Ensuès-la-Redonne, Bouches-du-Rhône, France

Ensues-la-Redonne est une commune française située dans le département des Bouches-du-Rhône, en région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

Ensuès-la-Redonne appartient au canton de Châteauneuf-Côte-Bleue et à l’arrondissement d’Istres. Il est à 17,9 km de Marseille, 4,4 km de Carry-le-Rouet et 25,4 km d’Istres. Le village est construit dans un bassin et séparé de la côte par le plateau de la Graffiane. Sur le littoral de la Côte Bleue, plusieurs calanques, ports, criques ou refuges sont situés sur le territoire d’Ensuès-la-Redonne: la trappe de Gignac, La Redonne (et son port), Les Figuières, les calanques du Petit Méjean et du Grand Méjean, etc. Une grande partie des terres de la ville est protégée par le Conservatoire du littoral, 80% étant recouvert de garrigue.

L’histoire
L’origine du nom reste une véritable énigme, à ce jour plusieurs hypothèses et de nombreuses différences existent. Celui qui revient le plus et semble être le plus probable, vient d’une déformation du mot provençal «SUEIO» ou «ESSUEO» qui signifiait «fosse à chaux» ou «étang à fumier». Mais aussi plus sujet à discussion, la déformation du mot latin « SOLIUM » qui se traduit par « petit bain ».

Des sépultures de tuiles ont été découvertes sur le territoire d’Ensuès-la-Redonne ainsi que des amphores. Un petit dolmen a également été découvert plus récemment dans la vallée de Saint-Antoine. Bien que connue depuis longtemps par les habitants de la calanque, cette dernière n’avait jamais été officiellement répertoriée. Il porte désormais le nom de son inventeur: Gérard Chevé. Les premières apparitions du nom Ensuès se retrouvent dans des écrits relatifs au rattachement de la Provence au royaume de France sous Louis XI de France vers 1481. Le village semblait alors périodiquement occupé par des bergers. Ce n’est qu’en 1540 que le nom d’Ensues apparaît dans la liste des paroisses dépendant du diocèse d’Aix-en-Provence.

Peu de changements ont été observés dans le peuplement d’Ensuès-la-Redonne depuis plus de quatre siècles: 100 à 400 habitants y vivent. Leurs moyens de subsistance ainsi que leur économie reposent sur des atouts méditerranéens: le climat permet la culture d’oliviers et de vignes ainsi que l’élevage de chèvres et de porcs et la proximité de la mer permet le développement de la région. pêche.

Après des siècles de consolidation autour de l’ancien fief médiéval de Châteauneuf, une forte volonté d’indépendance s’est manifestée, à partir du 17ème siècle dans les différents hameaux réunis alors à proximité de leur petite chapelle. Ceux qui prennent alors de l’importance sont: Gignac, le Rove avec une partie d’Ensues, Carry et plus tard Sausset.

Le hameau est en effet administrativement divisé en deux parties: alors que l’ouest est rattaché à Châteauneuf-les-Martigues, l’est dépend de Gignac-la-Nerthe (jusqu’en 1835, lorsque Le Rove acquiert le statut de commune et soutient Ensuès-la- Redonne).

Suite aux difficultés de gestion engendrées par cette dichotomie, l’accession d’Ensuès au rang de commune à part entière est demandée à partir de 1850.

Dans le même temps, l’école dirigée par des religieuses devint laïque en 1893; néanmoins, ils conservent l’éducation des filles. Ils furent licenciés en 1905. C’est en 1907 que deux écoles furent créées: l’une pour les filles, l’autre pour les garçons.

Par décret du 16 mai 1933, la ville d’Ensuès-la-Redonne est officiellement créée. Les premières élections ont lieu en juin 1933 et Auguste Gouiran devient le premier maire du village. Le bâtiment abritant actuellement la Poste abritait alors conjointement la mairie et le service postal à partir de 1936.

En 1953 a rencontré l’école des filles et des garçons.

Le blason de la commune d’en face, datant des années 1930, est l’œuvre d’Etienne Imbert, résidant dans le Val de Ricard. Même s’il est resté plutôt timidement sur la cheminée de la salle des mariages dans un premier temps, il est devenu le véritable emblème de la ville. Sa signification est simple: le dauphin est le symbole de la mer, l’étoile des Baux rappelle l’origine du village créé par les habitants de Châteauneuf-les-Martigues qui dépendaient alors du comté des Baux. Quant au chef d’or aux quatre pals de geule, ce sont les Armes de Provence.

