La Londe-les-Maures, Côte d’Azur

La Londe-les-Maures est une ville du département du Var en France. Il est situé sur la Côte d’Azur dans le port de Hyères. Chic et résidentielle, la ville est connue pour ses plages, son golf et son port, qui compte parmi les plus importants en termes de capacité d’hébergement du Var.

Le territoire de la commune s’étend sur 7 826 hectares au pied du massif des Maures. Environ 75% de cet espace est constitué de forêt, 22% est consacré à l’agriculture (dont 1 170 hectares de vignes) et 3% est occupé par l’habitat. La ville possède un port de plaisance, « Miramar », qui compte parmi les plus importants en termes d’hébergement dans le Var avec plus de 1 000 places ou sur ponton. Situé en face des Golden Islands, c’est le point de départ fréquent des touristes qui effectuent la traversée.

L’histoire
La première occupation humaine du territoire semble remonter à 2500 avant JC. J.-C. comme en témoigne le dolmen de Gaoutabry, découvert en 1876 par le baron Gustave Charles Ferdinand de Bonstetten et situé au nord de la ville. Selon les fouilles effectuées sur le site, elle daterait de la fin du néolithique. De nombreux fragments de poterie et d’outils en pierre taillée trouvés sur le site attestent de la présence humaine bien qu’aucun vestige de logement n’ait encore été découvert. En 1988, le site du dolmen a été classé monument historique.

Au cours des siècles qui ont suivi, le site a probablement été occupé par d’autres peuples: Liguriens, Bormani, Phocéens, etc., mais il y a peu de traces physiques qui permettraient d’attester avec certitude ces mouvements de population.

Moyen Âge
A partir du xi ème siècle le territoire de la commune est désigné comme la Bormette. Plusieurs moines de Saint-Victor de Marseille, puis des Chartreux de Montrieux et surtout de La Verne acquièrent d’importantes propriétés par donation. Ils ont construit les premiers châteaux à vocation agricole comme les Bormettes (construits sur le pic Saint-Martin xiii) et celui de Bastidon construit entre les xvi e et xviii e siècles.

Les temps modernes
En 1678, Antoine Lemonnier, sieur de la Londe, originaire de Normandie, acquiert de grandes parcelles de terrain sur le territoire actuel de la commune et fait construire une maison appelée Château de La Londe, qui transmettra son nom au futur village. Curieusement, le terme Londe convient très bien à ce village entouré de forêts, londe signifiant « forêt, bois » dans l’ancien dialecte normand. En 1788, le hameau naissant acquiert le statut de paroisse tout en restant dépendant de la ville de Hyères. En 1791, le village comptait 132 habitants et figurait au cadastre comme quartier d’Hyères.

Époque contemporaine
Après la Révolution, les Chartreux sont complètement dépossédés de leurs biens. Progressivement, une nouvelle bourgeoisie arrive et s’installe sur le site au cours du XIXe siècle. Les nouveaux venus construisent de nombreuses résidences (comme le château de La Pascalette, construit en 1889 par Victor Roux.), Achètent des champs agricoles et les agrandissent. L’un de ces aristocrates, Horace Vernet (1789-1863), peintre officiel de Louis-Philippe, achète le domaine situé au lieu-dit Les Bormettes en 1855 et fait construire un château d’inspiration classique et mauresque. Grâce aux dons de terres de certaines familles bourgeoises, le village s’agrandit. L’église a été construite en 1847 et une école municipale a été créée en 1884 sur la place Allègre.

Ville minière
Vers 1875, Victor Roux, riche financier marseillais et nouveau propriétaire du domaine des Bormettes, redécouvre et développe la mine d’Argentière, abandonnée depuis des siècles. En 1881, il fonde la Société des Mines des Bormettes et relance l’exploitation de la mine riche en zinc en 1885. À partir de 1890, d’autres filons, plomb et zinc, sont découverts sur le territoire. La prospérité de ces mines nécessite alors la création d’un chemin de fer en 1899 pour le transport des mineurs et le transport du minerai jusqu’à Argentière où il est expédié par voie maritime. La prospérité de la mine dynamise l’ensemble de l’économie de la région. Dans le village, un bureau de poste et un télégraphe sont créés, ainsi que des écoles et une gendarmerie.

