Guide de voyage de Lyon, France

Lyon est la capitale de la région administrative française d’Auvergne-Rhône-Alpes. Lyon est la deuxième ville administrative de France, la troisième plus grande ville de France. C’est le pôle économique de la région Auvergne-Rhône-Alpes, et la capitale du département du Rhône. Grâce à son patrimoine historique remarquable rénové et préservé au fil du temps, Lyon est aujourd’hui l’une des plus belles villes d’Europe. Certains de ses quartiers sont classés au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1998 et attirent chaque année près de 5 500 000 touristes (chiffres ONT).

Situé dans le département du Rhône en région Auvergne-Rhône-Alpes, au centre-est de la France. Ville d’un demi-million d’habitants, Lyon est à elle seule la troisième ville du pays, mais sa métropole n’est que la deuxième en population après Paris. L’influence directe de la ville s’étend bien au-delà de ses frontières administratives. Lyon et sa métropole sont en forte croissance et rajeunissent, en raison de leur attractivité économique. Lyon est surtout connue comme l’épicentre gastronomique de la France, avec l’une des plus fortes concentrations de restaurants par habitant du pays.

Lyon était une ancienne capitale provinciale romaine et possède donc de vastes ruines romaines. L’architecture du vieux Lyon va du 12ème siècle au moderne et est principalement influencée par sa position à la Renaissance en tant que centre de production de soie. Fondée par les Romains, avec de nombreux quartiers historiques préservés, Lyon est l’archétype de la ville patrimoniale, reconnue par l’UNESCO.

Lyon est une métropole dynamique qui commence à tirer le meilleur parti de son patrimoine architectural, culturel et gastronomique unique, de sa démographie et de son économie dynamiques et de sa situation stratégique entre l’Europe du Nord et du Sud. Il est de plus en plus ouvert sur le monde, avec un nombre croissant d’étudiants et des événements internationaux.

Lyon est située au carrefour géographique du pays, au nord du corridor naturel de la vallée du Rhône (qui s’étend de Lyon à Marseille). Lyon est devenue une ville très commerçante et une place financière de premier ordre à la Renaissance. Sa prospérité économique a été portée successivement par l’industrie de la soie, puis par l’apparition d’industries, en particulier le textile, la chimie, et plus récemment, par l’industrie de l’image. Lyon, ville historiquement industrielle, a accueilli de nombreuses industries pétrochimiques au sud de la ville le long du Rhône, appelé le corridor chimique. Après le départ et la fermeture des industries textiles, Lyon s’est progressivement recentrée sur des secteurs d’activité techniques avancés, comme la pharmacie et les biotechnologies.

Lyon est également la deuxième ville étudiante de France, avec quatre universités et plusieurs grandes écoles. Enfin, la ville a conservé un important patrimoine architectural de l’époque romaine au xxe siècle en passant par la Renaissance et, à ce titre, les quartiers du Vieux Lyon, la colline de Fourvière, la presqu’île et les pentes de la Croix-Rousse se trouvent sur le liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Son importance dans les domaines culturel, bancaire, financier, commercial, technologique, pharmaceutique, ainsi que dans les arts et le divertissement font de la ville de Lyon une ville mondiale de rang «Béta» selon le classement GaWC en 2018, comparable à Birmingham, Seattle ou Valence.

L’histoire
Toutes les périodes de 2000 ans d’histoire de Lyon ont laissé des traces visibles dans le patrimoine architectural et culturel de la ville, des ruines romaines aux palais de la Renaissance en passant par les gratte-ciel contemporains. Il n’a jamais connu de catastrophe majeure (tremblement de terre, incendie, bombardement important) ou une refonte complète par les urbanistes. Très peu de villes dans le monde présentent une telle diversité dans leur structure urbaine et leur architecture.

Les premières traces de peuplement remontent à 12 000 avant JC, mais il n’y a aucune preuve d’occupation continue avant l’ère romaine. Lugdunum, le nom romain de la ville, a été officiellement fondée en 43 avant JC par Lucius Munatius Plancus, alors gouverneur de la Gaule. Les premières colonies romaines se trouvaient sur la colline de Fourvière, et les premiers habitants étaient probablement des vétérans des campagnes de guerre de César. Le développement de la ville a été stimulé par son emplacement stratégique et elle a été promue Capitale des Gaules en 27 avant JC par le général Agrippa, gendre et ministre de l’empereur Auguste. De grandes chaussées ont alors été construites, offrant un accès facile depuis toutes les parties de la Gaule.

Lugdunum est devenu l’un des centres administratifs, économiques et financiers les plus importants de Gaule, avec Narbonne. L’empereur Claudius, qui régna de 41 à 54 après JC, est né ici, le 10 avant JC, lorsque son père Drusus était gouverneur de la Gaule. La principale période de paix et de prospérité de la ville romaine se situe entre 69 et 192 après JC. La population à cette époque est estimée entre 50 000 et 80 000 habitants. Lugdunum se composait de quatre zones peuplées: le sommet de la colline de Fourvière, les pentes de la Croix-Rousse autour de l’Amphithéâtre des Trois Gaules, la Canabae (autour de la place Bellecour aujourd’hui) et la rive droite de la Saône, principalement dans ce qui est aujourd’hui Quartier St Georges.

Lugdunum est le lieu d’apparition des premières communautés chrétiennes de Gaule. C’est aussi là que se déroulent les premiers martyres, notamment en 177 après JC lorsque la jeune esclave Blandine est tuée dans l’Amphithéâtre des Trois Gaules, avec 47 autres martyrs.

La ville a perdu son statut de capitale des Gaules en 297 après JC. Puis, dans les premières années du IVe siècle, les aqueducs qui amenaient l’eau au sommet de Fourvière ont soudainement cessé de fonctionner. Cela était dû à un manque de fonds pour leur entretien et leur sécurité; les tuyaux en plomb qui transportaient l’eau ont été volés et n’ont pu être remplacés. La ville a été complètement privée d’eau pendant la nuit. Cela a déclenché la fin du Lugdunum romain, qui a perdu une grande partie de sa population et a été réorganisé autour de la Saône.

Au Moyen Âge, la ville se développe sur les deux rives de la Saône. Le nom «Lion» ou «Lyon» est apparu au XIIIe siècle. Le début du Moyen Âge a été très troublé politiquement. La géographie politique de la France ne cessant de changer, la ville appartenait successivement à plusieurs provinces. Il appartint alors au Saint Empire romain germanique de 1018 à 1312, date à laquelle il fut donné à la France au concile de Vienne. A cette époque, la ville était encore de taille limitée mais avait une grande influence religieuse; en 1078, le pape Grégoire VII fait de l’archevêque de Lyon le plus haut dignitaire catholique de l’ancienne Gaule (Primat des Gaules).

À la Renaissance, les avantages fiscaux et l’organisation de nombreuses foires commerciales attirent des banquiers de Florence et des marchands de toute l’Europe; la ville devint de plus en plus prospère et connut un deuxième âge d’or. Les principales industries étaient le tissage de la soie, introduit en 1536, et l’impression. Lyon est devenue l’une des plus grandes villes d’Europe et sa première place financière, aidée par les avantages du roi François Ier qui envisageait même, à un moment donné, de faire de Lyon la capitale de la France. Vers 1530, la population lyonnaise atteint 50 000 habitants.

Au cours des siècles suivants, Lyon est touchée par les guerres de religion mais reste un centre industriel et intellectuel majeur, tandis que l’activité financière s’installe à Genève et en Suisse. Au 18ème siècle, la moitié des habitants étaient des ouvriers de la soie (canuts).

La rive est du Rhône n’a pas été urbanisée avant le XVIIIe siècle, lorsque les marais (appelés Brotteaux) ont été asséchés pour permettre la construction. Ces travaux massifs ont été dirigés par l’ingénieur Morand. Entre-temps, les travaux menés par Perrache ont doublé la superficie de la Presqu’île. Les travaux d’extension ont été interrompus par la Révolution française mais ont repris au début du XIXe siècle.

