Asnières au pont de Clichy, découvrez les paysages qui ont inspiré des peintres célèbres tels que Van Gogh, Émile Bernard, Paul Signac. ou encore Seurat qui avait choisi la ville comme lieu de résidence ou d’inspiration. Sur les traces des grands peintres, la balade urbaine depuis la salle des mariages de l’Hôtel de Ville peut compléter la promenade : L’Hôtel de Ville et sa superbe salle des mariages reflètent parfaitement l’atmosphère de la commune du début du siècle dernier. Le décor peint, confié à Henri Bouvet et achevé en 1904, montre des vues d’Asnières et de ses environs, notamment les quais de Seine.

La promenade de Rueil-Malmaison, cette belle et longue balade de 13 kilomètres vous fera découvrir les trésors de la ville de Rueil-Malmaison. Mixte, il propose un parcours mi-urbain, mi-nature. Au départ de la gare RER A de Rueil-Malmaison, découvrez le Parc des Impressionnistes, dont les paysages s’inspirent des peintures des maîtres du XIXe siècle. Promenade avec un long parcours le long de la Seine. Vous longerez notamment l’Île des Impressionnistes et verrez la Maison Fournaise, célèbre pour avoir été représentée dans Le Déjeuner des canotiers d’Auguste Renoir. Après avoir longé le golf de Rueil-Malmaison et admiré le château de la Petite Malmaison, entamez un parcours dans les hauteurs de la commune et montez jusqu’aux vergers de Gallicourts. Admirez un panorama sur Paris et La Défense. Fin du parcours sur les traces de Joséphine et Napoléon autour du Château de Malmaison.

Située sur les communes de Levallois Perret et Neuilly-sur-Seine, à la fin du XIXème siècle, l’île de Jatte devient rapidement un lieu de fête et de loisirs pour les Parisiens venus s’adonner à la navigation de plaisance, se reposer et se détendre. De nombreuses tavernes y furent installées et des peintres impressionnistes, notamment Georges Seurat, apportèrent une renommée mondiale à cette île de l’ouest parisien, notamment avec le tableau Un dimanche après-midi à la Grande Jatte. En vous promenant sur cette île impressionniste, vous pourrez revivre ce passé artistique en découvrant le Voyage Impressionniste. Promenez-vous le long des berges et découvrez par exemple la Maison de la Pêche et de la Nature, profitez du calme et de la tranquillité de ces paysages bucoliques et des nombreux restaurants de l’Île. Faites également un détour par la pointe sud de l’Île pour découvrir le Temple de l’Amour, classé monument historique.

Sur une dizaine de kilomètres, suivez la Promenade Bleue depuis Colombes vers le sud-ouest pour découvrir les quais de Seine. A pied ou à vélo, profitez d’une balade le long de la Seine arborée et ininterrompue entre le pont de Colombes et Rueil-Malmaison. Au fil de cette promenade aménagée d’environ 10 kilomètres, découvrez le parc départemental du Chemin de l’Île avec son cadre enchanteur et contemporain. Aux abords du Parc Départemental Pierre Lagravère, une passerelle a été construite par le Conseil Départemental des Hauts-de-Seine au niveau de la zone portuaire de Nanterre pour contourner l’obstacle posé par un bras de Seine. Le parcours se termine à la limite du département des Hauts-de-Seine avec celui des Yvelines au Pont de Chatou après être passé devant le Parc des Impressionnistes de Rueil-Malmaison dont les paysages s’inspirent notamment des jardins de Giverny chers à Claude Monet. Le Département des Hauts-de-Seine poursuit l’aménagement des berges de Seine afin d’atteindre l’objectif d’une promenade continue sur l’ensemble des berges du territoire.

Découvrez le cadre préservé des étangs de Corot, dans le Parc des Etangs à Ville d’Avray. Découvrez le cadre enchanteur des Etangs de Ville d’Avray, aussi connus familièrement sous le nom d’Etangs de Corot. Ils ont été représentés à de nombreuses reprises par le célèbre peintre impressionniste. La Maison des Jardies qui fut tour à tour propriété de Balzac et Gambetta. Au bout de l’avenue de Balzac se trouve la Fontaine du Roy. L’eau qui en jaillissait était réputée être la meilleure des environs de Paris. Passez ensuite près de l’église Saint-Nicolas-Saint-Marc qui abrite de splendides tableaux de Camille Corot. En marchant vers les étangs, on trouve la maison de Corot où le peintre passait ses mois de printemps et d’été à peindre. A quelques mètres se trouve l’auberge Cabassud où séjourna Alphonse Daudet. Après avoir longé les étangs, la deuxième partie de la balade vous emmène tout droit à travers la forêt domaniale des Fausses Reposes jusqu’au parc de la Martinière. Flânez ensuite sur les petits sentiers escarpés de Chaville.

Le parc impressionniste est un parc enchanteur inspiré des peintures des peintres impressionnistes. Situé face à l’Île des Impressionnistes, ce parc concrétise le développement du quartier de Rueil-sur-Seine. Face à la Seine, il s’inspire des jardins de Monet à Giverny et est véritablement enchanteur. Plantes et arbustes vivaces aux couleurs fraîches et élégantes se succèdent, formant des tableaux rappelant les paysages chers aux impressionnistes. Glycines, lilas, géraniums et autres variétés sont à découvrir. Décoré d’une pièce d’eau, d’un petit kiosque et d’une combinaison en bois naturel.

La gastronomie
Les Hauts-de-Seine offrent une expérience culinaire variée, avec de nombreux restaurants proposant une cuisine française de qualité, dégustez des plats traditionnels comme le coq au vin, le bœuf bourguignon et de délicieuses pâtisseries françaises. Comme dans les autres départements d’Île-de-France, dans les Hauts-de-Seine, la culture du vin, des fruits et légumes, alors florissante, a été déplacée par l’urbanisation, de sorte que la cuisine locale côtoie les plats habituels des plats spécifiques au pays ont plus à offrir. Il vaut la peine d’essayer de s’adresser aux restaurants des environs ou d’organiser une dégustation sur place : les bâtiments de la distillerie peuvent être visités sur rendez-vous et peuvent même être loués pour des fêtes sur rendez-vous.

La distillerie de liqueur Clacquesin est une entreprise familiale fondée en 1775 par le pharmacien Paul Clacquesin rue Quincampoix à Paris puis sise rue du Dragon, qui a transféré son usine à Malakoff en 1900. L’ancienne distillerie en briques avec ses cuves en cuivre n’est pas seulement toujours aussi belle. , c’est aussi un monument classé et vend la liqueur aux herbes dont ne jurait que le public chic des années folles et que des stars comme Maurice Chevalier, Joséphine Baker et Fernandel vantaient sans mesure. Ce breuvage aromatique, une sorte de liqueur de pin, est élaboré à partir de bourgeons de pin, de plantes et d’herbes comme le genévrier, la fleur d’oranger, la citronnelle, la cannelle et le clou de girofle, et se déguste de diverses manières : pur ou en long drink, mélangé à froid. avec de la bière ou du lait, ou du Grog chaud.

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Tags: France