Visite guidée de la zone autour de la Place d’Italie, Paris, France

Le quartier Place d’Italie est le reflet d’un nouveau Paris jeune et accessible. Éclectique et bouillonnante de culture, elle dévoile de multiples facettes. Cosmopolite, résolument innovante et dynamique, mais aussi populaire. La Place d’Italie est comme un grand rond-point ou un carrefour à Paris, qui est devenu un important centre de circulation et d’affaires, mais qui possède un bel espace vert avec une fontaine au milieu et de nombreux restaurants à proximité.

La place d’Italie tire son nom de sa proximité avec l’avenue d’Italie qui, traditionnellement, était le point de départ de la route qui relie Paris à l’Italie, désormais appelée RN7 (Route nationale 7). La place d’Italie, où convergent les principaux quartiers de l’arrondissement (quartier des Gobelins, quartier asiatique, Butte aux Cailles, etc.), est le centre de circulation automobile et le carrefour de la plupart des lignes de métro et de bus de cette partie de Paris. C’est un point de passage majeur pour ceux qui quittent la ville pour la banlieue (et inversement) et pour ceux qui voyagent entre Montparnasse et la rive droite.

L’une des plus grandes concentrations d’activités commerciales parisiennes se situe dans le quartier de la place d’Italie. Le cœur de l’arrondissement est la place d’Italie. De forme circulaire, il est le point de rencontre des principales avenues et boulevards de l’arrondissement, ainsi que des lignes de métro. C’est là que se rencontrent les quartiers de l’arrondissement : Butte-aux-Cailles, Les Gobelins, quartier asiatique. Le quartier Paris Rive Gauche, en cours de construction le long de la Seine.

Autour de la zone de la Place d’Italie, il y a le Quartier Asiatique, contient de nombreux immeubles d’habitation de grande hauteur. Le quartier de la Place d’Italie accueille également la Bibliothèque François Mitterrand et le nouveau quartier d’affaires de Paris Rive Gauche. La culture parisienne de plus en plus riche a progressivement envahi les rues, comme les quartiers bourgeois et les jardins, et les graffitis et peintures murales éblouissants, rendent le quartier plein de sens à la vie parisienne.

Le quartier de la place d’Italie est avant tout un quartier résidentiel et d’affaires du sud-est de Paris, sur la rive gauche de la Seine. Le quartier Paris rive gauche, deuxième projet d’urbanisme d’envergure qui fera émerger un nouveau Paris progressivement. A l’ouest du PRG, le long de l’avenue de Tolbiac se trouve le premier de ces projets d’urbanisme, Les Olympiades, avec son esplanade surélevée et le dernier né des arrêts du Météore de Paris, Les Olympiades.

Le quartier de la place d’Italie regorge également de lieux historiques et cachés. Le long de l’ancienne route de la Bièvre, découvrez un Paris aux accents de village, au travers de ruelles pittoresques et d’anciennes usines. Dès le XIVe siècle, le quartier devient le centre de la manufacture parisienne grâce aux voies navigables de la Bièvre qui sillonnent alors le sud de la capitale. Flânez sur le parcours de la Bièvre, de la Manufacture des Gobelins à la Petite Alsace en passant par le quartier préservé de la Butte aux Cailles, empruntez les ruelles typiques tantôt fleuries, tantôt ornées de street art et profitez d’un moment chargé d’histoire.

La Butte aux Cailles est une campagne au cœur de la capitale, propice à la flânerie, sans doute l’un des coins les plus charmants de tout Paris. Son allure de village, ses petites maisons, ses rues pavées, ses bars animés, ses devantures colorées, son street-art… La communauté chinoise du quartier Place d’Italie est nombreuse. Restaurants, supermarchés exotiques, lanternes rouges… Pour plonger un peu plus dans la culture chinoise, chaque année un impressionnant défilé est organisé à l’occasion du Nouvel An chinois.

La charmante Cité Fleurie avec toutes les espèces de fleurs possibles et imaginables mais 29 jolis ateliers répartis sur 2000 m2 autour d’un superbe jardin central. Le quartier est un véritable musée à ciel ouvert du Street-art, véritable parcours curtural avec des fresques monumentales peintes sur des murs entiers sur de nombreux édifices.