Pendant la Révolution, en 1793, Lyon prend parti contre le pouvoir central de la Convention (Parlement), ce qui provoqua une sévère répression de l’armée. Plus de 2 000 personnes ont été exécutées.

Au début du XIXe siècle, l’industrie de la soie se développe encore, notamment grâce au métier Jacquard qui rend le travail de tissage plus efficace. Des crises sociales surviennent cependant: en 1831, la première révolte des canuts est durement réprimée. Les travailleurs protestaient contre l’introduction de nouvelles technologies, qui risquaient de provoquer le chômage. D’autres émeutes ont eu lieu en 1834, 1848 et 1849, notamment dans le quartier de la Croix-Rousse. À partir de 1848, le quartier de la Presqu’île est repensé à la manière des œuvres de Haussmann à Paris. En 1852, les villes voisines de Vaise, Croix-Rousse et Guillotière sont devenues des quartiers de Lyon. L’industrie traditionnelle de la soie a disparu à la fin du siècle à cause des maladies affectant les vers à soie français et de l’ouverture du canal de Suez qui a réduit le prix de la soie importée d’Asie. Diverses autres industries se sont développées à cette époque; les entrepreneurs les plus connus de la fin du XIXe siècle sont les frères Lumière, qui inventent le cinéma à Lyon en 1895.

Edouard Herriot est élu maire en 1905 et gouverne la ville jusqu’à sa mort en 1957. Il initie un certain nombre de projets urbains importants, notamment en partenariat avec son architecte préféré Tony Garnier: hôpital de la Grange Blanche (aujourd’hui nommé d’après Herriot), abattoirs de Gerland ( maintenant Halle Tony Garnier) et le stade, le quartier États-Unis, etc.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Lyon était proche de la frontière entre la «zone libre» et la zone occupée et était donc un lieu stratégique clé pour les Allemands comme pour la Résistance française. Jean Moulin, chef de la Résistance, a été arrêté à Caluire (banlieue nord de Lyon). Le 26 mai 1944, Lyon est bombardée par l’aviation alliée. La libération de Lyon a eu lieu le 3 septembre.

Dans les années 1960, la construction du quartier des affaires de la Part-Dieu commence; son symbole est la tour «crayon», le plus haut bâtiment de Lyon. Parallèlement, l’association «Renaissance du Vieux Lyon» a réussi à faire classer ce quartier Renaissance par le gouvernement comme le premier monument conservé de France, alors qu’il était menacé par un projet d’autoroute défendu par le maire Louis Pradel. Pradel était un «moderniste» convaincu et un partisan de l’automobile. Il a également soutenu la construction du tunnel de Fourvière, inauguré en 1971 et de l’autoroute A6 / A7 traversant la Presqu’île, près de la gare de Perrache, décision qualifiée plus tard de «bousculade du siècle» par le maire Michel Noir, dans le Années 90. En 1974, la première ligne du métro est ouverte. En 1981, Lyon était reliée à Paris par la première ligne TGV (train à grande vitesse). Dans les années 80 et 90, un grand nombre de bâtiments du Vieux Lyon et de la Croix-Rousse ont été rénovés. Le paysage lyonnais est toujours en évolution, notamment avec la nouvelle promenade des berges du Rhône ou la construction de nouveaux gratte-ciel à la Part-Dieu.

A l’avenir, les rives de la Saône devraient également se voir offrir une seconde jeunesse. L’achèvement du périphérique lyonnais côté ouest devrait soulager les zones centrales d’une partie du trafic. Un réseau ferroviaire performant desservant les zones périurbaines (comme le RER autour de Paris) est également prévu.

Culture et patrimoine locaux
Lyon possède un patrimoine historique, architectural, culturel et gastronomique remarquable, comme en témoignent les nombreux titres officiels ou officieux attribués à la ville:
capitale des Gaulois (ce titre fut conservé par la ville après la fondation de la France);
capitale mondiale de la gastronomie (grâce à ses spécialités locales et à ses chefs de renommée mondiale);
capitale de la Résistance (en raison de son rôle important en France occupée: journaux clandestins, réseaux de résistance, arrestation de Jean Moulin dans la banlieue de Lyon en 1943, procès de Klaus Barbie);
capitale de l’imprimerie sous la Renaissance (voir l’article sur l’histoire de l’imprimerie à Lyon);
capitale de la soie;
capitale des roses;
capitale du cinéma (invention du cinématographe par les frères Auguste et Louis Lumière).

Lieux et monuments
La commune compte 241 monuments protégés au titre des monuments historiques et 289 lieux et monuments inscrits à l’inventaire général du patrimoine culturel. De plus, elle compte 868 objets inscrits à l’inventaire des monuments historiques et 247 objets inscrits à l’inventaire général du patrimoine culturel.

Site historique
427 hectares du site historique de Lyon sont classés au patrimoine mondial de l’UNESCO après le 5 décembre 1998: c’est l’une des plus grandes surfaces françaises inscrites à Bordeaux et au Val de Loire (208 934 ha). La ville est membre de l’Organisation des villes du patrimoine mondial. Dans les zones classées, on notera la colline de Fourvière et ses sites antiques, le Vieux Lyon médiéval et Renaissance, la presqu’île classique et haussmannienne; la colline de la Croix-Rousse, Patrimoine urbain du XIX siècle associé à Canuts. La rive gauche, patrimoine non inscrit témoigne encore autant des mutations architecturales (6 arrondissement, quartier Part-Dieu Montchat) que industrielles et technologiques de la ville (Brotteaux, Part-Dieu, Gerland). La ville en elle-même présente donc une véritable continuité urbaine, un livre d’architecture à ciel ouvert que la plupart des villes d’Europe ne possèdent pas,

Période antique
Officiellement née en 43 avant JC, à Fourvière (du Latin Forum vetus, ancien forum), la colonie romaine de Lugdunum est devenue une superbe ville et capitale des Gaulois. Des sites antiques parsèment la ville et ses sous-sols. La ville aime ses sites et les préserve en les faisant vivre: chaque été, les anciens théâtres de Fourvière accueillent le festival des Nuits de Fourvière. Pour mieux connaître Lugdunum et la vie quotidienne de ses habitants, ne manquez pas une visite au Musée Gallo-Romain de Fourvière, juste à côté du site archéologique.

Période Renaissance
Au Moyen Âge et à la Renaissance, Lyon, cité prospère, s’étendait sur les bords de Saône, et jusqu’à la Presqu’île, dans les rues bordant la rue Mercière … Aujourd’hui, Vieux-Lyon, où le gothique et les styles Renaissance règnent en maître, charme par la beauté de ses rues pavées, de ses cours, de ses tours d’escalier, de ses galeries à l’italienne et de ses fameuses traboules. Quartier animé de jour comme de nuit, le Vieux-Lyon regorge de restaurants et de boutiques gastronomiques, d’artisans, de libraires, de boutiques et d’artistes de rue. Ne manquez pas les musées Gadagne et le musée de la miniature et du cinéma.

Sites et monuments remarquables
La ville de Lyon a été construite sur 2000 ans, et se construit toujours dans le respect des époques successives: c’est l’une des raisons de son classement au patrimoine mondial de l’Unesco. Des sites et monuments civils ou religieux, dont les plus anciens remontent à l’Antiquité, parsèment les quartiers de Lyon. De grands architectes ont travaillé à embellir la ville au fil des siècles: Philibert de l’Orme, Soufflot, Jules Hardoin-Mansart, Tony Garnier, Pierre Bossan, Jean Nouvel, Santiago Calatrava, Mario Botta, Daniel Buren, Renzo Piano… aidés par de talentueux anonymes des gens, comme ces tailleurs de pierre qui ont sculpté les murs de la cathédrale avec leurs initiales.

