Venissious, métropole de Lyon, Auvergne-Rhône-Alpes, France

Venissious est une commune française située dans la métropole de Lyon, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Autrefois paisible village agricole et viticole, Vénissieux s’est développé grâce notamment à ses industries automobiles, dont elle a été l’un des berceaux. La construction de grands complexes à partir des années 1960 a profondément modifié son aspect urbain et social. C’est la septième ville d’Auvergne-Rhône-Alpes par le nombre d’habitants.

Vénissieux est situé dans la banlieue sud de Lyon. Elle est considérée comme la «porte sud de l’agglomération lyonnaise». Bénéficiant d’une situation géographique privilégiée entre Lyon, la vallée du Rhône et les plaines du Velin, Vénissieux concentre de nombreuses activités économiques sur son territoire et est traversée par de grandes voies de communication.

L’histoire
De l’Antiquité à la révolution industrielle, Vénissieux était un territoire essentiellement agricole. Les campagnes de fouilles les plus récentes ont mis au jour des vestiges de la période du bronze. Des textes datant du Moyen Âge mentionnent également une villa « Véniciès », qui, étymologiquement, aurait donné « Vénissieux ». Du IXe au XIe siècle, Vénissieux est rattachée au royaume de Bourgogne, puis passe sous le contrôle du Saint Empire romain. Après avoir été terre du Dauphiné et propriété des comtes de Savoie, Vénissieux et ses habitants ont définitivement intégré le royaume de France.

Le Château des Chandieu, situé sur le site de l’actuelle place Léon-Sublet, a été détruit à la fin du XVIIe siècle. La rue du château a repris l’ancien tracé du mur, ce qui explique sa forme circulaire autour de l’église Saint-Germain; c’est donc la plus ancienne rue de Vénissieux. Vénissieux deviendra plus tard la capitale du canton, se détachant de Bron. En 1790, la ville était située en Isère et comptait 2100 habitants.

Révolution française
Les PTT, au profit ou au détriment de la Dauphine, sont la règle du xvi e siècle et xvii e siècle à Venissieux. Le Dauphiné perd Vénissieux en 1545, la récupère en 1605 et, enfin, la vend à un certain M.Dugue, trésorier de France au Bureau de Lyon en 1649.

En 1560, le célèbre peintre royal de portrait franco-hollandais du xvi e siècle, Corneille de Lyon, achète une modeste maison en brique et un terrain attenant dans la rue actuelle du Château, elle deviendra sa bastide.

Tout au long du xvii e siècle, le territoire du Moulin, devient une zone franche du fait d’une décision de Louis XIV d’intégrer le faubourg de la Guillotière à la province Lyonnais. La frontière avec la province du Dauphiné est ainsi déplacée vers le Moulin à Vent. En quelques années, de nombreux paysans, artisans, mais aussi cabarets à la réputation parfois sulfureuse, se sont installés dans le quartier pour profiter d’une justice et d’une réglementation plus souples qu’à Lyon.

Vénissieux devient la capitale du canton en se détachant de Bron. Et en 1790, la commune se retrouve dans l’Isère et compte à peine 2 100 habitants.

Le château de Chandieu, situé au sud de l’actuelle place Léon Sublet, est détruit à la fin du xvii e siècle, cinq siècles après sa construction.

19ème siècle
L’Isère cède, par arrêté du 2 mars 1852, Vénissieux, Bron, Vaulx-en-Velin et Villeurbanne dans le département du Rhône. Aujourd’hui, le canton de Venise est unicellulaire.

En février 1874, la Mairie de Lyon annonce son intention d’annexer une grande partie de la ville de Vénissieux: les secteurs de Parilly, Moulin à Vent et le quartier de Saint-Fons (qui n’était pas encore détaché de Vénissieux) sont visés. Villeurbanne et Caluire sont également dans la mire du maire de Lyon de l’époque, Victor Augagneur. Le principal commanditaire de l’agrandissement de Lyon a dû lui faire face, les nombreuses réunions publiques, le député socialiste de la circonscription, François de Pressensé, ainsi que le conseil municipal de Vénissieux. Les trois parties prenantes rejettent à l’unanimité ce projet. Cependant, en 1905, la Chambre des députés vote en faveur d’une annexion, mais Victor Augagneur devient gouverneur de l’Afrique équatoriale française et se désintéresse de la banlieue lyonnaise.