C’est un lieu de vie nocturne avec les restaurants et cinémas de l’avenue des Gobelins. L’un des cinémas les plus importants de Paris et le plus grand écran 35 mm de la capitale, le Gaumont Grand Ecran Italie (aujourd’hui fermé), surplombait la place. On peut dire que tout le quartier de la Place d’Italie converge vers la Place d’Italie à l’exception du quartier Paris Rive Gauche, le long de la Seine.

Attractions principales
Le quartier Place d’Italie mélange des ambiances différentes au niveau de l’architecture des quartiers. Architecture moderne à proximité de la bibliothèque François Mitterand, petites rues pavées du quartier de la Butte aux Cailles, balade très agréable le long des quais de Seine, effervescence ambiante de la place Italie et de ses boutiques.

Place d’Italie
La place d’Italie abritait autrefois un mur des Fermiers Généraux, qui était une enceinte fiscale construite sous le règne du roi Louis XVI afin d’obtenir des impôts sur les marchandises. L’emplacement de la place d’Italie était occupé par une barrière du mur des Fermiers Généraux, une enceinte construite par l’architecte Claude Nicolas Ledoux, qui séparait les communes de Paris et celle de Gentilly. Les deux pavillons concédants, incendiés en 1789, ne furent détruits qu’en 1877. L’annexion des communes limitrophes par Paris et la disparition de la barrière permirent la création de cette place.

Un plan majeur a été mis en place dans les années 1960 pour refaire complètement la zone et ajouter des immeubles de grande hauteur, y compris un gratte-ciel qui aurait été plus haut que la Tour Montparnasse. Cependant, avec tant de critiques et de manque de soutien, le projet a été quelque peu abandonné. Pourtant, quelques nouveaux bâtiments ont été construits, qui abritent maintenant des bureaux et un centre commercial et il y avait ici un cinéma, qui est maintenant fermé.

Mais sur cette place de Paris, vous trouverez également le bureau du maire du 13e arrondissement dans un bel immeuble à l’architecture architecturale, et dans la petite zone derrière se trouve une sculpture réalisée par Ossip Zadkine. De plus, il y a une petite zone à l’extérieur du centre commercial, qui a été nommée Place Henri-Langlois en l’honneur du monsieur qui a rassemblé des archives cinématographiques et y a installé un cinéma. Et maintenant, grâce aux efforts d’Henri Langlois, il y a un musée à Paris appelé le Musée de la Cinémathèque, qui est situé dans le Parc de Bercy.

Le centre de la place est consacré à un petit espace vert. Face à l’avenue d’Italie, un monument à la mémoire du maréchal de France Alphonse Juin, réalisé par l’architecte Henri Cantie, le sculpteur André Greck et le fondeur Daniel Landowski, en 1983. Au numéro 17 du la voie d’accès, rue Godefroy, située entre le boulevard de l’Hôpital et le boulevard Vincent Auriol, une plaque rappelle que le premier ministre chinois, Chou En-lai a vécu sur ce site, alors une modeste maison de chambres, pendant son séjour à Paris, 1922 à 1924.

Dans le petit jardin derrière la mairie d’arrondissement, se trouve une sculpture, « Le retour du fils prodigue », exécutée en 1964 par Ossip Zadkine. L’esplanade du côté du centre commercial le plus proche de l’avenue d’Italie a été nommée place Henri-Langlois en 1995 en l’honneur d’Henri Langlois, pionnier français du mouvement des archives cinématographiques.

Le projet Italie 13, grand exercice d’urbanisme, est conçu dans les années 1960 et, selon ce plan, la place d’Italie représente le centre d’un quartier de tours s’étendant sur toute la longueur de l’avenue d’ L’Italie, avec la construction d’une tour vraiment accrocheuse, plus haute que la Tour Montparnasse, dite Tour Apogée, sur la Place d’Italie même.