Les Traboules et cours de Lyon
Les traboules, du latin trans ambulare (pass through), sont des raccourcis qui relient une rue à une autre par un ou plusieurs bâtiments. C’est un très joli mot inventé par l’historien lyonnais Félix Benoît dans les années 60, pour désigner les cours intérieures, qui ne mènent qu’à elles-mêmes, mais sont souvent d’une grande beauté. Escaliers en colimaçon, tourelles, galeries à l’italienne, puits, statuettes et sculptures, petits jardins.

Il y en a environ 200 dans le Vieux-Lyon, 160 sur les pentes de la Croix-Rousse, 130 sur la Presqu’île, ou 500 traboules dans plus de 230 rues de Lyon. Mais seulement 80 d’entre elles sont ouvertes au public … Si vous avez la chance de visiter quelques traboules, c’est grâce à elle! En effet, de nombreux propriétaires ont procédé à des rénovations coûteuses des anciens bâtiments qu’ils habitent. Ainsi, de nombreuses traboules et cours ont été fermées pour préserver la propreté et la tranquillité des habitants.

Pour éviter que ce patrimoine historique ne soit définitivement inaccessible à tous, la Ville de Lyon a signé une convention avec les propriétaires d’immeubles abritant des traboules et des cours, pour permettre l’ouverture des traboules au public en journée afin que ce patrimoine d’exception puisse être mis en valeur. et que les Lyonnais continuent d’utiliser ces raccourcis pour se déplacer, comme ils l’ont toujours fait.

Époque contemporaine
De Tony Garnier à Santiago Calatrava, de Buren à Renzo Piano, de Mario Botta à Christian de Portzamparc, de Richard Zehrfuss à Coop Himmelblau… Ils façonnent la ville d’aujourd’hui et de demain, et chacun laisse sa marque prestigieuse et unique.

Repères
Théâtres antiques et nombreux vestiges de l’époque gallo-romaine dans le Vieux-Lyon du Moyen Âge et de la Renaissance, de la Presqu’île et ses bâtiments classiques à la Croix-Rousse des canuts et de l’industrie de la soie… La ville s’étend sur temps au bord de la Saône, puis au-delà du Rhône, jusqu’à la Confluence d’aujourd’hui, tout en préservant son patrimoine. Chaque époque a laissé ses traces et ses œuvres architecturales, picturales, littéraires, soyeuses, gourmandes et festives à l’origine d’un réel dynamisme culturel. C’est pour cette continuité et cette harmonie architecturale que l’Unesco a inscrit le site urbain historique de Lyon au Patrimoine Mondial de l’Humanité, soit 500 hectares qui couvrent Fourvière, le Vieux-Lyon, la Presqu’île et les coteaux de la Croix-Rousse.

Place des Terreaux
La place des Terreaux est une place située dans le 1 er arrondissement de Lyon, sur la presqu’île entre Rhône et Saône, au pied de la colline de la Croix-Rousse.

Le Transbordeur
Salle emblématique de Lyon (soyons précis: villeurbannaise), la Transbo comme on dit dans notre région, accueille depuis 1989 des concerts, des spectacles, des galas ou des événements culturels. Le lieu est atypique: une ancienne station d’épuration, qui crée le parfait cadre pour découvrir un programme éclectique de qualité. Avec son module Club Transbo, la polyvalence du lieu est aussi l’un de ses atouts avec ses deux salles pouvant s’adapter aussi bien à des concerts intimistes qu’à des cocktails privés, dont une brocante ou un cinéma en plein air sur l’immense parking en été .

Maison de la danse de Lyon
Avec sa salle de 1100 places, la Maison de la Danse de Lyon poursuit ses missions depuis 1980: s’ouvrir à la danse sous toutes ses formes et techniques, inviter de grands chorégraphes du XXe siècle, de jeunes créateurs contemporains. Depuis 1980, la Maison de la Danse, SCOP SA, poursuit la même politique artistique. Ses missions: s’ouvrir à la danse sous toutes ses formes et techniques, inviter les grands chorégraphes du XXème siècle, jeunes créateurs contemporains, fédérer création et répertoire, développer l’intérêt des enfants et adolescents, du public de demain, en organisant des matinées pour le jeune public.

Opéra de Lyon
Le Grand Théâtre a été construit en 1756 par Jacques-Germain Soufflot (1713-1780 qui fit aussi le Panthéon, l’église Ste Geneviève, etc. à Paris) et reconstruit de 1827 à 1831 par les architectes Chenavard et Pollet, il s’appelait alors l’Opéra. Les travaux de l’actuel Opéra, l’Opéra National, ont duré de novembre 1989 au 14 mai 1993. Il a été reconstruit à l’intérieur des murs du 1er Opéra, dont l’architecte Jean Nouvel n’a conservé que les façades et le foyer public. L’ajout d’un dôme et le creusement d’un sous-sol lui ont permis de tripler la surface en creusant 5 niveaux au sous-sol et en surélevant 6 niveaux sous le dôme de verre. La coque, une ossature métallique, fait 77 100 m3. Outre le verre, les matériaux utilisés sont le granit et le bois. La mise en évidence est de Yann Kersale. Sa capacité est de 1 200 places et l’amphithéâtre de 200 places.

Auditorium de Lyon
La musique s’invite à l’Auditorium sous toutes ses formes, offerte à tous, en toute liberté. Placé au cœur de l’activité de cette « maison de la musique », l’Orchestre National de Lyon et ses 103 musiciens promeuvent la musique lyonnaise. L’auditorium a été construit d’avril 1972 à février 1975 par Henri Pottier, Grand Prix de Rome, architecte en chef des bâtiments civils et des palais nationaux, assisté de Charles Delfante et rénové en 1993.

Lieux civils et remarquables Bâtiments
Fort de ses 2000 ans d’histoire, Lyon a conservé les traces de ses différentes phases de développement, ses quartiers ont chacun conservé un patrimoine riche et diversifié avec de nombreux musées.

Dans toute la ville, on remarquera également les célèbres murs peints lyonnais (ces trompe-l’œil monumental sont une spécialité locale); voir entre autres la fresque des Lyonnais représentant quelques-uns des célèbres Lyonnais, au bord de la Saône, le Mur des Canuts, la fresque Lumière et les fresques dédiées à Tony Garnier, notamment dans le quartier des Etats-Unis.

Enfin à la tombée de la nuit, tous les monuments de Lyon sont mis en valeur par des jeux de lumière. La ville fait partie des pionniers et des spécialistes dans ce domaine (plan Lumière).

Rive droite de la Saône Fourvière et du Vieux Lyon
La colonie romaine est établie sur la colline de Fourvière, les vestiges de l’ancien Lugdunum sont remarquables: le théâtre et l’Odéon gallo-romain forment un site archéologique remarquable et où des concerts et spectacles ont lieu régulièrement en été. On peut également admirer les vestiges d’aqueducs (l’aqueduc du Gier), le sanctuaire de Cybèle, les grands thermes, le tombeau de Turpio. De part et d’autre de ce site archéologique, on distingue la tour métallique de Fourvière, la tour aérienne et le point culminant de Lyon. Sud dans le quartier Saint-Just, Le lycée du même nom dans un ancien séminaire du XVIIIème siècle.

En descente ou en funiculaire « string » ou à pied par les nombreuses pentes à forte pente (montée du Gourguillon, Montée Saint-Barthélemy, montée des Carmélites …) ou par les jardins du Rosaire (les deux voies offrent ‘d’excellentes vues sur la ville) nous atteignons le quartier Renaissance du Vieux Lyon, composé d’édifices et hôtels particuliers Renaissance (Tour Rose, Maison des Avocats, Maison Chamarier, Maison Thomassin, Maison Claude-Debourg, Hôtel du gouvernement, hôtel Paterin, hôtel de Gadagne, hôtel de Bullioud…) et ruelles médiévales (dont les principales artères sont la rue Saint-Jean et la rue du bœuf).