A la fin du 19ème siècle, le hameau de Saint-Fons atteint le même niveau de population que la commune de Venissieux. A partir de 1885, le hameau industriel de 2 197 habitants et le centre agricole et commercial de 2 283 habitants n’ont plus les mêmes besoins ni les mêmes ambitions de développement. Des débats animés ont opposé les partisans de la séparation à ceux du maintien de l’unité communautaire. C’est le 21 mars 1888 que le Sénat adopte un projet de loi déposé à la Chambre des députés en juin 1887, faisant de Saint-Fons une municipalité indépendante.

Les derniers vestiges de la plus ancienne bâtisse de la ville, le château de Chandieu, ne voient pas la fin du xix e siècle. Le dernier mur est en effet détruit pour construire le presbytère de l’église, puis un lotissement de maisons, dont la maison commune; et enfin la nouvelle mairie. Ainsi, la rue du Château, qui a repris l’ancien tracé de la muraille, termine sa boucle en proposant un deuxième débouché sur la place Léon Sublet. Vue d’en haut, la boucle encercle l’église Saint-Germain. C’est la plus ancienne rue de Vénissieux.

Inauguré en janvier 1882 par Napoléon Sublet, en un temps record, le nouvel hôtel de ville jouxte l’église, avec ses 23 mètres de long, 4 niveaux et pas moins de 20 fenêtres sur sa façade principale. Lors de son inauguration, c’était la plus grande mairie de toute la banlieue lyonnaise. Il comprenait l’école des filles avec ses deux salles pouvant accueillir une centaine d’élèves, les locaux de la mairie et une bibliothèque.

20ième siècle
De 1915 à 1917, sur les 400 hectares proches de la voie ferrée, un vaste chantier ouvrira et bientôt les 23 hectares de bâtiments des usines de Berliet s’élèveront. D’ici 1918, l’usine de Vénissieux sera un tiers plus grande que celle de son modèle américain Ford à Détroit. Les véhicules sont entièrement produits dans ces usines. L’usine de Vénissieux, où les véhicules sont montés sur un tapis roulant, n’a pas son pareil en Europe 4. En 1918, pendant la Première Guerre mondiale, trois bâtiments obus ont explosé 5 détruisant une bonne partie de la ville (dont les vitraux médiévaux de l’église Saint-Germain).

La guerre de 1914-1918 a donné le signal d’une industrialisation à grande échelle de la rive gauche du Rhône. Vénissieux sera le théâtre d’une transformation spectaculaire. La guerre provoqua une forte concentration de main-d’œuvre et d’outils et la population de Vénissieux s’agrandit, avec l’arrivée de migrants appelés à travailler dans les usines. La création d’industries apporte de nouvelles ressources et crée des emplois.

En 1921, il y avait 8 050 Vénissiens. En dix ans, la population a presque doublé. Vénissieux et Saint-Fons forment déjà la plus grande concentration industrielle de toute la région lyonnaise. Autour des grandes usines s’élèveront alors les premières villes ouvrières. La commune se développe autour de 3 axes: Bourg, Parilly et Moulin à Vent.

Cette période marque également le renouveau de la vie associative. En décembre 1927, la commune acquiert sa première œuvre d’art: du peintre vénitien Daugmann. Le 3 juin 1934, la Maison du Peuple est inaugurée. La concentration d’usines et de logements sur un même territoire et le partage des mêmes activités favorisent la cohésion sociale de cette population active. L’usine Berliet donnera le coup d’envoi des grandes grèves du printemps 1936 dans la région lyonnaise.