Le projet débute par la construction, à proximité de la place d’Italie, de six tours solidaires d’une centaine de mètres chacune. Une sorte de mât ou de campanile multicolore, imaginé par Kenzo Tange, est désormais prévu sur le terrain initialement prévu pour être utilisé par la Tour Apogée, remplacée, depuis 1992, par un ensemble de bâtiments plus petits, un immeuble de bureaux, un immeuble résidentiel de luxe, ainsi que le célèbre complexe audiovisuel Grand Écran Italie.

Quartier des Gobelins
La Manufacture des Gobelins est une usine de tapisserie historique à Paris, France. Il est situé au 42 avenue des Gobelins, près de la station de métro Les Gobelins dans le secteur de la Place d’Italie. Il est surtout connu comme une usine royale approvisionnant la cour des monarques français depuis Louis XIV, et il est maintenant géré par l’Administration générale du Mobilier national et des Manufactures nationales de tapis et tapisseries du ministère français de la Culture.

Il a été initialement établi sur le site en tant qu’entreprise de teinturerie médiévale par la famille Gobelin. Reconnaissable grâce aux bas-reliefs de sa façade représentant des tisserands, la Manufacture des Gobelins produit depuis plus de quatre siècles des tapisseries pour les palais français. Créé en 1601 sous le règne du roi Henri IV lors de l’essor de la tapisserie flamande. La Manufacture Nationale des Gobelins, ainsi que les terroirs correspondants, sont classés monuments historiques par arrêté du 24 mars 1993.

Les manufactures des Gobelins, de Beauvais et de la Savonnerie sont trois hauts lieux de la tapisserie et des tapis en France auxquels sont rattachés l’atelier de Lodève (tapis) et les ateliers du Puy (dentelle aux fuseaux) et d’Alençon (dentelle à l’aiguille). Les priorités sont l’ameublement des bâtiments domaniaux et la perpétuation d’une tradition, avec la conservation des techniques anciennes et le maintien d’une qualité traditionnelle appliquée aux expressions artistiques contemporaines.

La Galerie des Gobelins est dédiée aux expositions temporaires de tapisseries des manufactures françaises et de mobilier du Mobilier National, construit dans les jardins par Auguste Perret en 1937. La galerie, rénovée à partir de la fin des années 1970 afin de retrouver sa vocation première de un espace d’exposition, fête ses 400 ans lors de sa réouverture au public le 12 mai 2007.

Nom officiel « Manufacture nationale des Gobelins », l’usine est ouverte en visite guidée plusieurs après-midi par semaine sur rendez-vous. Géré par le Mobilier National et les Manufactures Nationales de Tapis et Tapisseries, qui regroupe le Mobilier National, la Manufacture de Tapisseries des Gobelins, la Manufacture de Beauvais (ateliers situés à Paris et Beauvais), la Manufacture de la Savonnerie (ateliers situés à Paris et Lodève) ainsi que la ateliers de dentelle à Alençon et au Puy.

Le Mobilier national dispense, au sein de son Ecole des Arts Textiles, une formation initiale complète au métier de tapissier ou tisserand de tapis dans les usines des Gobelins, Beauvais et Savonnerie, et au métier de tapissier ou rentrée de tapis dans les ateliers de restauration.

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Butte-aux-Cailles
La Butte-aux-Cailles est un quartier de Paris, un ancien quartier ouvrier devenu branché. La bucolique Butte-aux-Cailles mérite de se perdre dans ses rues pavées, ses ruelles vertes secrètes et ses passages pittoresques pour s’imprégner de son atmosphère champêtre et paisible. De plus en plus de guides recommandent ce quartier pour son ambiance de village avec ses ruelles pavées, ses petits parcs et ses terrasses ensoleillées, mais aussi pour ses nombreux restaurants et cafés.

La rue du Moulins-des-Près est un ensemble de maisons en pierre aux façades ornées de briques et de mosaïques. Villa Daviel et Square des Peupliers se succèdent des pavillons en brique ou en meulière aux jardins abondamment fleuris.