Attractions

Mairie
Il faudra persévérer pendant des générations et avec le soutien des élus du département pour obtenir la création de la commune le 16 mai 1933. Le président de la République Albert Lebrun a signé une loi, publiée le lendemain dans le journal officiel journal, qui érigée en commune sépare les hameaux d’Ensuès-La Redonne. C’est donc en juin 1933 que les premières élections municipales sont organisées avec un certain enthousiasme pour tous les électeurs.

M. Augustin GOUIRAN dit « Gutin » a été élu Maire, M. Zacharie RICAUD, 1er adjoint, et en raison de la situation particulière de La Redonne, qui comprenait 40 habitants en hiver et 300 en été, M. BONNAY a été nommé assistant spécial de représentent les électeurs de la côte. Dans un premier temps, la Mairie a emménagé dans l’ancienne école (l’actuelle Poste) qui, suite à divers travaux de réfection, a été officiellement inaugurée le 6 septembre 1936. Ce nouveau local abritait conjointement la Poste et la Mairie.

Géographiquement, ce quartier, situé à 10 km de Carry et à seulement 2 km d’Ensues, n’aurait jamais dû appartenir à la commune de Carry car la route qui traverse cette agglomération la relie à Ensuès La Redonne et tous les services publics et privés desservaient la population de Ensues. C’est donc la vallée menant à la crique d’eau salée qui délimitait les deux communes.

Foyer socioculturel
La maison comme cœur de la vie communautaire et culturelle. Toutes les associations ont été regroupées et l’inauguration a eu lieu en janvier 1969 en présence du député M. Rieubon qui souhaitait «que cette salle soit le symbole du développement de votre commune pour l’avenir de la culture et de la détente».

Marcelle Théry, raconte: Nous n’avons pris possession de la maison qu’après 1968. Guy Olive en était le président. Le terrain de l’auberge était prévu sur la place des Aires, mais celui de l’école des filles a été donné. La maison s’occupait de tout ce qui était festif, loisir, sport et culture dans la ville. Organisées en sections, il y avait toutes les activités qui sont désormais gérées par des associations à part entière telles que le tennis, le football, la danse, etc … Chaque section (sportive ou non) avait son représentant au conseil d’administration pour participer à la gestion de la Maison Rurale . Aujourd’hui, au-delà du Foyer et de ses activités, près de 75 associations travaillent dans la commune dans tous les domaines.

Les puits
Les difficultés d’amener l’eau potable à Ensuès. Il faudra attendre 1928 pour que la ville reçoive le précieux liquide de Marseille à raison d’un litre d’eau par seconde et que chaque jour … Mais les installations du canal de Marseille ne fonctionnaient pas bien au début et cela La population du village manquaient souvent d’eau cinq jours par semaine. Le 31 mai 1953, le conseil municipal décide d’acquérir un groupe électropompe pour puiser l’eau du grand puits municipal (place des Acacias). Cette eau a été utilisée pour nettoyer les gouttières et si nécessaire remplacer l’eau du canal. «Oui, il y avait souvent un manque d’eau, même s’il y avait aussi les fontaines. Nous ne nous lavions qu’une fois par semaine.

Le linge était lavé à la maison mais quand nous étions petits, il y avait aussi le linge (situé à l’emplacement actuel de la bibliothèque). Marthe, Rosa, Virgina… sont venues laver leurs vêtements à la pompe et puisaient l’eau du puits municipal au fond. «Ces puits ont aussi malheureusement eu de tristes histoires car certains y ont été noyés ou pendus, se souvient Daniel Camoin. Il faut également noter qu’à l’époque, les Calanques et la vallée de la Graffiane n’étaient toujours pas desservies: les habitants ne sont alimentés que par des citernes spéciales, chargées de collecter les eaux de pluie. Le reste de l’eau potable était transporté par train par les voyageurs. Pendant les saisons sèches, les réserves s’épuisent et c’est alors le bateau-pompe de la Marine nationale qui approvisionne les estivants.