Pour répondre à la crise du logement, et à l’accueil des personnes issues du regroupement familial, la décision a été prise de construire les grands complexes des Minguettes à partir des années 1960. Ces bars et tours offrent un confort inégalé à l’époque avec ses hébergements spacieux et lumineux, équipés de sanitaires modernes. Rapidement, les services publics et les commerces s’installent au pied des immeubles.

À Vénissieux, 1 200 maisons ont été détruites pendant la Seconde Guerre mondiale. Louis Dupic, élu maire le 19 octobre 1944, lance un plan d’extension qui prévoit un développement majeur de la ville afin de trouver des solutions à la crise du logement. De 1944 à 1947, la municipalité a fait un grand effort pour fournir des services, ouvrir des routes et créer les conditions de construction sur de grandes surfaces. En 1948, Vénissieux ville martyre, reçue par Max Lejeune, secrétaire d’État aux Armées, la Croix de Guerre à l’étoile d’argent « Une commune courageuse qui apporte une aide efficace à la Résistance ».

En 1962, Marcel Houël est élu maire de Vénissieux. La ville change et va rapidement monter au rang de troisième ville du département du Rhône. Sur 220 hectares, le chantier de construction de la ZUP des Minguettes ouvre en 1963. Le 1er janvier 1969, la commune de Vénissieux est incluse dans la communauté urbaine de Lyon, Courly. En 1973, la plupart des bâtiments ont été construits.

En 1987, le métro arrive à Vénissieux. Dans les années 90, Vénissieux s’est fait un nom grâce à son équipe masculine de handball toujours active, devenue championne de France de 1ère division, remportant la Coupe de France et de nombreux succès sur la scène européenne.

21ème siècle
Les années 2000 sont marquées par l’arrivée du tramway, qui relie le plateau des Minguettes au reste de la ville et à la région lyonnaise. En novembre 2019, la ligne de tram reliait le quartier du Moulin à Vent aux hôpitaux de Gerland, Mermoz et Est.

