Jean-Honoré Fragonard

Jean-Honoré Fragonard Nicolas (né le 5 Avril, 1732 à Grasse et est mort le 22 Août, 1806 à Paris), est l’un des principaux peintre classique français et graveuse du XVIIIe siècle. Un peintre d’histoire, genre et paysages, il se spécialise assez rapidement dans le genre libertin et des scènes galantes, comme son célèbre tableau Le montre Verrou.

Jean-Honoré Fragonard était une manière qui Rococo fin peintre distingue par une remarquable facilité, l’exubérance et l’hédonisme. L’un des artistes les plus prolifiques actifs au cours des dernières décennies de l’Ancien Régime, Fragonard a produit plus de 550 peintures, dont seulement cinq sont datées. Parmi ses œuvres les plus populaires sont des peintures de genre de transport une atmosphère d’intimité et de l’érotisme voilé.

L’une des peintures les plus célèbres de Fragonard est le Swing, également connu sous le Happy Accidents du Swing, une peinture à l’huile dans la Wallace Collection à Londres. Il est considéré comme l’un des chefs-d’œuvre de l’époque rococo, et est le travail le plus connu de Fragonard. Le tableau dépeint un jeune homme caché dans les buissons, en observant une dame sur la balançoire être poussé par son conjoint, qui se tient en arrière-plan, caché dans l’ombre, comme il ne connaît pas l’affaire. Comme la dame se balance vers l’avant, le jeune homme obtient un aperçu sous sa robe.

Pendant un demi-siècle ou plus il était si complètement ignoré que 1873 volume d’histoire de l’art de Wilhelm Lübke omet la mention de son nom. Après révaluation a confirmé sa place parmi les maîtres de tous les temps de la peinture française. L’influence de la manipulation de Fragonard de couleur locale et expressive coup de pinceau, confiant sur les Impressionnistes (en particulier sa petite nièce, Berthe Morisot et Renoir) ne peut pas être surestimée. Les peintures de Fragonard, à côté de ceux de François Boucher, semblent résumer une époque.

Jean-Honoré est le fils de François Fragonard, gantier garçon et Françoise Petit. Après la mort, à dix mois, de son petit frère Joseph, il reste seul enfant. Il a quitté sa ville natale à l’âge de six ans à régler avec sa famille à Paris, où la majeure partie de sa carrière a eu lieu.

arrangements artistiques de Fragonard étaient au début et il était un notaire avec qui il est devenu un commis à l’âge de treize ans qui a remarqué ses dons artistiques. Après un certain temps avec Jean Siméon Chardin, il est entré dans l’atelier de François Boucher à l’âge de quatorze ans. Il est grâce à lui que le jeune Fragonard affirme ses dons et apprend à copier les maîtres. Boucher l’a présenté bientôt le prestigieux Grand Prix de Peinture de l’Académie royale qu’il a gagné en 1752 grâce à son Jéroboam de peinture sacrifier aux idoles. Une carrière dans la peinture de l’histoire lui semblait être tout tracé. Il est entré pendant trois ans à l’Ecole Royale des étudiants protégés, alors dirigé par le peintre Carle Van Loo. Fragonard a fait son Grand Tour et à gauche en 1756 pour l’Académie de France à Rome avec son ami Hubert Robert (un autre peintre qui a remporté le Prix de Rome) et l’architecte Victor Louis. Il y vécut jusqu’en Avril 1761 et a été influencé par le peintre Giambattista Tiepolo et le style baroque de Pierre de Cortone, mais il était épuisé par l’utilisation des grands maîtres dans un style académique. Jean-Claude Richard de Saint-Non est devenu, à ce moment-là, son protecteur et son principal sponsor. Il a ensuite quitté la Ville Eternelle pour la France pendant un long voyage achevé en Septembre à travers les villes de Florence, Bologne et Venise en particulier. Jean-Claude Richard de Saint-Non est devenu, à ce moment-là, son protecteur et son principal sponsor. Il a ensuite quitté la Ville Eternelle pour la France pendant un long voyage achevé en Septembre à travers les villes de Florence, Bologne et Venise en particulier. Jean-Claude Richard de Saint-Non est devenu, à ce moment-là, son protecteur et son principal sponsor. Il a ensuite quitté la Ville Eternelle pour la France pendant un long voyage achevé en Septembre à travers les villes de Florence, Bologne et Venise en particulier.

