À Paris, Vincent peint des portraits d’amis et de connaissances, des natures mortes, des vues du Moulin de la Galette, des scènes à Montmartre, Asnières et le long de la Seine. En 1885, à Anvers, il s’était intéressé aux estampes japonaises en bois d’ukiyo-e et les avait utilisées pour décorer…