Héritage historique
La place Léon Sublet est le cœur de l’identité historique de Vénissieux, car elle est située sur le site de l’ancien château de Chandieu. Imaginée sous le mandat d’Antoine Givord, le 17 février 1801, puis construite par Blaise Sublet, cette place a changé plusieurs fois de nom au cours de son histoire: place de Vénissieux jusqu’à l’avènement de la mairie, où elle se situe. rebaptisée place de la mairie. Elle porte aujourd’hui le nom de Léon Sublet, maire de Vénissieux de 1879 à 1895 et constructeur de l’imposante mairie qui dominait la place éponyme. Le nom de Léon Sublet est en fait un diminutif républicain de son vrai prénom, Napoléon Sublet. Cette place a été le témoin d’événements majeurs de la ville, comme la libération en 1944 ou l’élection du premier maire communiste de la ville, Ennemond Romand. La partie ouest de la place,
L’ancienne mairie est le principal monument civil de Vénissieux. Il a été construit sur les fondations de l’hôtel de ville (xviii e siècle) Napoléon Sublet. Ce monument aux allures de belle demeure est aujourd’hui devenu le musée municipal de la Résistance et de la Déportation.
La rue du Château, la plus ancienne rue de la ville, a été construite à la place de l’ancien rempart du château, d’où son nom. Au xvi e siècle, cette rue abritait un portrait royal de la célèbre maison de campagne peintre franco-hollandaise, Corneille de Lyon.
Les fortifications de Vénissieux, incluses dans l’enceinte de sécurité qui s’étendait de Villeurbanne-Cusset à Saint-Fons, ont été construites après la défaite de la France contre la Prusse en 1870. Quelques vestiges de la batterie de Parilly, ainsi que sur le versant nord des Minguettes plateau.
Le groupe scolaire Louis-Pasteur du quartier Charréard, construit par Emile Auguste Chollat, disciple de Tony Garnier, est inscrit aux Monuments Historiques comme «bâtiment remarquable d’après-guerre». Il ressemble à un palais séculier avec une façade imposante.
Le groupe scolaire de Parilly a une façade particulière avec l’inscription d’une vieille devise républicaine: « Travail, Paix, Humanité ». A ses pieds se trouve la place Pernet-Ducher, qui rend hommage aux rosiers qui avaient fait la réputation du quartier au début du XXe siècle.
Le groupe scolaire du Centre situé sur la colline du Centre est la première école publique de Vénissieux. Il a été construit en 1911 et a longtemps dominé les contours du vieux village.
La Maison du Peuple a été inaugurée en 1934, au cœur des anciens quartiers industriels et ouvriers de Vénissieux. «Centre de résistance, de revendications et d’actions ouvrières. Un lieu de réflexion, de création et de fraternité face à la dureté des combats », a déclaré André Gerin, ancien maire de Vénissieux. Il abrite aujourd’hui le centre syndical, le théâtre municipal et une salle d’exposition d’art plastique.
L’ancien hôtel particulier de Sandier (famille notable vénissiane du XIX ème siècle) également appelé « le château » par Vénissieux a été détruit. Le vestige qui subsiste est l’ensemble boisé de l’actuel parc Louis Dupic, avec un bassin drainé au centre et son petit pont en bois, trace de l’ancien étang de la résidence.
Le Monument à la Résistance et à la Déportation, aujourd’hui monument aux morts, a été sculpté par Louis Muller, un célèbre sculpteur et graveur français. On lui doit la création des timbres Marianne des années 50 et 60, des bas-reliefs du théâtre du Palais de Chaillot à Paris et de nombreuses épées d’universitaires, dont celle d’Édouard Herriot, ancien maire de Lyon et figure éminente de la III République. Anciennement situé au centre de la place Léon Sublet, il a été déplacé au parc Louis Dupic, suite à la rénovation de la place.
Le monument Laurent Gérin situé sur la place éponyme contient une statue de cet ancien maire bienfaiteur, qui a légué sa fortune à la ville après sa mort. Le vieux buste en bronze dessiné par Louis Muller a été volé par les Allemands pendant l’occupation. Aujourd’hui le buste est en calcaire.
Avec la présence sur son territoire des usines Renault Trucks (anciennes usines Berliet), la ville est l’un des berceaux de l’automobile française.
Le Camp de Vénissieux, au 25-27 avenue de la République, est un ancien camp d’internement pour juifs apatrides, puis prisonniers allemands pendant la Seconde Guerre mondiale.

