Visite guidée du Sentier et du quartier Montorgueil, Paris, France

Le quartier Sentier et le quartier Montorgueil était l’ancien quartier enjambe les quartiers administratifs du Mail et de la Bonne-Nouvelle dans le 2e arrondissement de Paris. Le quartier du Sentier de Paris est un important quartier de fabrication textile traditionnelle du 2ème arrondissement de Paris. Elle tire son nom de la rue du Sentier. Le quartier Montorgueil connu pour sa gastronomie, qui est un ensemble de rues piétonnes qui s’articule autour de la rue Montorgueil.

Contrairement à la partie ouest du 2e arrondissement, qui est le centre financier de l’Europe, la partie est du 2e arrondissement conserve l’ambiance de vie de la vieille ville de Paris. Dans le quartier animé de Bonne-Nouvelle, les chaînes de magasins bordent les boulevards animés et les restaurants internationaux branchés bordent les rues étroites au milieu des cafés français classiques et des bars à cocktails branchés.

À l’extrémité est du 2e arrondissement, explorez le quartier du Sentier, la nouvelle destination prisée de Paris, toujours remplie de magasins de textile en gros et de fabricants de vêtements, bien qu’ils perdent désormais du terrain au profit des bistrots branchés, des bars et des hôtels haut de gamme, des restaurants français aux le marché de la rue Montorgueil, et le petit musée où l’on découvre l’histoire de la ville…

Les grossistes textiles du quartier du Sentier cèdent la place aux boutiques branchées autour du marché de la rue Montorgueil. La rue du marché La rue Montorgueil abrite Stohrer, une pâtisserie bien-aimée datant de 1730, tandis que le quartier du Sentier est consacré aux grossistes en textile, dont beaucoup remplissent l’arcade couverte du XVIIIe siècle Passage du Caire. La tour Jean-sans-Peur est une célèbre tour médiévale.

Dans le quartier en développement du Sentier, des bars animés et des chaînes de magasins bordent des boulevards animés, et des bistrots bordent des rues étroites au milieu de bars à vin, de start-up Internet et de grossistes en textile. Des premières de films et des concerts majeurs ont lieu au Grand Rex, un cinéma art déco doté d’un musée interactif sur le thème du film et d’une discothèque au sous-sol, le Rex Club, connu pour ses files d’attente de DJ internationaux. Les hôtels branchés sont disséminés dans le quartier.

Rue Sainte-Anne avec de nombreux restaurants asiatiques populaires proposant du fromage, du vin et des baguettes dans la merveilleuse rue piétonne du marché de la rue Montorgueil. Rue de Nil, célèbre restaurant Frenchie et autres restaurants, bars et boutiques proposant des produits locaux, de la viande, du poisson et du fromage.

Histoire
Dans les années 1980, le quartier atteint son apogée en termes d’activités textiles ; plusieurs industriels et PME exploitent le principe du circuit court : le plus vite possible du producteur au consommateur, ou ici de l’atelier au magasin. Ces métiers du textile, parfois liés à la communauté juive, font du Sentier l’un des quartiers juifs de Paris.

En raison de la proximité de l’ancienne Bourse du Palais Brongniart, de l’AFP et de nombreuses sociétés financières, avec l’ouverture du marché français des télécommunications à la concurrence (1er janvier 1998), plusieurs opérateurs ont déployé des réseaux haut débit basés sur la fibre optique au sous-sol du district.

Parallèlement, des sociétés spécialisées ont ouvert de grands centres de traitement de données destinés aux opérateurs téléphoniques, aux fournisseurs d’accès à Internet et aux grandes entreprises, leur permettant de connecter directement leurs multiples réseaux de télécommunications entre eux. Ce type de centre est aménagé de manière appropriée pour l’accueil de toutes sortes d’équipements informatiques et de télécommunications tels que les équipements actifs, notamment les équipements optiques pour la transmission de données, les serveurs Web, les serveurs informatiques des fournisseurs d’applications en ligne. ou centraux téléphoniques.