Ces ruelles sont animées par la présence de nombreuses boutiques d’artisans et de célèbres bouchons, lieu convivial par excellence pour se faire une idée de la gastronomie lyonnaise. Ce dédale de rues est relié entre eux par les fameuses traboules, passages ouverts à l’intérieur des îlots (il y en a près de 320 sur tout le site historique). Au bord de la Saône se trouve le palais de justice néoclassique, surnommé les «24 colonnes». Enfin le palais Saint-Jean construit sur l’ancienne école du choeur (façade du XI siècle sur la place Saint-Jean) abrite le trésor de la cathédrale.

Entre Rhône et Saône
En traversant la Saône par des ponts ou des passerelles on accède à la Presqu’île, véritable centre de Lyon de style classique. Cependant, les façades des quais de Saône et la rue Mercière de style Renaissance font écho à celles du Vieux Lyon.

Les deux grandes places de la Presqu’île, la place Bellecour et la place des Terreaux sont reliées par la rue de la République, une large artère piétonne avec une concentration de boutiques et de bars-restaurants.

Les monuments classiques les plus importants de la ville s’y trouvent: l’Hôtel-Dieu, premier hôpital de Lyon, dévoile sa façade dessinée par Jacques-Germain Soufflot sur près de 400 mètres au bord du Rhône; le théâtre des Célestins reconstruit à plusieurs reprises suite à de nombreux incendies, avec la salle et la façade à l’italienne; aux Cordeliers, le palais de la bourse de style Second Empire; aux Terreaux, côte à côte la mairie et l’Opéra national, reconnaissable à son dôme caractéristique rénové par Jean Nouvel dans les années 1990.

De nombreuses places ornent le quartier: la place Bellecour, quatrième plus grande place de France et première plus grande place piétonne d’Europe, abrite une statue équestre de Louis XIV en son milieu. A proximité immédiate, la place Antonin-Poncet occupe l’espace de l’ancien hôpital de la Charité, dont il ne reste aujourd’hui que le clocher. Face à la mairie, la place des Terreaux, rénovée par Daniel Buren, abrite notamment la fontaine Bartholdi. La place des Jacobinsin un ancien couvent du même nom contient en son centre une fontaine du XIX siècle. Face au théâtre, place des Célestins avec sa terrasse en bois, ses bancs et ses magnolias. La place de la République, située dans la rue du même nom, peut offrir une perspective sur les façades de la rue de la République et de la rue Carnot. Finalement, l’Opéra national est entouré par la place de la Comédie et la place Louis-Pradel, lieux souvent réservés aux danseurs hip-hop et aux skateurs. Comme le Vieux Lyon, le quartier abrite de nombreux hôtels particuliers: Hôtel de Villeroy, Lacroix-Laval, Couronne, Poulaillerie, etc.

Au nord de la Presqu’île se trouve le village-quartier de la Croix-Rousse caractérisé par ses pentes (dont la célèbre montée vers la Grande-Côte qui offre un large panorama au sommet), ses canuts de bâtiments, ses traboules (la cour des Voraces , le passage Thiaffait), son gros-caillou et son marché populaire. C’était un quartier occupé depuis l’époque gallo-romaine, comme en témoignent les vestiges de l’amphithéâtre des Trois Gaules (au centre de cet ancien amphithéâtre un poteau évoque les tortures des martyrs de Lyon). Le quartier constituant la limite nord de la ville était donc entouré d’édifices défensifs, parmi lesquels seuls les forts Saint-Jean et le bastion Saint-Laurent ont survécu.

Du sud à la fin du XX siècle, le quartier dit «derrière les voûtes», discrédité, ou gisement qualifié au centre-ville alors qu’il existe pourtant deux quartiers (Perrache et Sainte-Blandine) cachaient un très grand centre-ville de développement, désormais appelé La Confluence.

Projet de dimensions européennes, grand projet environnemental du XXI siècle à haute qualité environnementale (HQE) et bâtiment à énergie positive et future expansion du centre-ville de Lyon, doublant la taille de la Presqu’île et du centre-ville historique de Lyon, la Confluence est un projet lancé par Raymond Barre, contracter un emprunt à trente ans pour la période 2000/2030, le Grand Emprunt 2000, d’un montant de 500 millions de francs (75 millions d’euros), à commencer par une première tranche de 100 millions de francs (15 M €), votée par les Lyonnais pour.

Lancé comme un projet global prévoyant «l’entretien des quartiers Perrache et Sainte-Blandine, les départs des prisons et du« Marché-Gare », tous deux à Corbas, l’arrivée des Archives municipales et la création de la Place des Archives face aux anciennes prisons, réaménagé pour l’Université Catholique de Lyon (UCLY), livré pour la rentrée 2016, la rénovation des deux «quartiers historiques» Perrache et Sainte-Blandine puis se poursuivant par créant un grand bassin nautique, et par une grande tour »- Raymond Barre souhaitant accueillir le Bureau international du travail -, il a été en partie repris par Gérard Collomb, qui l’a divisé en deux phases:

la première phase (2000-2015), démarrée en 2003, comprend notamment un centre de loisirs et de commerces (ouvert en avril 2012) le long d’un nouveau bassin nautique équipé d’une capitainerie, l’installation du siège du conseil régional Auvergne-Rhône -Alpes et le siège de plusieurs sociétés (siège régional du groupe Eiffage, siège du journal lyonnais Le Progrès, télévision locale Télé Lyon Métropole, chaîne européenne Euronews, groupe GL Events), pour un montant de 1,300 milliard d’euros, 60% soutenu par des investisseurs privés et donc 40% publics (informations du Grand Lyon, Maison de La Confluence);

la deuxième phase (2015-2030), estimée à 2 milliards d’euros, débute en 2017 avec le développement du Square Ynfluence, un ensemble de bâtiments (dont une tour de 16 étages) à énergie positive, situé au nord-ouest du projet , et s’ouvrant sur la porte de ce futur quartier, préservé de l’ancien marché-gare.

La volonté de M. Grether, architecte en chef de ce projet, est de remplacer le marché-gare par un premier quartier appelé «Le Marché», dans un ensemble de blocs de bâtiments, de commerces et de bureaux, tout en sauvegardant quelques anciens entrepôts pour les transformer dans des lieux culturels, sportifs ou autres.

Un deuxième quartier dit « le Champ » devrait prolonger le quartier du Marché, séparé de ce quartier résidentiel par une rue transversale et deux ponts sur le Rhône (pour les modes doux) et la Saône, allant de Gerland à la ville de Sainte-Foy – les-Lyon.

Un troisième pont, appelé le Pont des Girondins, doit venir directement au cœur du «quartier du Marché», également en provenance de Gerland, depuis la rue des Girondins.

Cette traverse couperait donc le cours Charlemagne, coupure qui ponctuerait (toujours selon la proposition de M. Grether) deux grandes tours, vers 2025/2030 (Information Grand Lyon).

Le «Champ», sur la rive droite du Rhône, est destiné à créer un lien avec Gerland et son parc, sur la rive gauche du Rhône.

Enfin, le projet s’achève, au sud, à la confluence du Rhône et de la Saône par le musée des Confluences, ouvert le 19 décembre 2014, un nouveau musée des sciences, civilisations et sociétés (la collection du musée d’histoire naturelle de Lyon a été transférée du musée Guimet dans le 6e arrondissement), et du centre de recherche.

Le 1er janvier 2015, le musée a été transféré du département du Rhône dans la Métropole de Lyon.

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Rive gauche du Rhône
De l’autre côté du Rhône, on trouve les nouvelles berges rénovées, lieux de détente et de flânerie. Dans le quartier classique et haussmannien des Brotteaux se trouve la gare des Brotteaux, la belle place du Maréchal-Lyautey et sa fontaine. Au nord, le parc de la Tête d’Or, plus grand parc de la ville et premier parc urbain de France, est un véritable poumon vert au cœur de la ville avec son lac, sa roseraie, sa centenaire arbres, son parc zoologique, ses trains, ses spectacles de marionnettes… Le parc borde la Cité internationale (1983-2007), pôle tertiaire, culturel et touristique regroupant bureaux, salles de conférence, hôtels, casino, musée d’art contemporain, cinémas et un auditorium. Cet ensemble est l’œuvre de Renzo Piano, architecte urbaniste génois, et de Michel Corrajoud, paysagiste.