Lieux et édifices religieux
L’église Saint-Germain a un aspect rappelant une église récente, tandis que son origine attestée remonte à la période carolingienne (xi e siècle). Anciennement situé au centre du château de Chandieu, c’est le plus ancien édifice de la ville par la chapelle de la Vierge et le clocher du xv e siècle. Le clocher qui repose sur les anciennes fondations du donjon de l’ancien château, abrite à son sommet, une charpente de vieux chênes soutenant trois cloches dont l’une est remarquable en bronze, pesant 800 kilos et datée vers 1550. La datation était confirmé par un certain M. Lemoine, maître carilloneur de la mairie de Lyon en 1995, à la surprise générale des Vénissiens. De ce fait, il est considéré comme l’un des plus anciens de la métropole lyonnaise et du département du Rhône. L’église abrite également un crucifix en bois sculpté du XVIIIème siècle et un tableau de Saint-Germain l’Auxerrois, patron de cette église. Ce tableau du xvii e siècle et son cadre doré du xvii e siècle, font de ce tableau inscrit à l’inventaire des monuments historiques, le joyau de la ville. Quant aux anciens vitraux de l’époque médiévale, ils ont malheureusement été brisés lors de l’explosion des usines de munitions de l’Arsenal le 15 octobre 1918. Dernière particularité: l’église Saint-Germain est la seule église de la région à avoir un nef perpendiculaire à l’ancienne nef. Cela a été ajouté en 1920 suite à la croissance démographique du village. Ce tableau du xviiième siècle et son cadre doré du xviiième siècle, font de ce tableau inscrit à l’inventaire des monuments historiques, le joyau de la ville. Quant aux anciens vitraux de l’époque médiévale, ils ont malheureusement été brisés lors de l’explosion des usines de munitions de l’Arsenal le 15 octobre 1918. Dernière particularité: l’église Saint-Germain est la seule église de la région à avoir un nef perpendiculaire à l’ancienne nef. Cela a été ajouté en 1920 suite à la croissance démographique du village. Ce tableau du xvii e siècle et son cadre doré du xvii e siècle, font de ce tableau inscrit à l’inventaire des monuments historiques, le joyau de la ville. Quant aux anciens vitraux de l’époque médiévale, ils ont malheureusement été brisés lors de l’explosion des usines de munitions de l’Arsenal le 15 octobre 1918. Dernière particularité: l’église Saint-Germain est la seule église de la région à avoir un nef perpendiculaire à l’ancienne nef. Cela a été ajouté en 1920 suite à la croissance démographique du village. L’église Saint-Germain est la seule église de la région à avoir une nef perpendiculaire à l’ancienne nef. Cela a été ajouté en 1920 suite à la croissance démographique du village. l’église Saint-Germain est la seule église de la région à avoir une nef perpendiculaire à l’ancienne nef. Cela a été ajouté en 1920 suite à la croissance démographique du village.
L’église Sainte-Jeanne-d’Arc de Parilly, construite par des immigrants espagnols et italiens de l’usine Berliet en 1933, est remarquable pour ses vitraux classés aux monuments historiques. Théodore Hanssen, qui y a laissé sa marque, est surtout connu pour avoir conçu les vitraux du Sacré-Coeur à Paris.
L’église de l’Immaculée Conception (ou église du moulin ou des sauterelles), a été érigée en 1907. Elle comprend un autel et des objets liturgiques inscrits à l’inventaire supplémentaire des monuments historiques.
Les deux cimetières de Vénissieux sont également une curiosité. En particulier l’ancien cimetière situé sur la colline du Centre qui est imprégné d’histoire locale, avec les célèbres tombes de rosiers, mais aussi celles d’anciens maires et personnalités de la commune.
La mosquée Eyüb Sultan, inaugurée en 2013 dans le quartier de Parilly, possède un intérieur remarquable, par le choix des matériaux, la finesse des sculptures et de la calligraphie, surmonté d’un dôme de seize mètres de diamètre.

Espaces verts
En 2015, grâce à ses boulevards arborés et fleuris, la voie verte tracée par le tramway T4 et son engagement contre l’utilisation de pesticides dans ses espaces verts, la commune de Vénissieux a bénéficié du label «ville fleurie» aux 4 fleurs, la niveau le plus élevé possible au concours des villes et villages fleuris. Parmi les nombreux parcs, on trouve:

Parc Louis Dupic: situé derrière la mairie, ce terrain est la relique d’un parc qui entourait l’ancienne grande maison bourgeoise des Sandier (aujourd’hui détruite). Composé de 194 arbres de 53 espèces différentes, dont certains sont presque centenaires et largement méconnus du grand public, il vaut le détour pour sa richesse botanique. Chaque été, c’est le théâtre du festival Fêtes Escales.
Le parc de Parilly est le deuxième en termes de superficie de la métropole lyonnaise avec près de 178 hectares. Il comprend près de 18 000 arbres, dont les plus anciens ont été plantés il y a une soixantaine d’années. Le parc dispose également d’une zone sportive avec de nombreuses installations sportives. En 1937, le conseil départemental voulut en faire « le plus beau parc de France », un concours fut lancé et remporté par Pierre Bellemain, un an avant la Seconde Guerre mondiale. Ce projet comprenait un lac et un canal, mais il fut définitivement arrêté par l’arrivée de la guerre.
Le parc des Minguettes est situé sur le contrefort ouest des Minguettes, près de 15 hectares abrite 15 espèces d’arbres différentes.
Le plateau agricole des Grandes Terres est situé à l’extrême sud de la ville, il offre notamment une boucle de 10,5 km pour le VTT.