A partir de 1890, le village s’ouvre à l’extérieur avec la mise en service de la voie ferrée côtière qui fait le trajet Toulon – Saint-Raphaël. En 1897, une fonderie de plomb est construite. Le plus long tunnel de cheminée d’Europe est construit sur près d’un kilomètre de colline. Cependant, la fonderie est un échec économique, peu fonctionnelle et peu adaptée au minerai extrait. Il se ferme donc rapidement.

En 1901, le chemin de fer minier était lié à celui de la côte qui traversait le village. La Londe a alors demandé à être détachée de la ville de Hyères. Enfin, le 11 janvier 1901, le statut de municipalité lui est accordé. La commune prend alors le nom officiel de « La Londe-les-Maures ». Le mot « Maures » du latin mauros qui signifie brun foncé, évoquant la couleur du massif du même nom.

Alors que le village continuait de s’étendre, à partir de 1901, les opérations minières ont diminué. L’épuisement de la veine d’Argentière et la baisse des prix des métaux à partir de 1904 vont générer une baisse de productivité jusqu’à l’abandon de l’exploitation minière qui cesse définitivement toute activité en 1929.

De 1945 à 2000
Après le mandat d’André Barbier, de 1946 à 1947, le nouveau maire, le comte François de Leusse (le collège de La Londe porte son nom) est resté en affaires pendant 24 ans, jusqu’en 1971. Après cette date, c’était le neveu du baron, Philippe de La Lombardière de Canson qui est devenu maire, pour une période de 24 ans, comme son prédécesseur. En 1995, la liste syndicale de gauche menée par René Benedetto a prévalu, finalement battue après deux mandats, en 2008 par celle de l’UMP de François de Canson. Aux élections municipales de mars 2014, François de Canson a été élu au 1er tour (23 mars) avec 85% des voix.

Dans le cadre de la fin de la guerre d’Algérie, un hameau forestier y a été installé en 1962, destiné aux anciens harkis et à leurs familles.

21ème siècle
Le 8 avril 2012, à l’initiative de l’ACAL (association des commerçants et artisans de Londres, la ville de La Londe-les-Maures a adopté sa propre monnaie locale, la Cigalonde, qui fonctionne au même titre que l’euro. Triple défi pour la Cigalonde: – renforcer l’identité locale – pérenniser le petit commerce et fidéliser la clientèle – jouer un rôle social au niveau communal (CCAS, associations caritatives …).

La municipalité a subi de fortes inondations en novembre 2014, donnant lieu à la reconnaissance par l’État du caractère de calamité agricole.

En 2017, la végétation de la ville a subi d’importantes destructions par le feu. Fin juillet et début septembre, plus de 800 et 460 hectares respectivement ont été détruits par des vents violents.

Lieux et monuments
L’attraction principale de La Londe reste le tourisme d’été. Le nombre et l’étendue des plages de la commune ainsi que sa situation privilégiée, favorisée par un microclimat, en font une station balnéaire qui offre près de 300 jours de soleil par an.