Plus au sud se trouve le quartier de l’ancien faubourg de La Guillotière avec son Palais de la Préfecture, les Facultés du Quai Claude-Bernard (universités Lumière-Lyon 2 et Jean-Moulin-Lyon 3). Surnommé le «petit Lyon Chinatown», le quartier par sa tradition cosmopolite présente une grande mixité sociale et raciale grâce à la présence de nombreux magasins et restaurants asiatiques, nord-africains et antillais. A l’extrême sud, le quartier de Gerland, où l’on peut observer les œuvres architecturales de Tony Garnier: le stade municipal de Gerland, dont le principal locataire est l’Olympique Lyonnais, l’équipe d’élite de football de Lyon; la Halle Tony-Garnier, anciens abattoirs du quartier La Mouche, aujourd’hui transformée en vaste salle de concerts et d’expositions. Dans une architecture plus contemporaine,

Enfin à l’est, l’extension urbaine du XXe siècle est amorcée à travers les nombreux terrains disponibles. Le quartier de la Part-Dieu est le deuxième quartier d’affaires de France dominé par la tour Part-Dieu, encore parfois appelée la tour du Crédit Lyonnais (son nom jusqu’en 2008), ou surnommée «le crayon» par les Lyonnais, et la tour Incity. Dans le quartier de Monplaisir on remarquera la Manufacture de tabac, immeuble aux teintes polychromes abritant aujourd’hui une partie des composantes de l’université Jean-Moulin Lyon-III; le château des frères Lumière (aujourd’hui transformé en musée vivant du cinéma) et l’hôpital Édouard-Herriot composé de multiples pavillons, œuvre de Tony Garnier. Toujours à l’est, mais aux portes de Lyon, les amateurs d’architecture contemporaine pourront découvrir la Maison du livre, de l’image et du son, de Mario Botta à Villeurbanne; la médiathèque de Vénissieux par Dominique Perrault; ainsi que la gare TGV de l’aéroport international de Saint-Exupéry construite en 1997 par Calatrava.

Patrimoine religieux catholique
Lyon possède un patrimoine religieux important. La plupart de ses bâtiments les plus remarquables sont situés dans le site historique.

La colline de Fourvière est dominée par la basilique Notre-Dame de Fourvière, dédiée à l’Immaculée Conception. Sa construction débuta en 1872, mais les œuvres de sculpture ne furent jamais achevées. La basilique est l’un des monuments les plus visibles de toute la région lyonnaise et est devenue le symbole du pouvoir religieux de Lyon. Il est fréquenté chaque année par plus d’un million de visiteurs. Au sud de la colline se trouve l’église Saint-Just, c’était l’une des plus grandes églises de Lyon, détruite par les protestants en 1562, elle sera reconstruite au XVI siècle: sa belle façade a été réalisée au XVIII siècle par Ferdinand-Sigismond Delamonce. Tout près on trouve l’une des plus anciennes églises de Lyon, l’église Saint-Irénée dont on peut voir les vestiges de l’abside paléochrétienne, une crypte restaurée et le calvaire de Lyon, et, à côté, la maison diocésaine,

Dans le Vieux Lyon, le quartier Saint-Jean est dominé par la primatiale Saint-Jean (ou cathédrale Saint-Jean). Le nom primatial est dû à l’archevêque de Lyon, primat des Gaules. A l’extrémité nord du Vieux Lyon, le quartier Saint-Paul abrite l’église du XII siècle XIII siècle XV siècle avec un heureux mélange de roman et de gothique. Au sud le quartier de Saint-Georges est dominé par l’église du XIX siècle de l’architecte Pierre Bossan, à proximité de la place Benoît-Frizzy.

La presqu’île de la partie sud abrite la basilique Saint-Martin d’Ainay, témoignage de l’art roman du XIe siècle. En remontant vers le nord, on retrouve sur la place des Cordeliers, l’église Saint-Bonaventure: église des Cordeliers du XIV siècle au XX siècle. A proximité, sur le chemin de la Saône, l’église Saint-Nizier, de style gothique flamboyant et Renaissance, a été construite au XIV siècle XVII siècle. A proximité se trouve la chapelle de la Trinité du XVIIe siècle du lycée Ampère, joyau lyonnais de l’art baroque.

Deux autres bâtiments sont remarquables: l’église Saint-Denis-de-la-Croix-Rousse, l’église Saint-Bruno des Chartreux à Croix-Rousse, chef-d’œuvre de Ferdinand-Sigismond Delamonce. Ce bijou baroque abrite un baldaquin réalisé par Servandoni. Enfin, au nord de la ville se trouve la chapelle romane de l’île Barbe, l’un des bâtiments les plus anciens de la région.

Dans le quartier de Gerland se trouvent l’église Notre-Dame-des-Anges et l’église Saint-Antoine.

Patrimoine culturel et artistique
Lyon possède un patrimoine culturel et artistique de grande valeur. En effet, deux arts sont nés à Lyon: le cinéma, inventé par les frères Lumière, et le théâtre de Guignol, dont les personnages de Guignol et de son ami Gnafron ont été inventés par Laurent Mourguet. Lyon est aussi un centre de musique rock, car plusieurs groupes lyonnais ont été influents en France (Rock à Lyon). La ville dispose d’infrastructures culturelles modernes et renommées, comme la Maison de la danse de Lyon, l’Auditorium de la Part-Dieu, qui abrite l’Orchestre National de Lyon, le Théâtre des Célestins et l’Opéra national de Lyon, où le plus grand opéra des chanteurs ont joué. Par ailleurs, Lyon, ville natale du compositeur Jean-Marie Leclair (1697-1764), est la seule ville française avec Paris à avoir deux orchestres permanents: un symphonique et un lyrique,

Aujourd’hui la créativité artistique est toujours présente avec le Conservatoire National de Musique et de Danse de Lyon, avec des enseignements à l’Ecole Nationale des Beaux-Arts des Subsistances (anciens entrepôts militaires reconvertis en laboratoire de création artistique consacré aux nouveaux langages du spectacle vivant), mais aussi à travers de nombreuses expositions dans les différents musées de la ville ou l’organisation de grands événements culturels. La Villa Gillet est un observatoire international des langues contemporaines. C’est également à Lyon que l’on peut voir une des premières œuvres de l’artiste Guillaume Bottazzi, une peinture de 12 mètres sur 8 mètres, réalisée en 2006.

En 2012, le collectif de graffeurs Birdy Kids a été choisi pour représenter la ville de Lyon en tant qu’ambassadeur culturel.

Disposant ainsi d’un patrimoine culturel important, la ville cherche en 2008 le titre de «Capitale européenne de la culture» pour l’année 2013. Pourtant, la ville de Marseille lui est préférée lors d’un vote tenu le 16 septembre à Paris.

Culture à Lyon

Musées et galeries
Musées, espaces de vie de découverte et de partage de culture, à l’écoute de publics variés. De la civilisation gallo-romaine à l’aventure de la soie et du textile, de Guignol aux marionnettes du monde entier, de l’imprimerie et de l’invention du cinéma à l’histoire de la Résistance, des beaux-arts aux arts décoratifs … Plongez-vous dans l’histoire et patrimoine de Lyon. Les principaux musées et leurs expositions temporaires sont inclus dans la Lyon City Card. Et les musées (mais pas seulement eux!) Proposent également de nombreux débats, conférences et manifestations artistiques et culturelles. Si vous aimez les balades artistiques, explorez les galeries à la recherche du coup de foudre arty ou simplement pour le plaisir de la découverte.