Le centre Telehouse-1 ouvert par la société Telehouse Europe en 1996 dans la rue des Jeûneurs, est le premier du genre en France, d’une surface de 1 000 m², c’était aussi le plus grand centre d’hébergement télécom du pays jusqu’en 1999. Il est encore utilisé aujourd’hui par une trentaine d’opérateurs, notamment des spécialistes des services aux grandes entreprises comme Neuf Cegetel, Completel, Verizon ou Orange Business Services.

Pendant la phase montante de la bulle internet (1997-2000), une cinquantaine de start-up se sont installées dans le quartier du Sentier (Yahoo!, Nomade, Lastminute.fr, Net2one, Buycentral, Webcible, MandrakeSoft, etc.) parce que d’une part , il est économiquement intéressant d’être à proximité de ces artères de communication et d’autre part le quartier compte de nombreux locaux vides suite à la fermeture ou à la délocalisation d’ateliers de confection.

Au départ, les loyers sont abordables. Cependant, au bout de quelques mois, les espaces libres se raréfient, ce qui fait flamber les prix dans le quartier. Depuis plusieurs années, La Cantine, l’un des épicentres de la communauté Web en France, s’est installée dans le Passage des Panoramas. L’effet négatif sur le public et sur les banquiers de l’activité cavalerie du Sentier, conjugué à l’éclatement de la bulle Internet, a conduit à partir de mars 2000 à la fermeture de nombreux commerces qui s’étaient implantés dans le quartier.

Depuis 2010, le Sentier a connu un fort renouveau. Les start-up s’y installent en masse, attirées par le caractère hyper central de ce quartier (à 200 m du pôle des Halles) et les volumes très importants de ses immeubles. Parmi les entreprises de la nouvelle économie les plus connues qui se sont installées dans ce quartier depuis 2010 figurent Doctolib, Qonto, Klaxoon, Devialet, Alan, Back Market, Blablacar, Ledger, PayFit… Le magazine Maddyness, spécialiste des start-up d’actualité situé dans ce quartier.

Les entrepreneurs de la restauration et de l’hôtellerie prennent également d’assaut ce domaine. Hélène Darroze installe son restaurant Joia rue des Jeuneurs, Maelia Weger installe son nouveau restaurant Echo rue d’Aboukir, Jason Gouzy obtient une étoile dans son restaurant Le Pantagruel rue du Sentier. Le groupe hôtelier Ennismore lui installe un grand hôtel rue des Jeuneurs sous l’enseigne The Hoxton. Cette dynamique exceptionnelle de restaurateurs et d’hôteliers renforce l’attractivité du quartier.

Quartier des Sentiers
Le quartier du Sentier couvre le coin du 2e arrondissement qui se trouve à peu près à l’est de la rue Montmartre et au nord de la rue Réaumur et est un mélange fascinant du quartier traditionnel du tissu et de l’habillement en gros de Paris, des entreprises technologiques et des gourmets. Aujourd’hui, le Sentier est associé au prêt-à-porter du fait de la forte présence des magasins de textile, c’est aussi un lieu prisé des start-up.

Mais c’est aussi un quartier qui offre d’agréables balades grâce à ses jolis passages couverts qui nous plongent dans le Paris d’antan, mais aussi grâce à ses ruelles historiques et son ambiance populaire. Les magasins de gros permettent de faire du lèche-vitrines amusant. En plus du mini-empire du chef Marchand, de nombreux autres endroits attrayants pour un repas ou un verre rapide.