Les Bormettes: construit par le propriétaire de l’usine des Bormettes pour ses salariés, ce quartier est un village à part entière, regroupé autour de la place Belot, typiquement provençale, où se situe également le théâtre des Bormettes, non loin du port. et donc des plages.
Le dolmen de Gaoutabry: superbe monument mégalithique perché au milieu d’une colline des Maures, dominant un panorama sur les îles d’Or.
Plages: le long de la côte de la ville, il y a quatre plages totalisant près de 3 km de sable naturel: Miramar, Tamaris, L’Argentière (labellisée «Pavillon bleu de l’Europe») et Pellegrin.
Le sentier sous-marin d’Argentière: c’est une réserve naturelle protégée située à la pointe d’Argentière, abritant une flore et une faune uniques, grâce aux prairies de Posidonie, également entièrement accessibles au public.
Le musée de l’école publique: il reconstitue une classe d’école en 1903, avec accessoires, ateliers, jeux …
Les îles d’or: Port-Cros, Porquerolles et l’île du Levant sont situés juste en face de la baie où se trouve La Londe-les-Maures, d’où une connexion facile avec eux. Le fort Brégançon est également très proche.
La Promenade des Annamites: c’est un ancien chemin de fer métrique (1912) reliant la gare de La Londe à l’usine Schneider installée en 1907 aux Bormettes pour tester les premières torpilles automobiles. Une île de lancement artificielle a été installée en 1908 au large de la Pointe de Léoube pour tester ces prototypes. La promenade s’appelle Annamite, c’est-à-dire les ouvriers indochinois qui l’ont construite. Aujourd’hui, c’est un chemin réservé aux piétons et aux vélos d’environ 2,5 km, du centre ville à la plage.

Place André Allègre
Au cœur de la ville, ombragée par de nombreux platanes, la place, au carrefour des principales artères de la ville, est bordée de bâtiments anciens, comme la maison des associations (ancienne mairie) et de grands bâtiments provençaux.

Elle est bordée à l’ouest par l’axe formé par la rue Joseph-Laure et la rue Maréchal-Foch, à l’est par la rue Aristide-Perrin, au nord par la rue Dixmude et enfin au sud par le boulevard Azan. La place est formée d’un premier haut plateau, en face de la maison de l’association, relié par des escaliers à un deuxième niveau, lui-même entretenu, relié à la rue Joseph-Laure par une nouvelle série d’escaliers.

Le premier niveau s’articule autour de la fontaine sur la place, puis concentriquement, des bancs et de grandes jardinières sont disposés, rendant l’endroit particulièrement agréable. Le deuxième niveau est une vaste esplanade avec un motif en damier bordé de platanes. Côté sud, des bancs et jardinières sont également aménagés.

Chartreuse de la Verne
A quelques kilomètres de Collobrières au coeur du Massif des Maures vous pourrez découvrir le Monastère de La Verne. Au milieu de ce cadre verdoyant, vous apercevrez facilement cet ancien prieuré classé monument historique en janvier 1921. Depuis 1983, le monastère abrite une communauté de moniales de Bethléem, l’Assomption de la Vierge et St-Bruno qui ouvrent leurs portes les portes de cette chartreuse toute l’année. Construite à l’emplacement d’un ancien prieuré abandonné qui portait déjà le nom de Notre Dame de la Verne, la Chartreuse a été fondée en 1170 à l’initiative de Pierre Isnard, évêque de Toulon et de Frédol d’Anduse, évêque de Fréjus.

A l’époque des Chartreux, la ligne de division des diocèses passait au milieu de l’église et du cloître, c’est-à-dire la direction Nord-Sud. Pour certains, l’église romane a été construite sur un temple païen dédié à la déesse Laverna, protectrice des voleurs à qui l’épaisse forêt des Maures offrait un havre de paix, Verna désigne également en latin esclave.Ce mot a été utilisé pour désigner les descendants de sarrasin de Fraxinet (La Garde Freinet). Enfin, nous pensons également à l’utilisation du vernium qui désigne l’aulne. En effet, les aulnes sont fréquents sur les rives de la rivière qui coule au fond de la vallée. La première église romane a été consacrée le 3 octobre 1174. Elle a été détruite par le feu et reconstruite. Grâce à de nombreux dons ou achats, la Chartreuse de la Verne est rapidement devenue propriétaire d’un territoire de plus de trois mille hectares (forêts, pâturages, terres cultivables et salines). La chartreuse a été incendiée en 1214, 1271 et 1318. Un incendie a détruit tous les bâtiments à l’exception de l’église romane.