Véritables conservatoires du génie humain à travers les âges, ils regorgent de connaissances, de créativité, de beaux objets, de témoignages et de découvertes. Les musées d’aujourd’hui sont des lieux de vie qui se réinventent sans cesse, ouvrant largement leurs portes pour mieux partager leurs collections et leurs savoirs avec tous. Expositions temporaires, vidéo, jeux interactifs, visites guidées, ateliers créatifs, conférences, spectacles, soirées… Tous les moyens sont bons pour diffuser le plaisir du savoir.

La ville compte plus de quinze musées qui reflètent les particularités et la richesse historique de la ville. Parmi les collections du musée des beaux-arts de Lyon, celle des peintures est la plus importante collection française après celle du Louvre à Paris, ce qui fait que le musée est parfois surnommé le «petit Louvre». Lyon dispose également d’un musée d’art contemporain et d’un grand nombre de galeries d’art, concentrées dans le quartier situé au sud de la place Bellecour.

L’histoire de la ville se retrouve dans le musée gallo-romain de Fourvière qui surplombe le site des théâtres antiques ainsi que dans les musées Gadagne qui réunissent le musée d’histoire de Lyon et le musée des arts de la marionnette. L’histoire de la médecine lyonnaise peut être explorée au musée Testut-Latarjet ainsi qu’au musée d’histoire de la médecine et de la pharmacie à Lyon et, jusqu’à sa fermeture en 2010, à l’Hôtel-Dieu des Hospices Civils de Lyon, rappelant que le premier hôpital a été fondé par Childebert I.L’histoire est toujours vivante au musée de l’imprimerie et de la banque dont la ville était l’une des capitales européennes à la Renaissance ainsi qu’au musée des tissus et des arts décoratifs, qui possède la plus grande collection textile de les provinces et où vous pouvez trouver les chefs-d’œuvre des tissus de soie de Lyon.

Le Musée des Confluences, ouvert en 2014, présente les collections du Muséum d’Histoire Naturelle et du Musée Guimet, qui ont fermé en 2007. L’histoire du XXe siècle technique est proposée à l’Institut Lumière, qui retrace les débuts du cinéma créé à Lyon et au musée automobile Henri-Malartre situé à Rochetaillée-sur-Saône, qui appartient à la ville de Lyon. Un urbanisme visionnaire se trouve au Musée Urbain Tony-Garnier, tandis que le Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation (CHRD) rappelle que la ville fut la capitale de la résistance pendant la Seconde Guerre mondiale.

Parmi les curiosités de Lyon, il faut citer le musée international de la miniature du Vieux-Lyon, l’aquarium de Lyon, le musée des pompiers de Lyon, ainsi que La Friche, située dans les anciens entrepôts de l’usine RVI., Reconvertie en un lieu d’espace libre pour les artistes.

Ateliers d’artisanat
Des artisans et des galeries d’art surgissent dans toute la ville. Le quartier Auguste Comte pour dénicher la perle rare et continuer votre chemin sur la péninsule. Amoureux de la soie et de l’artisanat, flânez dans la Croix-Rousse ou dans le Vieux-Lyon. Et si vous recherchez des créations contemporaines, c’est au pied des pistes de la Croix-Rousse que vous trouverez ce que vous cherchez.

Si la soie et le textile sont des spécialités lyonnaises reconnues, avec plusieurs artisans qui font vivre ce patrimoine historique, de nombreux autres métiers d’art existent à Lyon, notamment des bijoutiers. Lyon a développé plusieurs savoir-faire depuis la Renaissance et l’arrivée à Lyon des Florentins. Les Lyonnais ont maintenu cette culture car ils apprécient la qualité et les objets fins. Au-delà, la présence de nombreux artisans de différents métiers est une réelle valeur ajoutée pour Lyon. Tous participent activement au rayonnement économique et à la richesse culturelle de la ville à travers leurs créations artistiques et sont également des transmetteurs de savoirs.

Leurs ateliers sont nombreux à la Croix-Rousse et sur les pistes, mais pas seulement, et les artisans proposent leurs pièces uniques réalisées dans les règles de l’art. Il existe 281 métiers d’art, répartis en différents domaines: architecture et jardins, mobilier et décoration, éclairage, orfèvre, métal, céramique, verre et cristal, tabletterie, l’horlogerie, bijouterie, bijouterie, mode et accessoires, textile, cuir, divertissement, papier, graphisme et imprimerie, jeux, jouets et travaux mécaniques, fabrication d’instruments de musique, restauration, ces métiers représentent 60 000 emplois et génèrent plus de 8 milliards de chiffre d’affaires.

Cinéma
La ville possède un grand nombre de cinémas qui rappellent que le septième art a été inventé à Lyon par les frères Lumière dans la rue du Premier Film en 1895. L’Institut Lumière, ancienne demeure de ces premiers ingénieurs qui ont joué un rôle essentiel dans l’histoire du cinéma et de la photographie est aujourd’hui à la fois un musée et un cinéma spécialisé dans les rétrospectives et les festivals. Afin de valoriser ce patrimoine, le Grand Lyon a lancé le Festival Lumière en 2009 ainsi que le Prix Lumière associé.

La Presqu’île compte de nombreux cinémas: un cinéma de la société Pathé (Pathé-Bellecour, les Pathé-Cordeliers ayant fermé en 2016), deux cinémas Lumière (Lumière Bellecour et Lumière Terreaux, rachetés en 2014 par l’Institut Lumière le ancien groupe CNP, dont le troisième théâtre, le CNP Odéon, a fermé définitivement en 2009 et abrite désormais un café-théâtre ouvert le 31 décembre 2012), et un cinéma indépendant composé de deux salles: le Cinéma Opéra, situé comme son nom l’indique à proximité du L’Opéra de Lyon et le Cinéma, situés un peu plus au nord. Le centre commercial du quartier de la Confluence abrite un cinéma UGC Ciné Cité.

La rive gauche du Rhône (3, 6 et 7 arrondissements) accueille la Fourmi Light (acquise par l’Institut Lumière en 2014), le cinéma Bellecombe, la Comœdia un UGC à la Part-Dieu (avec entrées séparées niveau 1 et niveau 3 , qui sera prolongé pour 2020), l’UGC Astoria et un UGC Ciné Cité à la Cité internationale. La Croix-Rousse possède un cinéma associatif: le Cinéma Saint-Denis et le 9 arrondissement Ciné Duchère et un cinéma Pathé à Vaise.

La ville de Lyon comptait ainsi plus de 21 500 places de cinéma en 2009.

Enfin, la ville sert de sujet ou de décor à de nombreux films, dont les plus notables sont L’Armée des ombres (1969), L’Horloger de Saint-Paul (1974), Lucie Aubrac (1994) et plus récemment La Fille coupée. en deux (2007).

Événements et festivals
Lyon, ville de culture est réputée pour ses grands événements. Les acteurs culturels de la ville, grands ou petits, ont de nombreuses opportunités de collaboration dans chaque arrondissement. La culture émerge de ses palais pour le plus grand bonheur des Lyonnais qui participent activement à la vie de leur cité. Si la Fête des Lumières est l’événement emblématique de la ville, d’autres événements contribuent au rayonnement culturel de Lyon: la Biennale de la Danse et son célèbre défilé, les Nuits Sonores, les Nuits de Fourvière ou encore le Festival Lumière, dédié à l’histoire du cinéma …

La fête des lumières
La Fête des Lumières est de loin l’événement le plus important de l’année. Il dure quatre jours autour du 8 décembre. C’était d’abord une fête religieuse traditionnelle: le 8 décembre 1852, les Lyonnais illuminaient spontanément leurs vitrines avec des bougies pour célébrer l’inauguration de la statue dorée de la Vierge Marie (la Vierge était la sainte patronne de Lyon depuis qu’elle aurait sauvé la ville de la peste en 1643). Le même rituel était ensuite répété chaque année.