Ce rectangle de bâtiments est aujourd’hui un vivier d’ateliers textiles… Ces dernières années, l’activité commerciale s’est diversifiée. De nombreuses start-up Internet y ont également élu domicile, rebaptisant le quartier « Silicon Sentier ». Le quartier est également traversé par les rues du Caire, d’Aboukir et du Nil. Ils évoquent l’expédition de Napoléon en Égypte en 1798. Le quartier du Sentier est particulièrement apprécié pour une rue bien connue des Parisiens : la rue Montorgueil. Primeurs, cafés, restaurants, épiceries…

En traversant quelques trottoirs, le quartier Sentier surprend par les changements d’ambiance qui s’opèrent dans certains quartiers, qui prennent plusieurs visages : la place des Victoires et les rues avoisinantes (rue des Petits Pères, rue la Vrillière, rue Hérold, etc.) partie du coin, tandis que vers l’Eglise St Eustache, ce sont les « bobos » qui viennent chercher les terrasses ensoleillées.

La rue Saint-Denis et ses environs sont beaucoup plus bruyants et fréquentés. Traversé entre autres par la rue d’Aboukir, la rue du Caire, sa place du même nom et la rue du Nil (les noms de ces rues rappellent la fabuleuse expédition de Napoléon Bonaparte en Egypte en 1798), le quartier du Sentier est traditionnellement le Lieu parisien de fabrication et de commerce de gros et de détail de textiles multiethniques.

Sentier, un quartier chargé d’histoire. Sur le trottoir de gauche, la charmante petite place du Caire est une ancienne cour des miracles. Un peu plus loin, au numéro 20 de la rue Etienne Marcel, se cache un vestige du Paris médiéval au nom bien curieux : la Tour Jean Sans Peur. Ancienne tour de fortification érigée au XVe siècle, elle a été édifiée sous la volonté du duc Jean Ier de Bourgogne, dit Jean Sans Peur. Le 23 novembre 1407, Jean sans Peur fait assassiner son cousin, Louis d’Orléans.

Un peu plus loin, l’élégante place des Victoires dédiée aux victoires militaires de Louis XIV (dont la statue équestre trône au milieu) est l’une des quatre places royales de la capitale (avec la place Dauphine, la place Vendôme et la place des Vosges ). Les arcades de la place abritent quelques boutiques de luxe dont les superbes vitrines continuent d’attirer touristes et Parisiens fortunés. Un peu plus au nord, la place des Petits Pères cache la basilique romane Notre Dame des Victoires. Dédiée à Marie depuis 1836, elle possède un nombre impressionnant d’offrandes et de reliques.

Quartier Montorgueil
Le quartier Montorgueil, du nom de la colline du Mont-Orgueil, dont les origines remontent au XVème siècle, le quartier a une histoire gourmande et populaire. Montorgueil est l’un des plus anciens quartiers de la capitale. Au cœur du plus petit arrondissement parisien, la rue Montorgueil et celles qui la traversent forment la plus grande zone piétonne de la capitale.

Le quartier est le prolongement, au nord, du quartier piéton des Halles. Il est compris entre la rue du Louvre à l’ouest, la rue d’Aboukir et la rue Réaumur au nord, la rue de Palestro à l’est, la rue de Turbigo et la rue Etienne-Marcel au sud. Le quartier ayant été peu touché par les transformations de Paris sous le Second Empire, Montorgueil a conservé les traits urbanistiques et architecturaux du Vieux Paris. C’est après la construction de l’enceinte de Charles V, au XIVe siècle, que son emplacement fut dans les limites de Paris.

Ce quartier à l’ambiance villageoise, très animé le jour et le soir, plus calme la nuit, voit flâner une population hétéroclite : habitants, parisiens, touristes, banlieusards… attirés par de nombreux commerces, salles de sport, cafés et restaurants à réputation à la mode. L’habitat très concentré et les rues étroites ont conduit à la piétonnisation du quartier dès la fin du XXe siècle. Le tronçon de la rue Montmartre entre la rue Étienne-Marcel et la rue du Louvre est piétonnier depuis 2007.