Chaque fois, il renaît de ses cendres. De plus, le couvent subit les agressions de nombreux pillards, parfois seigneurs alentour, mais aussi sarrasins et en 1577, lors des guerres de religion. C’est probablement après cette dernière invasion que la voûte de l’église romane s’est effondrée. D’autres affirment que cet effondrement a eu lieu entre 1707 et 1715 suite aux attaques de l’armée du duc de Savoie contre les troupes de Louis XIV, lors du siège de Toulon. Dans le rapport de recherche de la Chartreuse établi par les officiers municipaux de Collobrières le 7 juin 1790, il est précisé: « l’ancienne église ayant été détruite pendant plus de 200 ans, que ce soit la reconstruction ou la poursuite du programme de construction, la Les chartreux à peine « oisifs »: les dates de 1736 sur la porte d’accès aux habitations situées à l’ouest de la voûte d’entrée,

Mais en 1790, la Révolution conduit à la séquestration de tous les biens de la Chartreuse, puis en 1792, après le départ du dernier Chartreux, contraint de fuir, la vente de bâtiments et de terrains en tant que propriété nationale. Le dernier prieur Dom Raphaël Paris a pu se réfugier à Bologne en Italie. En quittant la Chartreuse, les Chartreux avaient pu gagner la plage de Saint Clair près du Lavandou et de là par un bateau de pêche pour rejoindre Nice, où l’évêque de Nice a mis à leur disposition une aile de son évêché. L’histoire religieuse de la Chartreuse de Verne, placée sous le vocable de la vierge «Notre Dame de Clémence», avait duré un peu plus de six siècles. Il a fallu alors entamer une longue période durant laquelle la nature investirait les lieux et endommagerait profondément les bâtiments avec parfois, la concurrence de promeneurs sans scrupules. Par décret du 18 janvier 1921, la Chartreuse a été classée monument historique « vestiges de la forêt » à l’exception des bâtiments de ferme et de la cour d’honneur qu’ils entourent. Le 1er mars 1961, les Eaux et Forêts sont affectées, au nom des domaines, et y installent un gardien.

Rien ne semblait pouvoir sauver la Chartreuse d’une certaine disparition, lorsqu’en 1968, à l’instigation de Mme Annette Englebert et de son amie Annick Lemoine, une association dénommée « Les amis de la Verne », est née et décide de s’attaquer la rénovation du site. L’équipe dynamique qui s’est alors constituée, réalisée entre 1969 et 1982 avec ses moyens limités mais avec beaucoup d’énergie et de désir, des travaux très importants qui ont progressivement fait sortir la Chartreuse de l’oubli de l’histoire. C’est en 1982 que La Verne retrouve sa vocation d’origine en accueillant des moines puis, à partir de 1986, des religieuses de la famille monastique de Bethléem, l’Assomption de la Vierge et de Saint Bruno. Des travaux de rénovation beaucoup plus importants commencent tous les bâtiments qui verront notamment renaître l’église romane et le grand cloître.

Le monastère est construit sur un promontoire rocheux. La construction de ces hauts remparts était nécessaire à l’aménagement des bâtiments et a permis de limiter les intrusions extérieures. La porte monumentale est en pierre serpentine, marbre volcanique du Massif des Maures.

Au XVIIe siècle, tout le monastère était décoré de cette pierre extraite d’une carrière à La Môle, un village près de Cogolin.

Villages
Pour ouvrir le grand livre du passé: ses blanchisseries ancestrales, ses ruelles sinueuses bordées de maisons anciennes des XVIe et XVIIe siècles, tout ici rime avec patrimoine.Pierrefeu du Var est une invitation à la balade, de lieu en lieu à la recherche de la fraîcheur de ses fontaines. Ce village affiche également fièrement son terroir, son marché bio et sa nuit de rosé. Suite au village de Collobrières, sa Chartreuse de la Verne construite en 1170 incarne le Massif des Maures. De plus, ici l’authenticité a un nom: la fête de la châtaigne qui attire chaque année un large public. Plus loin à l’extérieur, les sentiers de randonnée bifurquent et deviennent une offre pour tous les publics.