Au cours de la dernière décennie, la célébration s’est transformée en un événement international, avec des spectacles de lumière d’artistes professionnels du monde entier. Cela va de minuscules installations dans des quartiers éloignés à d’immenses spectacles son et lumière, le plus grand se déroulant traditionnellement sur la place des Terreaux. La plupart des monuments majeurs tels que l’Hôtel de Ville, l’Hôtel-Dieu ou la basilique de Fourvière sont illuminés de manière spectaculaire. Les bâtiments de l’Université Lyon II / Lyon III le long du Rhône comptent également parmi les plus belles illuminations. La fête traditionnelle perdure cependant: pendant les semaines précédant le 8 décembre, les bougies et verres traditionnels sont vendus dans les magasins de toute la ville. Ce festival attire environ 4 millions de visiteurs chaque année; il se compare désormais, en termes de fréquentation, à l’Oktoberfest de Munich par exemple. L’hébergement pour cette période doit être réservé des mois à l’avance. Vous aurez également besoin de bonnes chaussures (pour éviter la foule dans le métro) et de vêtements très chauds (il peut faire très froid à cette période de l’année).

Aujourd’hui, la Fête des Lumières fait partie intégrante de la tradition lyonnaise et est l’un des marqueurs de son identité. Si Lyon a été pendant des siècles une ville de commerce, une ville de foires, une ville de la soie, Lyon était aussi, par tradition, une ville festive, porteuse d’événements populaires, qui ont marqué sa vie et celle de ses habitants.

Dans la période suivant les révoltes de 1831, 1834 et 1848, la ville connut une période de troubles, marquée par des conflits sociaux, par des inondations récurrentes, mais aussi par la transformation de la ville avec l’attachement des communes limitrophes de Vaise, de la Guillotière et Croix-Rousse. Durant cette période, Lyon perd son autonomie, le pouvoir étant alors concentré entre les mains du préfet. C’est dans ces moments difficiles que, le 8 septembre 1852, ils décident d’installer une statue dorée de Marie sur le clocher de Fourvière, mais les inondations obligent à annuler cette journée. L’événement est reporté au 8 décembre, journée mariale célébrant l’Immaculée Conception. Toute une série d’événements religieux est prévue, et le soir, les Lyonnais illuminent leurs vitrines avec des bougies placées dans des verres colorés. Le mauvais temps gâche les cérémonies officielles mais,

La Fête des Lumières est née, signe de communion populaire dans laquelle les Lyonnais se retrouvent dans un esprit de solidarité. C’est l’esprit du Festival, l’esprit des bougies placées dans les vitrines. Année après année, le volet religieux et officiel de la Fête du 8 décembre se double donc d’un volet festif et populaire, pour devenir aujourd’hui, avec la Fête des Lumières, ce moment fort dans l’esprit des Lyonnais, où tous se réunissent pour s’exprimer leur joie d’être ensemble et d’admirer leur ville « .

Nuits sonores
Créé en 2003, Nuits Sonores est devenu le premier festival français de culture indépendante et électronique. Cet événement occupe désormais une place importante dans le paysage européen. En plus de dix éditions, Nuits Sonores continue de promouvoir la musique, la scénographie et les créations visuelles.

Festival Lumière du cinéma
Le Prix Lumière est décerné à un artiste pour l’ensemble de son œuvre. Ils ont reçu le prix de la lumière: Clint Eastwood, Milos Forman, Gérard Depardieu, Ken Loach, Quentin Tarentino et Pedro Almodovar, Martin Scorsese.

Nuits de Fourvière
Les Nuits de Fourvière se consacrent aux arts du spectacle et s’efforcent depuis 1946 de faire coexister les disciplines. Chaque été, en juin et juillet, le festival présente près de 60 représentations devant plus de 130 000 spectateurs.

Tout le monde à l’extérieur
Everyone Outside fête l’été en réunissant environ 250 événements artistiques et participatifs en plein air, totalement gratuits et ouverts à tous. Chaque année, Tout l’monde extérieur propose, dans les 9 arrondissements de Lyon, une multitude d’événements artistiques et participatifs dans l’espace public. Avec une programmation plus largement ouverte aux loisirs, animations, spectacles et activités invitent les Lyonnais à se retrouver et échanger dans un esprit de « vivre ensemble » et de « faire ensemble », de beaux moments de détente et de convivialité

Les Assises internationales du Romain
Chaque année au cours de la dernière semaine de mai, ils réunissent des écrivains, des journalistes, des artistes, des chercheurs, des scientifiques et des penseurs du monde entier aux Subsistances. En proposant des regards croisés, les débats, tables rondes et entretiens auxquels ils participent offrent un éclairage original sur des questions littéraires (crime en littérature, rôle de la mémoire, liens entre réalité et fiction …) mais aussi plus largement sur enjeux sociaux (mondialisation, écriture de la catastrophe…). Diversité des voix, diversité des langues: une semaine d’échanges et de lecture à Lyon et en région Rhône-Alpes. Écrivains, comédiens, philosophes, astronautes, physiciens, grands reporters, scénaristes pour débats et tables rondes sont présents.

Dock polaire
Pendant trois jours, la ville se transforme en capitale mondiale des thrillers. C’est donc l’occasion pour les amoureux du genre d’assouvir leur passion, de rencontrer des auteurs confirmés et des étoiles montantes, et pour les néophytes, de découvrir une culture à la croisée de l’imaginaire et du réel. Tous les aspects du genre seront scrutés: du roman noir au roman historique, en passant par le thriller et le roman mystère, mais aussi tous les modes d’expression de la culture noire avec la littérature, le cinéma, le théâtre, la bande dessinée, la jeunesse …

Biennale de danse
Comment faire en sorte que la danse soit présente, facile à côtoyer, y compris là où on ne l’attendait pas a priori, parfois même en dehors des théâtres où elle se déroule habituellement? La Biennale tente à chaque occasion de construire ce temps de rencontre spécifique et de montrer des gestes singuliers. Conçu sans thème particulier et en toute liberté, le programme privilégie le désir, la gourmandise et les coups de coeur. C’est une déclaration d’amour pour la danse. Temps fort: le défilé des Terreaux à Bellecour, plus de 4500 participants amateurs de la région lyonnaise vous donneront leur interprétation du thème annuel lors du plus grand défilé chorégraphié d’Europe … Le défilé est ouvert à tous, si vous souhaitez participer ( danse, costume, chant, musique, arts visuels, échasses, etc.) demandez des informations aux groupes.

Biennale d’art contemporain
Après avoir co-commissaire des trois premières Biennales de 1991/95, Thierry Raspail a depuis proposé, aux commissaires qu’il invite, de réfléchir à un mot qui synthétise pour lui l’actualité artistique du moment. Ce mot est valable pour trois éditions et forme la base d’une trilogie de six ans. Donc, ça fait longtemps qu’on passe … c’est déjà presque une histoire …

Fête de la musique à Lyon
Chaque année le 21 juin, boeuf dans le métro, déjeuner symphonique, sortie bureau en beauté avant une soirée concert: la ville est festive et les mélomanes satisfaits. Amateurs passionnés ou jeunes talents, il y a près de 280 artistes dans plus de 80 lieux publics: cette journée est l’occasion de rencontrer leur public, dans une ambiance légère et familiale à Lyon.

Nuit des musées
Cet événement, organisé par le ministère de la Culture et de la Communication est une preuve supplémentaire que la nuit n’est pas le domaine des clubs et des concerts, mais que les arts graphiques ont aussi leur public de noctambules. De nombreux musées lyonnais vous ouvrent leurs portes gratuitement une partie de la nuit. Des activités complémentaires sont également proposées.

Journées du patrimoine
Depuis 1984, les Journées européennes du patrimoine sont le rendez-vous culturel incontournable de la rentrée scolaire. Ces deux jours sont l’occasion de revenir sur le patrimoine lyonnais à travers des promenades urbaines organisées. Des itinéraires insolites, des circuits thématiques et des excursions diverses dévoilent les trésors de la ville et vous rencontrent dans des lieux habituellement fermés au public. Reconnue par l’UNESCO, Lyon possède un riche patrimoine culturel et historique que l’événement vous propose de découvrir dans une ambiance festive et conviviale.