La rue Dieulafoy offre une belle perspective sur d’élégantes maisons de ville aux façades pastel, tandis que la Cité Florale, dont chaque rue évoque une fleur (rue des Glycines, rue des Orchidées, rue des Iris, rue des Liserons, rue des Volubilis…) abrite petites maisons colorées avec de charmants jardins.

Au 10e rue Daviel, vous pourrez voir la Petite Alsace qui est une ville ouvrière aux maisons à pans de bois et pignons pointus, inspirée des habitations alsaciennes. Place Paul Verlaine, la piscine de la Butte-aux-Cailles en briques rouges et de style art déco, classée Monument Historique, est l’une des plus anciennes piscines de la capitale.

Télécom ParisTech (anciennement École Nationale Supérieure des Télécommunications), qui occupe l’espace entre la rue Barrault, la rue Vergniaud, la rue Tolbiac et la rue Daviel, sur le versant ouest. A l’époque de l’École Supérieure des Postes & Télégraphes (ESPT), elle rejoint en 1934 les locaux libérés par la ganterie Noblet, comme en témoigne le logo composé d’un N et de deux C inversés répété plusieurs fois sur la façade de la rue Barrault. .

Sur la façade principale, au n°46 rue Barrault, se trouve un bas-relief daté de 1962 et dû au sculpteur Félix Joffre (1903-1989) et à l’architecte Marcel Chappey. Il porte l’inscription suivante : « L’homme à travers les âges utilise les forces élémentaires pour les transmissions. Six personnages utilisent chacun symboliquement une forme de transmission à distance : la vue, les pigeons voyageurs, une trompette, le feu – probablement sous forme de signaux de fumée – applaudissant et criant.

A deux pas de là, toujours sur la façade principale, au n°42, un autre bas-relief plus petit, du même sculpteur, porte l’inscription « De la terre au cosmos » et représente des empreintes humaines ainsi que plusieurs étoiles.

La Butte aux Cailles, c’est aussi des rues pittoresques préservées des grands travaux parisiens. Ses carrières souterraines en faisaient un territoire fragile que les projets de modernisation comme ceux du baron Haussmann ont préféré éviter. Flânez dans ses ruelles pavées au charme villageois, Anciens ateliers, maisons ouvrières et jardins fleuris jalonnent la promenade.

Espace culturel
Avec ses multiples facettes et son ouverture aux projets les plus innovants, le quartier de la place d’Italie est un quartier dynamique en plein essor. Le street art est partout dans le 13e, dans ses rues, ses grandes avenues ou encore sur les façades de ses immeubles. Un véritable musée à ciel ouvert.

De nombreuses galeries comme La Fab. d’Agnès B., Yellow Cube Gallery, Itinerrance, Mathgoth, le Lavo//Matik ou encore L’Aiguillage exposent les créations d’artistes français et internationaux d’art urbain ou contemporain. Les Frigos installés dans un ancien bâtiment frigorifique concentrent 87 ateliers de peintres, sculpteurs, photographes, stylistes… Les journées portes ouvertes organisées une fois par an permettent de découvrir ce lieu unique de création. Installé dans l’ancienne Halle aux Farines, Bétonsalon est un centre d’art contemporain et de recherche où artistes, scientifiques, architectes, sociologues et bien d’autres acteurs s’expriment à travers une programmation artistique variée.

Institution culturelle par excellence, la Bibliothèque nationale de France compte près de 30 millions de documents, dont 14 millions de livres. Des expositions temporaires, des spectacles vivants, des conférences et des lectures y sont organisés tout au long de l’année. A proximité Le Petit Bain, amarré au port de la gare, regroupe une salle de concert, un restaurant et une terrasse verdoyante sur l’eau. Il programme de nombreuses activités culturelles.

L’immense esplanade de la Bibliothèque nationale de France, cœur du quartier Paris Rive Gauche, est un véritable lieu de vie qui concentre étudiants pressés, jeunes skateurs ou cadres dynamiques qui y prennent leur pause déjeuner. A deux pas de la bibliothèque, la Station F vaut le détour. Créé en 2017 à l’initiative de Xavier Niel, dans la Halle Freyssinet, cet incubateur de start-up dédié aux technologies numériques s’étend sur 34 000 m².