Lieu incontournable des flâneries parisiennes, avec ses petites rues piétonnes et pavées, le quartier Montorgueil représente le charme de Paris. C’est désormais un ensemble de rues piétonnes qui s’articule autour de la rue Montorgueil. Elle s’étend sur les communes du Mail et de la Bonne-Nouvelle. L’artère principale, la rue Montorgueil, regroupe à la fois primeurs et commerces de bouche, bars et restaurants ainsi que des boutiques de vêtements tendances.

Grâce à ses commerces de bouche et ses restaurants, au petit matin, les camions de livraison et l’agitation environnante reflètent le Paris d’antan. A midi, les banquiers et les geeks des start-up qui travaillent à proximité viennent s’y restaurer. Dans les rues parallèles à la rue Montorgueil, de nouveaux restaurants, bars à cocktails et boutiques bohèmes ont ouvert, notamment rue Saint-Sauveur, rue Bachaumont, rue Greneta, rue Mandar ou encore dans le passage du Grand Cerf.

Cette rue animée au cœur du quartier offre l’un des marchés permanents les plus réputés de la ville. Il comprend une boucherie, une poissonnerie, un magasin de fruits et légumes, une fromagerie, une boulangerie (La Maison Stohrer, l’une des meilleures de Paris), un fleuriste… On y trouve toutes sortes de produits frais et bio.

Rue Montorgueil permet de découvrir la culture d’un pays à travers sa gastronomie acheter la meilleure cuisine comme des fromages, charcuterie, vins et baguettes, ou un bon fromage ou un excellent vin. Rue Montorgueil les commerces de bouche se transmettent de génération en génération. Au n°38, l’Escargot Montorgueil, qui fut la table préférée de Sacha Guitry, Marcel Proust ou encore Salvador Dali, fait le bonheur des Parisiens depuis 1832.

Cette rue et les rues qui l’entourent sont bordées de bars à vin et à cocktails, comme le REDD et l’Experimental Cocktail Club. Il y règne une ambiance animée, surtout les soirs d’été lorsque les bars ouvrent leurs portes sur la rue. C’est vrai qu’ils ne proposent pas toujours des petits prix, mais c’est un bon endroit pour trouver un bar et passer une bonne soirée dans la capitale.

Place des Victoires
La Place des Victoires est une place circulaire à Paris, située à une courte distance au nord-est du Palais Royal. Les abords de la Place des Victoires sont désormais un quartier huppé. Les créateurs de mode Kenzo et Cacharel y ont des boutiques, tout comme les chaînes de prêt-à-porter Maje et Zadig et Voltaire. Le Forum allemand d’histoire de l’art ( Deutsches Forum für Kunstgeschichte ) se trouve sur la place et l’ Institut national d’histoire de l’art français se trouve dans la galerie Colbert à proximité .

Au centre de la place des Victoires se dresse un monument équestre en l’honneur du roi Louis XIV, célébrant les traités de Nimègue conclus en 1678-79. La statue originale, de Louis XIV couronné par la Victoire et foulant aux pieds Cerbère, en bronze doré, se tenait sur un haut piédestal carré avec des panneaux en bas-relief et des inscriptions effusivement flatteuses; des figures de bronze abattues étaient assises aux angles. Le sculpteur était Martin Desjardins, membre de l’équipe qui travaillait en collaboration au château de Versailles et à ses jardins.

La Tour Jean-Sans-Peur
À quelques mètres seulement de la sortie de métro Etienne Marcel se trouve une tour médiévale connue sous le nom de Jean-Sans-Peur. C’est la seule tour fortifiée de Paris. Vous pouvez monter un escalier en colimaçon pour visiter certaines des pièces originales de la tour. La tour a été érigée au début du XVe siècle par « Jean l’Intrépide », le duc de Bourgogne, connu pour avoir assassiné son cousin, le duc d’Orléans.