Le Ministère de l’Agriculture a confié à notre commune le projet qui consistait à apporter de l’eau potable de « La Pégoulière ». Les travaux ont été réalisés et se sont étendus de 1956 à 1958. Ce n’est qu’en 1962 que l’eau potable arrive aux ruisseaux. Par la suite, un nouveau réservoir d’une capacité de 1000 m3 a été construit en 1982, situé juste derrière le réémetteur de télévision. Ce dernier a amélioré le service vers les hauts lieux de notre village.

Place des Aires
Place des aires: espace dédié à la culture du blé. Le blé était cultivé dans la plaine vers Châteauneuf mais aussi à Ensuès, à Colleton. Il y avait 7 ou 8 zones à Ensuès, dont celles de St Maur. C’étaient des endroits situés en plein soleil où du blé ou d’autres plantes graminées étaient brisées. Nous avons arrosé le sol, répandu de la paille et posé des gerbes de blé ou d’orge. Sous l’effet du soleil, la chaleur, la surface de l’air durcit, permettant ainsi le battage des grains.

Léone Lantelme se souvient «du cheval Bijou, les yeux bandés pour le protéger de la poussière, faisant le tour du mât, tirant l’énorme rouleau de pierre et puis les femmes balayant pour enlever la paille et garder le blé» … Son truc était de mettre de vieux bas pour gants pour protéger ses mains.

La seule machine utilisée était la « ventarelle » pour ne conserver que le grain nettoyé. Tout le monde a mis les mains au travail et l’endroit a été soigneusement nettoyé pour recueillir les plus petites poussières et grains de cette mouture.

Église Saint Maur
Histoire mouvementée de la cloche. Depuis 1954, «Marie-Thérèse», la cloche de l’église, sonne les événements. Fondue à Lyon, elle portait le nom de deux fidèles de la paroisse. Une fissure l’avait fait s’accorder avec son son et, lors de l’électrification du clocher, il a fallu le refondre car sa blessure se développait dangereusement. L’origine de la fissure reste un mystère … jamais élucidé …

C’est donc avec l’aide de M. Teillet, garagiste de la commune qui possédait une camionnette adaptée qu’elle a été transportée à Châteauneuf, d’où elle est partie à St Jean de Bray, près d’Orléans, pour être refondue en 1979 et revenir pour Pâques l’année suivante. A son retour, on raconte qu’à St Etienne, le van qui la transportait était recouvert de neige, ce qui faisait dire que «la nature portait déjà sa robe blanche du futur baptisé» Oui, l’église baptise les cloches! … Et c’est donc dans une grande cérémonie que la cloche d’Ensues a été baptisée par un abbé, en présence de parrains et marraines. Le 30 mars 1980, la foule s’est rassemblée pour cet événement tant attendu.

La poste
Une histoire du courrier. Au tournant du siècle, c’était la diligence qui transportait le courrier, aucun bâtiment n’était affecté à ce service. En mai 1963, afin d’offrir un meilleur service aux citoyens avec notamment plus d’heures d’ouverture le conseil municipal, après avoir assuré le déménagement de la salle des mariages mis à la disposition des PTT tout le rez-de-chaussée ainsi que des logements officiels pour le receveur . Les facteurs partaient à pied jusqu’au fond des calanques parfois pour porter uniquement le quotidien à un abonné il fallait aller jusqu’à la crique du puits se souvient Mireille Camoin … c’était le Service Public dans toute son efficacité .

C’est le 9 décembre 1978 que l’inauguration de La Poste a eu lieu dans ses locaux, toujours en activité et de services.

La chèvre de Roche
Autour de La Roche: élevage caprin. Le pastoralisme était, à cette époque, promis un avenir radieux. Toutes ces activités se sont développées après la construction de la route d’Ensuès, du Rove, de Marseille via l’Estaque en 1848. Les villages ainsi ouverts ont permis l’ouverture économique de la Nerthe.

Madrague de Gignac
Les traditions liées à la pêche sur la côte d’Ensues. Pour une majorité de personnes, si une « Madrague » désigne généralement un lieu de villégiature en bord de mer, il n’y a pas si longtemps cela signifiait une énorme pêche destinée principalement à capturer du thon lors de leur migration …

Notre littoral regorge de traces qui suggèrent que l’homme a toujours exploité les ressources halieutiques. Les différentes fouilles sur les sites préhistoriques ont permis la découverte de nombreux coquillages et arêtes de poisson prouvant l’importance de la pêche dans l’alimentation des premiers habitants de notre commune.