Initié par la Galerie Itinerrance en partenariat avec la mairie du quartier Place d’Italie, parmi les fresques urbaines du 13e à ne pas manquer : les pochoirs de Miss Tic ; boulevard Vincent Auriol les créations : « Turncoat » de D*Face, « Étang de Thau » de Maye, « Etreinte et lutte » de Connor Harrington et « La Madre Laïque 2 » d’Inti ; « Liberté, Égalité, Fraternité » et « Équilibre délicat » de Shepard Fairey ou encore Jeanne d’Arc « Et j’ai retenu mon souffle » de Fail.

art de rue
De nombreuses galeries comme La Fab. d’Agnès B., Yellow Cube Gallery, Itinerrance, Mathgoth, le Lavo//Matik ou encore L’Aiguillage exposent les créations d’artistes français et internationaux d’art urbain ou contemporain. Les Frigos installés dans un ancien bâtiment frigorifique concentrent 87 ateliers de peintres, sculpteurs, photographes, stylistes… Les journées portes ouvertes organisées une fois par an permettent de découvrir ce lieu unique de création. Installé dans l’ancienne Halle aux Farines, Bétonsalon est un centre d’art contemporain et de recherche où artistes, scientifiques, architectes, sociologues et bien d’autres acteurs s’expriment à travers une programmation artistique variée.

Cuisine
La rue de la Butte aux Cailles et la rue des Cinq Diamants sont le centre des restaurants, des boutiques et de la vie nocturne du quartier.

Réputé comme l’un des meilleurs restaurants du quartier, Chez Gladines (30 rue des Cinq Diamants) est ouvert tous les jours midi et soir, spécialisé dans les plats basques. Chez Gladines sert de copieux salon basque à des prix très raisonnables. L’ambiance conviviale et joyeuse est également un vrai plus.

Juste en face de Chez Gladines, Le temps des Cerises est un restaurant original avec un thème vaguement espagnol qui sert de délicieux plats à des prix raisonnables, y compris des moules cuites à la vapeur. Le vin est très correct et pas trop cher.

L’Oisive Thé : Un petit salon de thé intime au 8 rue de la Butte aux Cailles qui joue sur le mot français pour la paresse/l’oisiveté (l’oisiveté) et le thé (thé). Un endroit idéal pour une douce après-midi de lecture ou de bavardage.

À Butte Aux Cailles, le long de sa rue principale, il y a même une boutique du nom de Les Abeilles (littéralement « les abeilles »). C’est le seul magasin à Paris spécialisé spécifiquement dans tout ce qui concerne les abeilles.

La Cave du Moulin Vieux, une cave à vin ouverte en 1981 et spécialisée dans les vins incroyables de toute la France et d’ailleurs. Ouvert tous les jours, ‘The Old Mill Cellar’ est un voyage autour du monde dans d’innombrables vins.

Achats
La Butte abrite une multitude de boutiques originales et vintage, ce qui en fait l’endroit idéal pour faire du shopping pour des produits insolites. Aucune chaîne de magasins ne peut être trouvée ici. Au lieu de cela, des trésors tels que du verre de Murano, de vieilles cartes postales, des vêtements vintage et plus encore peuvent tous être trouvés en parcourant les nombreux magasins disséminés dans la Butte-aux-Cailles.

Espace naturel
La petite ceinture comme dans la majorité des arrondissements limitrophes de Paris, sont des portions de la Petite Ceinture. Comme le périphérique actuel, ces voies ferrées faisaient le tour de la capitale. Construit au XIXème siècle puis abandonné, il est aujourd’hui progressivement réhabilité en espaces verts et jardins divers et donne aux promenades des Parisiens un air champêtre. Construite en 1928, la cité fleurie est composée de six ruelles aux maisons amplement fleuries. Les noms des rues rappellent l’identité horticole de ce petit coin de paradis. Le square René-Le Gall est très calme avec ses rosiers et ses quatre belvédères typiques des années 1930.

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Tags: France