Héritage naturel
Malgré une forte concentration urbaine, la ville de Lyon se pare de nombreux espaces verts et aménagements naturels. C’est une «Ville fleurie» aux trois fleurs (label qualité de vie) depuis 2007.

En 2018, la ville de Lyon a reçu la plus haute distinction, une quatrième fleur au concours Villes et villages fleuris récompensant son cadre de vie exceptionnel et la gestion de ses espaces verts, elle devient ainsi la seule métropole française à obtenir ce label.

Avec 12000 hectares d’espaces naturels, Lyon compte quatorze grands parcs et trois cents jardins urbains appréciés des Lyonnais, et un environnement riche en contrastes, avec les montagnes du Lyonnais au sud-ouest, les Monts d’Or au nord-ouest, la vallée de la Saône au nord et le plateau de la Dombes au nord-est.

Parcs et jardins urbains
Le parc de la Tête d’Or, classé jardin remarquable, est le plus grand parc urbain de France. Il possède de vastes étendues de pelouses ombragées, un lac et une île, et plusieurs jardins botaniques, dont le jardin alpin et le jardin fleuri. Desservi par plusieurs lignes de transport en commun, ce parc est situé dans la ville de Lyon, dans le quartier des Brotteaux (6 arr.) Dont il est le nord. Le parc est entouré par le Rhône et la Cité Internationale au nord et à l’ouest, et par la ville de Villeurbanne à l’est. En son sein, on trouve le jardin zoologique de Lyon, deuxième plus ancien zoo de France, créé en 1858. Depuis 2006, son objectif est de devenir un lieu de conservation des espèces menacées et de sensibilisation à la préservation de la biodiversité. Il concentre ainsi ses efforts sur l’élevage d’espèces telles que les varis rouges,

D’autres espaces verts sont disponibles dans différents quartiers de la ville, comme le jardin du Rosaire et le parc des Hauteurs sur les pentes de la colline de Fourvière, le jardin des Plantes et le jardin Rosa Mir sur les pentes de la colline de Fourvière. Croix-Rousse, le parc du sergent Blandan a ouvert par incréments entre septembre 2013, septembre 2014 et 2019, qui passe la frontière entre les 7 et 3 quartiers de Lyon et le parc Henry Chabert au sud de la ville. Enfin en proche périphérie, Lyon possède le plus grand parc périurbain de France, le grand parc de Miribel-Jonage avec ses 2 200 hectares de nature préservée, son lac de 350 hectares. Et enfin le grand parc de Parilly, au sud-est de Lyon, constitue l’un des poumons verts de l’agglomération et accueille de nombreuses espèces animales protégées. Il possède de nombreuses installations sportives et une piste de course.

Arrière-pays lyonnais
La ville de Lyon est entourée de différentes régions ou régions naturelles à moins de trente kilomètres du centre-ville. Au nord-ouest de la ville, la vallée d’Azergues traverse une partie boisée et vallonnée du département du Rhône, et s’étend jusqu’aux vignobles du Beaujolais. Au sud-ouest, la région du massif du Lyonnais désigne les premiers contreforts du Massif Central, région également viticole avec les Coteaux-du-Lyonnais, et se prolonge jusqu’au Forez et au parc naturel du Pilat. Enfin, la vallée du Rhône s’étend au sud de la ville de Lyon, et le vignoble des Côtes-du-rhône débute entre Lyon et Vienne.

A l’est de Lyon, la plaine s’étend de la Côtière au Dauphiné vers le nord-est, et vers les villes de Crémieu, Pont-de-Chéruy et Bourgoin-Jallieu au sud-est. Les lônes du Rhône sont des espaces protégés fluviaux pour préserver la faune et la flore, dont de nombreux castors, qui sont observables jusque dans le centre-ville de Lyon. La Dombes, plateau aux mille étangs et abritant de nombreuses espèces animales, commence aux portes de Lyon et s’étend également au nord-nord-est de la région lyonnaise. Enfin, la vallée de la Saône s’étend au nord de Lyon jusqu’à la ville de Villefranche-sur-Saône, et est bordée à l’ouest par les sommets des Monts d’Or.

Activités, loisirs et bien-être
Toute une gamme de loisirs, d’activités, de détente et autres petits plaisirs que l’on aime profiter en vacances: balades dans les parcs et jardins, spas, soins et massages, dégustations ou cours de cuisine, activités sportives. et fun … Bref: vous trouverez ici de quoi donner une saveur unique à votre séjour, de quoi pimenter vos souvenirs de nouvelles expériences, de quoi repartir en pleine forme et la tête pleine de souvenirs!

Parcs, jardins et lieux de promenade
Promenez-vous dans le Parc de la Tête d’Or, Les Hauteurs ou La Cerisaie, lieux très prisés des Lyonnais; flânez sur les bords du Rhône pour découvrir Lyon autrement; arrêtez-vous sur une terrasse, pour un agréable moment de détente.

Bien-être
Spa, hammam, jacuzzi, massage… Il suffit de lire ces mots, vous en rêvez déjà! Pas de soucis, Lyon regorge de belles adresses qui n’ont qu’un seul objectif en tête: se détendre. Offrez-vous un moment de détente absolue … après une virée shopping, une journée de conférences ou une longue balade dans la ville. Optez pour la détente avec un spa, un soin de beauté ou un long massage pour vous remettre en forme, ou passez à des options plus revigorantes avec aquagym ou bain à jets. Le charme incomparable d’un hammam oriental ou la sobriété zen d’un univers design raffiné: choisissez votre style et laissez-vous aller.

Baignade et piscines
A Lyon, il peut faire très chaud, alors gardez ces adresses sous votre coude si vous rêvez de dessiner votre plus beau maillot! Que ce soit en hiver, la piscine du Rhône et ses bassins extérieurs chauffés attirent de nombreux amateurs.

Loisirs intérieurs
Des combats lasergame au vol géant en soufflerie, en passant par le karting, le paintball ou même des sessions de jeu grandeur nature pour les enfants! Et si le temps n’est vraiment pas pour faire la fête, on découvre Lyon en salle et en miniature au Mini World Lyon, ou les fonds marins à l’Aquarium.

Loisirs de plein air
L’avantage de Lyon est qu’il est très facile de s’évader pour faire du sport, se promener ou se détendre à la campagne, à quelques minutes du centre-ville. Et vous pouvez également pratiquer des activités de plein air au cœur de la Métropole, dans les nombreux parcs ou sur les berges. Comme beaucoup de Lyonnais, vous aimez le sport et les loisirs de plein air, choisissez entre un parc nature et aventure pour vous évader dans la canopée, un vol en parapente, une balade au milieu des loups ou des balades ou des balades. bicyclette. Seul, en couple, entre amis ou en famille, l’éventail des activités pour tous est vaste.

Cours de cuisine et dégustations
A Lyon, capitale de la gastronomie, tout prétexte est bon pour se salir les mains! Avec ces cours de cuisine et de dégustation, renouvelez votre façon de cuisiner, apprenez l’art de la dégustation, émerveillez famille et amis et surtout, faites-vous plaisir en même temps. Apprenez des astuces, des secrets de cuisine et des conseils de chef pour choisir vos ingrédients, ne rien manquer, réaliser des recettes originales et délicieuses et préparer de belles assiettes. Douce, salée, douce-amère, cuisine de saison, les termes culinaires n’auront plus de secret pour vous! Préférez-vous goûter pour préparer? C’est bien, c’est tendance! Initiation à l’œnologie, dégustation de chocolat, eau, whiskies…

Croisières et visites de la ville
Une croisière promenade, un déjeuner ou un dîner sur l’eau, une balade en petit train ou en bus à impériale? Pour voir la ville sous un autre angle, à vous de choisir votre façon de vivre la ville, pour encore plus de plaisir.

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Tags: France