Village de Cuers
Entre vignobles et collines, c’est le charme d’un des plus anciens villages provençaux. Le Vieux Cuers a façonné son histoire pour vous offrir un cadeau: ruelles médiévales et tortueuses bordées de belles maisons des siècles passés. Ils se révèlent peu à peu pour enfin gravir la colline … Autre empreinte du passé, la commune possède de multiples fontaines et lavoirs. Il offre également une vue magnifique depuis la chapelle Notre Dame de Santé, à partir de sentiers de randonnée.

Village de Collobrières
Niché dans une courbe de sa rivière, le « Réal Collobrier », Collobrières est un village de caractère. Elle a conservé son patrimoine architectural et son authenticité: rues pavées, édifices religieux, monuments historiques, fontaines … Vous pourrez profiter de son histoire d’Orient et des itinéraires touristiques du massif des Maures. Ils serpentent sous les châtaigniers et les chênes-lièges. Un autre itinéraire s’offre à vous: par l’Ouest et sa chaussée au fond de la vallée le long de la rivière bordée de vignes.

Pierrefeu du Var
Aux portes du Massif des Maures, adossé à un éperon rocheux, ce pittoresque village provençal a élu domicile. Vieilles rues étroites au hasard, les rives vertes de Réal Martin jouent avec la lumière. De plus, ses vignobles ont coloré la plaine. La particularité de son terroir et la générosité des hommes qui le travaillent produisent des vins remarquables. Ils sont reconnus par l’appellation « Pierrefeu » au sein des AOC Côtes de Provence. Les Maures sont un magnifique cadre naturel. Il est logique que de nombreuses randonnées vous invitent à découvrir ce paysage exceptionnel.

La Londe les Maures
Nichée entre ses collines ornées de vignes, face aux îles de Porquerolles et Port-Cros, La Londe les Maures vous offre l’équilibre parfait entre terre et mer: randonnées le long de nos plages de sable fin ou dans les montagnes des Maures; goûter nos produits locaux de qualité; partager des moments de détente dans un environnement naturel préservé et authentique, cultiver le temps et l’art de vivre.

Marchés
L’accent donne du relief aux couleurs et senteurs de la Provence. Vous êtes au cœur de l’un de nos nombreux marchés méditerranéens, Portes de Maures. Rencontres de convivialité incontournables, artisans et producteurs partagent le fruit de leur travail. Une ambiance de jours heureux errant sur les étals de produits frais et de qualité. Un lieu idéal aussi pour des cadeaux souvenirs… et pour découvrir l’âme de nos villages.

Jardin zoologique tropical
Le jardin ornemental et botanique de La Londe, classé jardin remarquable, présente une collection d’animaux exotiques et de plantes rares sur six hectares. Au total, le jardin compte plus de 250 animaux répartis en 60 espèces d’Asie, d’Afrique et d’Amérique du Sud.

Domaines viticoles
Du paysage qui vous entoure au verre partagé, il fait corps avec chaque instant de bonheur. Plusieurs centaines d’hectares de vignobles vous entourent et vous emmènent dans un voyage où savoir-faire, authenticité et modernité se mêlent pour la magie du moment.

Plage de Pellegrin
La plage du Pellegrin, magnifique crique de sable fin bordée par les vignobles du terroir AOC Côte de Provence – La Londe, est accessible à pied depuis la plage d’Argentière. Avec son environnement naturel et préservé cette plage est un site exceptionnel pour tous les amoureux de la nature. La plage de Pellegrin est également accessible en voiture (parking payant) par la route côtière entre La Londe les Maures et Bormes les Mimosas.