Dans l’Antiquité, notre côte était occupée par une tribu celto-ligure, les Avatici dont la capitale était Maritima Aviticorum (Martigues). Cependant, pendant la longue période des invasions, la peur des envahisseurs venus de la mer a conduit à une désertification du littoral … Depuis le 12ème siècle, notre littoral dépendait de la Prud’homie des pêcheurs marseillais. Cette importante société fonctionne sans interruption depuis près d’un millénaire et est certainement la plus ancienne de France. C’est elle qui gère les ressources de la mer à l’aide des règlements des prud’hommes. Cette société est depuis longtemps en conflit avec les nobles exploitants de pièges. La côte a toujours été généreuse pour nos pêcheurs au fil des décennies, soupes, bouillabaisses, langoustes,

Malheureusement, la pêche au chalut a changé les choses avec la pêche intensive qui a un impact sur les réserves de toutes sortes d’espèces.

Plage de Dugue
Le restaurant panoramique Dauphin à La Redonne. Appelé « Restaurant de la plage » pour sa proximité immédiate avec la plage de la Dugue, il était au départ très fonctionnel pour l’activité de baignade avec cabines de bain … Mais une qualité de restauration et une réputation de fraîcheur des produits de la mer l’ont rendu célèbre.

Il y avait un vivier dans lequel étaient conservées les réserves de poissons, crustacés et en particulier huîtres, homards et homards, de quoi servir le meilleur des meilleurs à table!

Magic Park Land
Magic Park Land est un parc d’attractions français, situé entre Carry-le-Rouet et Ensuès-la-Redonne, dans les Bouches-du-Rhône, ouvert en 2003 suite à l’acquisition d’Eldorado City. Le parc compte plus de vingt-cinq attractions.

Situé à Ensuès la Redonne, c’est le seul parc d’attractions de la côte bleue et de ses environs. 8 hectares au milieu de la pinède provençale, 4 sites différents, parc avec restaurant mexicain, texan, restauration rapide, crêperie, glacier et saloon.

En 2012, le parc comptait plus d’une vingtaine d’attractions et est en plein essor depuis 2005 avec l’arrivée de la chenille, en 2007 avec deux nouveautés: les crics et le bateau pirate, et en 2010 avec deux nouveautés: la mouche folle et la Route 66 En 2011, babyland et speedy sont les deux nouveautés. Pour 2012, deux nouveautés: juke box et baby boat.

Patrimoine culturel
L’église d’Ensues fut construite de 1836 à 1839. C’est en 1854 que son clocher fut érigé. Outre les offices religieux réguliers, il accueille de temps à autre des concerts (polyphonies corses en janvier 2005 par exemple).
Le piège de Gignac (dénommé Ginas au xvii e siècle), petit port près de la Redonne, abrité, entouré de villas. Comme les criques voisines, l’accès est réglementé pendant les périodes de pointe. C’est le point de départ d’un sentier pédestre vers la calanque d’eau salée et Carry-le-Rouet.
Les grottes marines de Méjean sont accessibles par un sentier pédestre qui longe la côte depuis La Redonne.
La garrigue entourant la ville est protégée par le Conservatoire du littoral.
Le film La Villa de Robert Guédiguian y a été tourné.

Carry-Le-Rouet
Carry-le-Rouet est une station balnéaire et touristique familiale, surnommée la Perle de la Côte Bleue. Carry-le-Rouet est situé entre Ensuès-La-Redonne et Sausset-Les-Pins. Au pied de collines boisées, le site offre une rive déchiquetée où se succèdent criques, calanques, plages et caps.

Les plages:
Plage du Rouet
C’est une grande plage naturelle de sable et de galets, c’est la plage principale de Carry-le-Rouet.

Calanque de Fernandel
C’est une petite calanque paysagée protégée par une falaise boisée.

Plage du Cap Rousset
C’est une plage de sable aménagée en terrasses, au cœur de la réserve marine du Parc Marin de la Côte Bleue.

La calanque de la Tuilière
C’est une petite crique naturelle de galets, elle est située à environ 1 km du centre-ville.

Restaurants et bars:
Tout au long de la côte de Carry-Le-Rouet, vous trouverez divers restaurants ou bars tels que Saint Trop, La Cale, l’Amiral ou encore Le Scoop. Ils sont principalement regroupés autour du port de Carry.