Il obtient un atelier au Louvre où il vit et est en charge de la décoration de la galerie d’Apollon. En 1765, sa peinture Corus et Calirhoé, commandé pour la fabrication de la pendaison des Gobelins des amours des dieux, l’a amené à l’Académie. Mais, désespérant d’atteindre le premier rang dans ce genre classique, il laisse le genre érotique, où ses toiles galantes obtenir le plus grand succès auprès de la Cour licencieuse de Louis XV. Il est vite devenu le peintre à la mode, peint des paysages et des portraits illusionnistes, puis peintures d’armoires. En 1769, il a épousé Marie-Anne Gérard (1745-1823), un peintre en miniature aussi de Grasse, soeur-frère de Marguerite Gérard. Cette même année, leur première fille Rosalie (1769-1788) est né.

En 1773, après un voyage en Flandre en été, fermier général Pierre-Jacques-Onésyme Bergeret de Grandcourt a offert d’être son guide pour un voyage en Italie, puis en Europe centrale, qui débutera en Octobre. Bergeret de Grandcourt était comte de Negrepelisse, et l’itinéraire du voyage sur le chemin passe par cette localité, où le petit groupe de voyageurs reste pendant quinze jours. Fragonard a tiré là-bas le château, propriété de Bergeret. Le voyage a pris fin en Septembre 1774 après les visites successives à Vienne, Prague, Dresde, Francfort et enfin Strasbourg.

En 1780, le couple a donné naissance à Fragonard un nouvel enfant Alexandre-Évariste Fragonard (1780-1850), qui est également devenu un artiste. Huit ans plus tard, à l’âge de seulement 19 ans, leur fille Rosalie est morte au château de Cassan dans la région parisienne. Pendant la Révolution, il est resté à Grasse (1790-1791) avec son cousin Alexandre Maubert (cette bastide est devenue la villa-musée Jean-Honoré Fragonard en 1977). Fragonard est devenu membre de la Commune des Arts en 1793. Par la suite, Fragonard a été nommé l’un des conservateurs du Louvre par l’Assemblée nationale à la suite de l’intervention de Jacques-Louis David.

En 1805, tous les artistes résidents, y compris Fragonard, ont été expulsés du Louvre par décret impérial, suite à la réorganisation du bâtiment en musée Napoléon. La disparition de l’aristocratie parrain (ruiné ou exilé) lui fait perdre sa grande fortune. Il a ensuite déménagé à son ami la maison de Veri au Palais Royal. L’année suivante, il est mort, apparemment vaincu par la congestion cérébrale dans sa nouvelle demeure dans les galeries du Palais-Royal, dans l’indifférence presque totale de ses contemporains. Les funérailles sont célébrées à l’église Saint-Roch. Il a été enterré dans le vieux cimetière de Montmartre, où sa tombe a disparu remplacé vers le milieu du XIXe siècle. Un cénotaphe de marbre a été placé sur le mur où sa tombe (division 19) était située.

Comme François Boucher, Fragonard est considéré comme le peintre de la frivolité et Rococo, bien qu’il ait peint dans beaucoup d’autres registres: grands paysages inspirés par les peintres hollandais, des peintures religieuses ou mythologiques, ou scène de bonheur familial en particulier.

Dans une ligne vertueuse, Fragonard a su montrer le tourbillon du monde par des gestes expressifs et gracieux ou draperie pleine de vigueur. Fragonard a été le dernier peintre d’une époque en déclin; ses scènes de genre furent bientôt rendus obsolètes par la dureté néo-classique de David, par la cruauté de la Révolution et de l’Empire.

Les scènes de genre de Fragonard sont facilement érudite, comme les heureux châtimens du escarpolette, le fantasme d’un commanditaire libidineux (M. de Saint-Julien, receveur général des biens du clergé) qui a donné les conseils de l’artiste sur la scène: « Je voudrais comme vous de peindre madame sur un clocher qui évêque déclencherait. Vous me placer de manière à être en mesure de voir les jambes de cette belle enfant, et encore mieux si vous souhaitez égayer votre image. »

Mais même ces scènes vraiment futiles peuvent être lues à un niveau différent, on peut souvent voir une anxiété, un sentiment de fin de partie, parfois (et il rappelle Watteau ou le roman Le point de demain Vivant Denon), ou il y a encore diffus menace: les couples dans l’intimité, les belles femmes qui sont dépouillées, endormie, tout ce petit monde de la grâce et de sympathie est observée par un peintre qui nous rappelle que les jeunes ne dure pas et que les moments de tendresse lascive sont éphémères et rares.

Fragonard avait notamment travaillé avec Hubert Robert (1733-1808), leur collaboration a fait l’objet d’une exposition à Rome à la Villa Médicis.