Plage de Miramar
La plage de Miramar, grande plage de sable face à Porquerolles et Port-Cros, est le terrain de jeu idéal pour profiter de la Méditerranée en famille ou entre amis. Située à l’ouest de Port Miramar vers les Vieux Salins d’Hyères, la plage de Miramar présente de nombreux avantages. Grâce à sa zone de baignade peu profonde, les enfants peuvent continuer à s’amuser en jouant aux raquettes ou au ballon tout en restant dans l’eau. Pour les ados, plusieurs filets de volley-ball les attendent pour des matchs sans fin. La plage Miramar convient à tous avec un tapis accessible aux personnes à mobilité réduite.

Plage d’Argentière
Avec sa grande pinède, la plage d’Argentière est la plage idéale pour vos pique-niques en famille et vos siestes improvisées à l’ombre de grands pins parasols. Située à l’est de Port Miramar, la plage d’Argentière et son vaste banc de sable fin vous permettront de poser votre serviette et de planter votre parasol dans un cadre idyllique. Une plage familiale avec une zone de baignade peu profonde sur une grande distance pour que vous puissiez profiter de votre journée en famille en toute tranquillité. Accessible à tous grâce à son tapis de bain.

Les îles d’or
Trésors de la côte varoise, les 3 îles d’or, dans la rade de Hyères, sont les joyaux de cette partie de la côte. Chargés d’histoire et vestiges d’un riche passé, ils sont également des lieux de randonnées et de randonnées très agréables toute l’année.

Porquerolles, la plus grande, avec les plus belles plages, à découvrir à pied ou à vélo.
Port-Cros, parc national, paradis de la faune et de la flore sous-marines.
Ile du Levant, paradis naturiste.

Côte d’Azur
La Côte d’Azur est la côte méditerranéenne du coin sud-est de la France. Il n’y a pas de frontière officielle, mais elle est généralement considérée comme s’étendant de Cassis, Toulon ou Saint-Tropez à l’ouest jusqu’à Menton à la frontière France-Italie à l’est, où la Riviera italienne rejoint. La côte est entièrement dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur en France. La Principauté de Monaco est une semi-enclave de la région, entourée sur trois côtés par la France et faisant face à la Méditerranée. Riviera est un mot italien qui correspond à l’ancien territoire ligure, coincé entre le Var et le Magra.

Le climat de la Côte d’Azur est méditerranéen tempéré avec des influences montagnardes sur les parties nord des départements du Var et des Alpes-Maritimes. Il se caractérise par des étés secs et des hivers doux qui contribuent à réduire la probabilité de gel. La Côte d’Azur bénéficie d’un ensoleillement important en France métropolitaine 300 jours par an.

Cette côte a été l’une des premières stations balnéaires modernes. Il a commencé comme une station thermale d’hiver pour la classe supérieure britannique à la fin du XVIIIe siècle. Avec l’arrivée du chemin de fer au milieu du 19e siècle, il est devenu le terrain de jeu et le lieu de vacances des aristocrates britanniques, russes et autres, tels que la reine Victoria, le tsar Alexandre II et le roi Édouard VII, lorsqu’il était prince de Galles. En été, il a également accueilli de nombreux membres de la famille Rothschild. Dans la première moitié du 20e siècle, il était fréquenté par des artistes et des écrivains, dont Pablo Picasso, Henri Matisse, Francis Bacon, h Wharton, Somerset Maugham et Aldous Huxley, ainsi que par de riches Américains et Européens. Après la Seconde Guerre mondiale, il est devenu une destination touristique populaire et un site de congrès. De nombreuses célébrités, comme Elton John et Brigitte Bardot, ont des maisons dans la région.

La partie orientale (maralpine) de la Côte d’Azur a été largement transformée par le bétonnage de la côte lié au développement touristique des étrangers d’Europe du Nord et des Français. La partie varoise est mieux préservée de l’urbanisation à l’exception de l’agglomération de Fréjus-Saint-Raphaël affectée par la croissance démographique de la côte maralpin et de l’agglomération de Toulon qui a été marquée par l’étalement urbain de sa partie ouest et par une diffusion de zones industrielles et commerciales (Grand Var).