Rue du Nil
Pittoresque, pittoresque et située à quelques rues de l’une des rues commerçantes les plus célèbres de Paris, celle de la rue Montorgueil, la rue du Nil est une rue pittoresque avec de nombreux magasins indépendants et magasins de produits. La route était en grande partie résidentielle et peu fréquentée. Tout cela a cependant changé avec l’arrivée du chef, Gregory Marchand, lorsqu’il a ouvert un restaurant ‘Frenchie’ emblématique sur la route. Le lieu de restauration est rapidement devenu un hotspot recherché et à partir de ce moment-là, de plus en plus de restaurants gastronomiques ont fait leur apparition dans la rue. Aujourd’hui, la rue du Nil est un passage obligé pour les amateurs de cuisine française authentique et ceux qui souhaitent cuisiner à leur logement.

Rue Étienne Marcel
La rue Etienne Marcel est très longue et regorge de boutiques sympas. Découvrez de nouveaux vêtements à l’image de l’élégance parisienne, laissez-vous séduire par les articles vendus dans les boutiques de la rue Etienne Marcel comme Les Temps des Cerises, ba&sh, Comptoir des Cotonniers, Guess, Diesel, Replay, The Kooples…

Gourmet
La rue Montorgueil, la rue Pierre-Lescot et la rue Etienne-Marcel sont bordées de restaurants et de brasseries qui, même choisis au hasard, sont pour la plupart corrects, tandis que le métro Bourse environnant compte plusieurs restaurants renommés. Le quartier est parsemé des meilleures boulangeries, vendeurs de fruits et légumes et traiteurs gastronomiques de la ville. Au n°38, l’Escargot Montorgueil, qui fut le lieu de prédilection de Sacha Guitry, Marcel Proust ou encore Salvador Dali, nourrit les Parisiens depuis 1832.

Au n°51, retrouvez la boulangerie-pâtisserie Stohrer, la plus ancienne de Paris, fondée par le pâtissier du roi Louis XV, Nicolas Stohrer, en 1730. Rhum babas (invention de la maison), puits d’amour, religieuses à l ‘ancienne, sublimes bouchées à la reine….ici, vous dégusterez les meilleurs gâteaux d’autrefois en France assis dans le somptueux café conçu par Paul Baudry, qui a conçu l’intérieur de l’Opéra Garnier.

Au n°78, Au Rocher de Cancale a ouvert ses portes en 1848 alors que la rue n’était qu’un enfilade de commerces de bouche spécialisés dans la vente d’huîtres et propose toujours de savoureux plats de la mer et du poisson ainsi que de délicieuses créations sucrées et salées. Comme de nombreux édifices de la rue, il est classé monument historique. On dit que Balzac aimait s’y rendre, s’inspirant de la clientèle. En fait, le restaurant est cité dans plusieurs de ses ouvrages.

À mi-chemin de la bijouterie de la rue du Nil, Frenchie a décroché une étoile Michelin pour sa cuisine éblouissante et d’une beauté éblouissante. Avec son joli décor d’inspiration marocaine, Jacques’ Bar dans le nouveau et branché export londonien The Hoxton – apporte un peu d’exotisme dans les rues de l’ancien quartier textile.

Achats
La rue Etienne-Marce l et la rue Tiquetonne (Métro Etienne Marcel) sont bordées de boutiques de créateurs, de boutiques de créateurs établis comme Agnès B et Barbara Bui, et de marques de mode montantes. Le concept store Espace Kiliwatch propose une variété de fils neufs et usagés et est populaire auprès des professionnels bohèmes soucieux du style. La Petite Egypte est un pôle de créativité ordonnée au cœur du Sentier. Les anciens passages fleuris (dont Passage de la Cerf près de la rue Montorgueil et de la rue St Denis et Passage Vivienne près du métro Bourse) pour des cadeaux uniques et glamour. Le Passage du Caire dans le Sentier est la plus longue et la plus ancienne galerie marchande. À quelques pas de là, vous trouverez des textiles et des bric-à-brac sous une verrière élaborée dans le Passage du Grand-Cerf ou le paradis des philatélistes dans le Passage des Panoramas.