Divertissement:
Vous avez la possibilité de pratiquer plusieurs sports nautiques comme la voile, le kayak, la plongée sous-marine, l’initiation à la pêche, les promenades sous-marines dans la réserve du Parc Marin de la Côte Bleue et le surf.

Vous y trouverez un Casino de jeux à l’ambiance chic et décontractée en journée et en soirée et un marché nocturne au bord du port.

Camping:
Carry-Le-Rouet possède un camping 4 étoiles, le camping Lou Soleï et un camping caravaning, où vous trouverez 4 piscines, un restaurant bar pizzeria et les Plages à seulement 100 mètres.

Sausset-les-Pins
Sausset-les-Pins est une station balnéaire de la Côte Bleue très fréquentée l’été, on y trouve un port de plaisance, des plages, des criques abritées, et de nombreuses activités nautiques et sportives.

Les plages:
Plage de la Corniche
C’est la plage principale de Sausset-Les Pins, c’est une grande plage de sable et de galets qui se situe à proximité du centre-ville.

Petite plage de nid
C’est une petite plage de galets.

Plage de four à chaux
C’est une petite plage de sable et de galets entourée de plateaux rocheux

Plage du Rouveau
Ce sont deux petites plages de galets.

Plage des Baumettes
Cette plage est un mélange de sable et de gravier. C’est l’une des plus larges plages de Sausset les Pins.

Restaurants et bars:
Vous trouverez plusieurs bars comme le duplex et le bistrot et des restaurants comme l’Amphora ou l’Anchor du Galion, tout le long de la côte avec une superbe vue sur la mer.

Divertissement:
Vous pouvez pratiquer plusieurs sports nautiques comme la plongée, la voile, la pêche, le surf, le kite-surf et le body-board. Sausset-Les-Pins dispose également d’un parc de golf de 9 hectares avec 9 trous pour un moment de détente.

L’Estaque
L’Estaque est situé dans le XVIe arrondissement de Marseille, à proximité du quartier du Vieux Port, L’Estaque est aussi un port maritime très réputé qui a su préserver son charme et sa quiétude provençale.

Les plages:
Calanque de l’Estable
C’est une petite crique de galets tranquille cachée entre les falaises.

Plage de Fortin
C’est une plage de galets à côté de Battery Beach et Lava Beach.

Plage de la batterie
C’est une plage de sable à côté des plages de Fortin et de Lava.

Plage de lave
C’est une grande plage de sable qui se trouve près du port de Lava.

Restaurants et bars:
Tout au long de la côte, en suivant la route départementale menant à la plage de l’Estaque, vous trouverez plusieurs bars et restaurants comme l’Hippocampe, Larrieu, Lou Chembri, Rade ou encore Mastier.

Divertissement:
Il est possible de pratiquer des sports nautiques à L’Estaque comme la voile, l’aviron, la joute, la plongée sous-marine et les croisières en bateau.

Vous avez plusieurs endroits à visiter à L’Estaque, des monuments comme la forteresse construite au 17ème siècle, le Château Fallet magnifiquement bordé d’oliviers, Notre Dame de la Galline qui est un ancien édifice religieux du 11ème siècle mais toujours le Le Jardin de Corbière, quant à lui, est idéal pour un pique-nique en famille.

La Couronne
La Couronne est une station balnéaire connue pour ses grandes plages de sable.

Des plages:
Plage du Verdon
C’est une grande plage de sable bordée de boutiques

Plage de la vieille couronne
C’est une petite plage de sable et de galets située à proximité d’un petit port.

Plage de la Beaumaderie
C’est une petite plage de galets et de plateaux rocheux.

Plage de Sainte Croix
Il se compose de deux plages de sable surplombées par l’église Sainte-Croix.

Restaurants et bars:
Tout au long de la côte, vous trouverez des bars et des restaurants tels que Les Ombrelles, La Côte et mer, Cocoobeach ou Lola Palooza.

Divertissement:
Vous avez la possibilité de jouer à divers jeux de plage sur la plage du Verdon puisqu’elle dispose de filets de volley-ball ou de badminton.

Les campings:
Autour de la Couronne, vous trouverez plusieurs campings, le camping des Mouettes et le camping Le Mas qui sont situés tout près de la plage de Sainte-Croix, pour sa part, le camping de l’Arquet est situé vers l’ancienne plage. Couronné.